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Il était une fois - Larme de Cendre (ABANDONNÉ)

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Anonymous
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Lun 19 Aoû - 17:54
Sa mère voulait qu'elle devienne plus discipliné. Sa mère voulait qu'elle puisse se maîtriser. Sa mère voulait qu'elle soit la jeune femme potentiellement parfaite. Comme quoi que dans le cas contraire, Akiza n'aurait pas sorti de cette forêt inconnue, protégé du monde extérieur. Rien ne vaut la liberté ; la liberté ne vaut rien, celle ci étant illusoire. Les jugements des autres empiétaient à sa liberté personnel. Pourtant, Akiza se devait être protégé de la méchanceté du monde. Est-ce que sa mère reposait dans le même panier ? Akiza n'était pas encore sûr. Une seule chose était sûr, celle-ci était très sévère envers la studieuse. Selon les dires de sa mère, Akiza possédait un immense potentiel. La puissance qui se logeait dans son corps pouvait détruire un royaume selon son grimoire, mais si instable. Si instable qu'une simple once d'émotion forte et elle pouvait complètement s'enflammer. Une sombre rage l'habitait, une soif frénétique autant que vengeresse qui souhaitait le un carnage sanglant. D'où venait cette rage ? Le grimoire en disait long sur cela. La pression et le stresse autant que la colère, l'excitation et surtout la haine étaient en les principaux facteurs de ses explosion de colère où une immolation de son corps pouvait augmenter drastiquement la température d'une pièce.
Ne parlons même pas de son père qu'elle ne voyait jamais. Pour lui, Akiza elle avait l'impression d'être un rebut en trop, une abomination qui ne méritait pas de respirer l'air frais. En qui avait-elle vraiment confiance en bout de ligne ?
Ses larmes, s'ils y en avaient encore n'était plus que cendre complètement sèches.

*KYAAAAAA-AAAaaaaaaa..*
Tout semblait si chaotique dans sa tête. Ces cris qui la tourmentaient depuis sa tendre enfance. Ces cris que lui déchiraient les tympans. Ces cris qui déchiraient sa plénitude. Ces cris... qui lui faisaient un mal fou. Ses maux tête devenaient des migraines insupportables, et ce, cela perdurait. Là où Akiza parvenait à finalement s'endormir ; elle se réveillait complètement paniquée ailleurs au fin fond d'une forêt. La réconforté devait alors un projet lorsqu'ils parvinrent finalement à la retrouver. Tant de mystère consacré à cette forêt. Pourquoi celle-ci semblait l'appeler ? Pourquoi dans ça subconscient il n'y avait qu'un trône au sommet d'une gigantesque suite d'escaliers. Sa vie ne semblait pas de tout repos, un malheur qui personne ne souhaiterait à personne. La jeune tourmentée était totalement terrorisée par le sommeil. Pour elle, le sommeil procurait aucun bien fait. Pour elle, le sommeil lui rappelait à qu'elle point elle était maudite. Pour elle, chaque escalier menant au trône incarnait d'une part ou d'une autre une suite de malheur...

[ * * * ]

Je n'ai jamais pratiquement pleuré de ma vie. À croire que mes larmes se sont asséchées tel de la cendre. Lors d'une incendie où celle-ci recouvre mon royaume tel la neige. Une forêt d'une vénusté des plus somptueuses naquit tel un sortilège. Une pluie qui réchauffait chacun des ruisseaux de mon doux foyer d'ambre. Chaque conte de fée commence par : il était une fois.
Une jeune fille qui perdit sa foi.
Le de mon tour ;
Aussi chaude que mon âme soit ; aussi froid qu'est la tienne.
Je ressens ton désire de vengeance ; ressent donc ma douleur. Avec tes griffes qui me transpercent la nuit, comme des rasoirs! Ma foi fut vouée à l'abattoir!

- Je ne sais plus quoi penser. Je suis terrorisée à la simple idée de dormir. À chaque fois que je ferme les yeux, je me sens vulnérable, avoua-Akiza avec un mépris...

Pourtant, si quelqu'un pouvait voir l'état de son esprit, ce serait déjà bien. Ce fut donc l'une des raisons pourquoi Saeline, sa mère adoptive, voulait qu'Akiza aille consulter. Autant qu'elle que sa fille savaient que ce ne serait pas chose aisée. Son état était d'une complexité hors du commun, car la l'entité qui l'influençait ne résidait pas entièrement en elle. Une autre part chez Akiza se faisait appelé " Limbe " où la seule façon de le voir était à travers une petite pierre spécial. Dans l'echelle de dureté, elle se trouvait à 8, avec le topaze. Cette pierre appelé Elyzium était connu pour ses capacités occultes de voir  à travers les patients afin de voir leur âme. Cette pierre de base sans couleur comme le crystal, celui d'Akiza brillait d'une bleu clair marin. Une fois que celle-ci leva cette pierre qui, d'ailleurs, reposait au départ sur sa poitrine, face à som interlocutrice. Celle-ci pouvait voir ce qui donnait cette teinte bleue étrange. Voir à l'intérieur d'Akiza.

- ...Cette pierre rare à la capacité de montrer ce qu'il y a à l'intérieur de moi. Aussi, si on le fixe, elle peut vous projeter un moment " chez moi " afin de pouvoir voir si qui s'y trouve. Enfin, si il n'y a pas cette paire d'yeux d'un rouge éclatant pour vous obligez à sortir...

À travers la petite pierre. On pouvait discerner notamment deux petites sphères qui tournait l'une autour de l'autre en orbite. L'une était d'une magnifique couleur rose, un rose telle la fleur du même nom qui reposait dans un jardin près de ses camarades. L'autre qui semblait danser avec la petite sphère rose était d'un rouge écarlate éclatant. Celle-ci était un peu plus grosse, environs trente-trois pourcent plus grosse, avec un filament qui la  reliait avec la plus petite. Littéralement, cela incarnait un système binaire. L'orbe rouge dévorait l'orbe rose au centre d'une immense ombre qui ressemblait a un énorme trou noir. Est-ce que c'était cela que la chose en elle appelait " Limbe ". Une petite forme trônait au centre de cette noirceur abyssale. Effectivement, comme le verbe le disait, c'était un trône. Limbe voulait engloutir les deux sphères ? C'était si vague... ce n'était pas qu'un simple diagnostique de psychologie. Cette ombre dégageait quelque de vraiment malsaine. Une rage plus grande que personne ne pouvait supporter. Un désir de vengeance indescriptible pour le commun des mortels.
À travers la petite pierre, l'iris d'Akiza paraissait d'un rouge écarlate avec une pupille reptilienne. Sa voix changea un moment.

- Je ne peux pas garantir la sécurité de personne. Cet antre est nôtre. Ici repose - s'interrompit-elle en fermant les yeux. Désolée...


You want to reach out the moon aim of Grand!
Whispering into my ears make me bleed, Scarlet!
You never cease to allured my soul, Mother! you never cease to allured my SOUL!!
You never cease to allured my soul, Mother! you never cease to allured my SOUL!!
You never cease to allured my soul, Mother! you never cease to allured my SOUL!..
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Alexia Oniarth

Feuille de personnage
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Alexia Oniarth
Alexia Oniarth
Infirmière de l'académie - Eleve-Chercheur de Magie Blanche -Mage 4e ordre
Jeu 22 Aoû - 7:28
Age du personnage : 22 ans
Race : Métamorphe
Pouvoirs : Transformation-magie du silence
Puissance moyenne : 119
La jeune infirmière avait quelques peu modifié les rendez-vous actuel à l'infirmerie pour certain élève. Ou plus particulièrement, pour un élève précis. La fille adoptive de Saeline, Akiza. Alexia savait que l'elfe avait adopté deux enfant au cours des dernières années. Yearius qu'elle avait déjà rencontré et Akiza, qu'elle n'avait pas encore eux le temps de voir. Malheureusement, elle était l'une des dernières personnes sur la liste de l'infirmière, non par manque d’intérêt mais simplement car elle ne pensait pas qu'une jeune fille sans histoire élever par Saeline puisse avoir des problèmes. Elle c'était lourdement tromper apparemment. En effet, Saeline lui avait longuement parlée de ses enfants et de ses espoirs pour eux. Lorsqu'elle parlait de ce jeune demi-ange, elle souriait largement en ventant ses mérites. Il fallait dire que le jeune homme avait gagné le tournois récemment organiser et dirigeait maintenant les paladins. Il était sur la bonne voie pour devenir un homme voir et respectable.

Akiza cependant inquiétait un peu plus sa mère. Il était d'ailleurs étrange, que cette jeune fille qui a été élevée dans un cadre strict et lumineuse soit comme sa mère la décrivait. Perverse, tête en l'air un colérique parfois. Elle craignait qu'une présence extérieure la corrompe. Alexia croyait sincèrement qu'il s'agissait d'exagération. Après tout, Saeline était comme toutes les mères. Elle s'inquiétait pour pas grand-chose au final. Dû moins, selon la jeune renarde occupant le poste d'infirmière. Cependant, elle promit de la rencontrer pour rassurer sa mère. Voilà pourquoi la jeune femme rousse était maintenant dans l'infirmerie, devant Alexia qui lui souriait avec une certaine tendresse dans le regard. Elle semblait innocente pourtant...

Bonjours Akiza. Je suis Alexia, l'infirmière de l'académie. Viens, nous allons aller dans mon bureau pour ta rencontre.

Elle la guida vers le bureau ou beaucoup d'élève et même d'enseignant était déjà passé pour confier leur angoisse et leur problème. La rencontre médicale était toujours avant toujours la rencontre psychologique. Après tout, même si la plupart des examens étaient magiques, il arrivait parfois de devoir procéder à des examens plus personnels... Donc il était important pour Alexia qu'une certaine forme de confiance se soit établie entre elle et les élèves. Ses derniers ne devaient pas hésiter une seule seconde à se confier à la jeune renarde, pour leur bien. Elle fit donc asseoir la jeune rousse et lui demanda ce qu'elle préférait boire en souriant toujours. Après quelques secondes d'hésitation, elle réclama une boisson chocolatée.

Alexia se retourna donc pour commencer à lui préparer cela. Un chocolat chaud accompagné d'un peu de crème et de quelques biscuits. Rien de bien extravagant. Mais au vu du regard pétillant de la gamine, elle sembla apprécier l'effort. Elle déposa le tout devant elle en prenant place sur son propre fauteuil, laissant Akiza savourer sa petite collation avant de commencer. Elle fit finalement apparaître une plume ainsi qu'un parchemin dans le but de prendre ses notes et prit elle-même une longue gorgée d'eau.

Alors, Akiza. Tu sais pourquoi je t'ai fait venir? Ne t'inquiète pas, ce n'est rien de grave. Je rencontre tous les élèves pour me familiariser avec l'école. Pour commencer, j'aimerais que tu me parles un peu de toi, Akiza. J'aimerais apprendre à te connaître.
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Ven 6 Sep - 21:46
Là où il y a la noirceur, il ne pouvait pas y avoir de lumière. C'était indéniable. Alors que je restait là, centrée au milieu du sol sacré, en espérant un jour m'en approcher. Je voyais bien que c'était une étoile qui m'était impossible d'atteindre. J'avais mal, je me sentais trahis. Alors que je voulais juste m'en approcher. Elle jouait le rôle de l'arme de l'armageddon, La Mort de l'amour. La neige qui recouvrait le sol, un jour où il était une fois : la chute d'une étoile. La poussière de celle-ci recouvrit le sol sacré où elle se tenait, dans la noirceur où demeurait celle-ci qui la tourmentait. Dans la pénombre où trônait un trône qui appartenait à une personne jamais vus auparavant. Des yeux d'un rouge capable brûler n'importe quel étoile. Là où trônait la jeune femme centrée au centre du sol sacré où la flèche de lumière montait toujours plus haut. De là, la jeune femme pouvait conprendre l'étendue des épreuves qui l'attendaient. D'ici là, où celle-ci devait se battre pour survivre, une solution était demise...

' Je ne sais plus quoi penser. Je suis terrorisée à la simple idée de dormir. À chaque fois que je ferme les yeux, je me sens vulnérable...
...Cette pierre rare à la capacité de montrer ce qu'il y a à l'intérieur de moi. Aussi, si on le fixe, elle peut vous projeter un moment " chez moi " afin de pouvoir voir si qui s'y trouve. Enfin, si il n'y a pas cette paire d'yeux d'un rouge éclatant pour vous obligez à sortir...
...Je ne peux pas garantir la sécurité de personne. Cet antre est nôtre. Ici repose - 
Désolée... '

Rien de tel qu'un bon chocolat chaud pour calmer quelqu'un. Surtout si ce quelqu'un est une Akiza en particulier. Elle qui adorait les sucreries autant qu'appendre de nouvelles choses, cette infirmière venait de la toucher droit au coeur! Pour la jeune studieuse, il n'était pas question de gaspiller des sucreries, que se soit des gâteaux ou encore des cupcakes, ces derniers étaient vues comme sacrés. D'autres étaient fervants à une religion quelconque où ils étaient prêts à mourir pour leur culte. De son côté, Akiza pouvait indubitablement vendre son âme pour avoir sinplement un cupcake. Si quelqu'un lui volait une sucrerie, elle pouvait aller jusqu'à être violente afin de le récupérer. Est ce que c'était une action exagérée ? Oui, dans beaucoup de cas, oui. De l'énergie gaspillé ? Probablement, aussi. Enfin, dans tout les cas, Akiza se montrait très silencieuse et ne dérangeait personne si personne l'énervait. Le chocolat chaud reposait à l'intérieur d'une magnifique tasse bleue. Le design artistique démontrait que la tasse avait été faite avec un soin légendaire. Les gens disent qu'on attire pas les mouches avec du vinaigre ; à croire qu'on peut acheter les démons avec seulement une tasse de chocolat chaud. Rien de maléfique, rien de menaçant, la jeune femme buvait délicatement le chocolat chaud dans une plénitude surnaturelle. Ses yeux se fermèrent délicatement afin de montrer l'appréciation pour cette boisson chaude. Ses joues avec une légère teinte rougeâtre. Rien n'était plus plaisant, rien n'était plus beau que de la voir ainsi en train de savourer la boisson sucré confortablement avec une - aise modéré telle que Tempérance.

La pierre se balançait comme un pendule. Celui-ci n'avait pas pour rôle de compter les secondes afin de guider le temps. Comme mentionné, cette pierre avait la capacité transparaître temporrairement à l'intérieur de la jeune étudiante à partir du cristal. À risque et péril, Akiza ne garantissait pas la sécurité de la personne une fois que celle-ci soit  à l'intérieur de son esprit. Sa mère adoptive avait réussi à rester un moment. Un autre personne pouvait peut-être y laisser sa vie. Les yeux qui apparaissaient démontraient bel et bien que les intrus n'étaient pas la bienvenue.

...Là où il y a de l'amour,  il y a aussi la haine. Là où il y a la création, il y a la destruction. Si mon pouvoir ce fait ensevelir, je n'aurais qu'à augmenter ma puissance! si dans le plus grand des silence - aussi profond soit-elle - on entend pas moi voix, je n'aurai qu'à crier! KYAAAAAAAAAAAAAAAaaaaa...
Seulement si nous devenons vulnérable face à nos points faibles, c'est l'occasion pour devenir plus fort. La peur, ah! J'ai vaincu ma propre humanité!

Vulnérabilité à la compassion
Vulnérabilité contre les sentiments
Vulnérabilité à l'empathie
Culpabilité, remord, pardon, pardonnez-moi.. ?
Vulnérabilitéau feu
Vulnérabilité, vulnérabilité...
Vulnérabilité!
Ce n'est pas seulement une overdose, mais véritablement une clé de lumière qui monte. Toujours plus haut, hors d'atteinte ;
Mes rêves...
Brilles
Rien n'était plus beau que l'image qu'elle dégageait lorsqu'elle buvait délicatement sa boisson chaud. Ses joues légèrement rouge, ses yeux fermés avec une innocence qui se dégageait dans son tempérament. Quelque chose chez elle brillait faiblement, mais sûrement. Si dim, mais chaleureux. Oui, c'était cela, elle avait un quelque chose que je n'avais pas. Comme - oui, comme une Étoile.

Là où tu as pour but d'atteindre la lune, Grande. Tu n'as jamais cessé de séduire mon âme, Mère! tu n'as jamais cessé de séduire mon âme...
À entendre tes murmures me susurrer à l'oreille me fait saigner, Éclate!.. aaaaaaaaaaaaaaaaaaargh..!
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Alexia Oniarth

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Alexia Oniarth
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Infirmière de l'académie - Eleve-Chercheur de Magie Blanche -Mage 4e ordre
Dim 8 Sep - 5:57
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Alexia continua de sourire délicatement à la jeune fille qui préoccupait tant sa mère. Habituellement, elle ne faisait pas de favoritisme, mais Saeline semblait si inquiète pour cette gamine qu'elle avait élevée, elle ne pouvait pas lui en vouloir après tout. Même si elle ne l'avait pas porté, Akiza n'en restait pas moins sa fille. Aussi, elle se promit de s'en occuper de son mieux. Elle lui tendit le chocolat chaud en écoutant les paroles macabres de la jeune fille. Son regard s'arrêta sur la pierre d'un rouge éclatant qu'elle portait au cou ainsi que vers le livre qu'elle gardait contre elle. Elle avait peur de dormir apparemment. De plus, elle parlait de cette pierre rouge et d'un monde à elle, qui serait dangereuse. Alexia ne comprenait pas très bien de quoi il en retournait, mais elle ne s'en inquiétait pas outre mesure. Après tout, ce n'était pas la première élève un peu étrange qu'elle devait prendre en charge.

Elle se plaça plus confortablement en la regardant profiter de la boisson chaude, les yeux fermés. Elle semblait appréciée, c'était au moins ça. D'ailleurs, elle semblait de loin être plus calme maintenant que la boisson chaude était entre ses mains. C'était une très bonne chose, puisque la jeune renarde en profita pour noter quelque chose sur le parchemin. Une simple note, comme quoi il fallait percer le mystère de ses paroles ainsi que de cette pierre. D'un ton infiniment doux, l'infirmière commença à l'interroger.

Avant toutes choses, cette rencontre est entièrement privée. Si tu le souhaites, je peux lancer un sort qui empêchera n'importe qui d'avoir accès à ce que nous disons.

Après avoir eu sa réponse, elle exécuta, ou non, la demande de la jeune femme aux cheveux de feu. Maintenant que ce détail était réglé, la jeune femme pouvait sans l'ombre d'un doute commencer la rencontre plus positivement. Aussi, elle ne se fit pas prier pour continuer sur sa lancée. Après tout, il y avait tant de questions pour elle. Elle se pencha légèrement dans sa direction, plongeant ses yeux bleus dans ceux de la fille de Saeline.

Peux-tu me dire ce qui t'empêche de dormir Akiza? Tu as parlé d'une pierre. Serait-ce celle que tu portes autour du cou?

Elle écouta la réponse de la jeune femme, toujours en notant les réponses sur le parchemin. Il s'agissait d'une tâche obligatoire pour être capable de bien monter le dossier médical et psychologique de cette dernière. La renarde avait une bonne mémoire, mais elle ne pouvait pas tout retenir, surtout dans un entretien aussi important et complexe. Son regard se posa finalement sur le livre qu'elle serait toujours contre elle.

J'ai cru remarquer que tu n'avais pas lâché de livre. Veux-tu m'en parler?
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Mar 10 Sep - 23:46
D'aussi loin que je me souvienne. Mes yeux brillaient pour me maintenir éveillé. Du jour à la nuit, il n'y avait pas ce cercle de prière qui prônait ta beauté. Mon regard achevé a perdu toute volonté...
Pas Medusa, c'est plus que ça
Alors que je pose mes doigts sur mes lèvres rêvant à un nouvel horizon.
Lorsque je rêve à une nouvelle destination ; qui ne serait pas une incision! Je n'y vois plus clair dans cette obscurité qu'est cette malédiction! Mon rêve s'éteint de lui même malgré mon obsession!
... Quand ton regard m'hypnotise
Je n'y vois que les détroits de Venise
Moins que la mer séparée par Moïse
Plus qu'une simple serrure requise
Une tour d'ivoire de Marquise
La clé de la Genèse...

D'aussi loin que je me souvienne, mes yeux brillaient pour ainsi m'emporter. Pas Medusa, plus que ça.  
Ainsi qu'il y a les étoiles pour mettre le voile. Au delà de la Voie Lactée, je ne pouvais ignoré ta beauté. Dès lors mes péchés feront expiés!..


Il y avait de gaz, il y a avait de la poussière, mais aussi, il y avait des étoiles. À travers la pierre, on pouvait distinguer le noyaux qui reposait dans Akiza. Son noyaux qui se trouvait être son âme en quelque sorte ou plutôt hne étoile en quelque sorte. Pas un, mais deux où l'autre dévorait doucement sa soeur. Si personne ne pouvait l'aider, cette femme le pouvait. La jeune studieuse se rappela ce jour où elle l'avait vue pour la toute première fois. Rien de surréaliste, rien de magique, cela ressemblait plus à un conte. Oui, comme un conte écrit pas un ancien auteur disparu depuis x années. Toujours aussi brillante malgré se qu'elle dégageait, Akiza, toujours aussi curieuse, venait de se faire vaincre par l'un de ses pires défauts : la curiosité. Subtilement, à travers une faille dans les rideaux, la sombre studieuse vit cette femme à la chevelure immaculée avec une autre femme. Sa beauté brillait comme un astre nocturne. Sa chevelure signait sa resplendissante venusité. Ses yeux aussi pronfond que le saphir des océan, elle su. Ses yeux tout aussi curieux que ses vilains démons s'ouvrirent d'avantage esquissant un petit sourire. Était-ce mal ? Pas si Akiza ne se faisait pas remarqué. Ce que les deux femmes faisaient étaient très flou, mais cela ressemblait à une romance. Pour une fois, Akiza se voyait finalement esclave de ses hormones. Un envie indescriptible la submergeait soudainement. Complètement fou, un petit sourire en coin s'esquissa finalement alors que la petite pièce continuiait de l'autre côté de la fenêtre. Sa langue longea doucement ses lèvres où cela marqua maintenant l'orientation de la jeune étudiante. La couleur d'un de ses Iris passa maintenant au rouge avec un pupille reptilienne. Ses doigts contre le bord de la famille étaient crispés contre celui-ci. La suite de la scène ne pouvait être plus que magnifique...

L'oeil qui regardait à travers la pierre brillait d'un rouge écarlate d'une intensité hors du commun avant de redevenir normal. Un seul contacte oculaire à la pierre suffisait à amener la femme dans l'esprit d'Akiza où une noirceur aussi lugubre que la limite de l'horizon des événement régnait. En son centre un trône trônait au sommet de plusieurs escaliers. Ainsi, une évaluation plus profondite pouvait être fais. Mais, comme la tourmentée avait stipulé plutôt, elle ne garantissait pas la sécurité de personne une fois prise dans cette vision. La suite pouvait être très violente que même sa propre mère n'avait pas pu rester bien longtemps. À croire que c'était peut-être la seule personne à pouvoir finalement rester en contacte avec ce qui la hantait depuis sa tendre enfance. Étonnamment, après un certain laps de temps, Akiza apparue à son tour dans ce qu'elle appelait " Limbe de l'esprit "

- Il n'y a pas grand chose, ici. Juste solitude, Dit Akiza sortant des ténèbres.  

Une chaîne semblait la relié à quelque chose, mais quoi ? La chaîne disparaîssait dans l'immensité des ténèbres abyssales. Son regard ne dégageait aucunement la même et faible lueur que dans le monde physique. Ici, son regard dégageait une profonde amertume. Son regard descendit où  le sol semblait être un vide sans fond. Quelque chose émanait une faible lueur de lumière.  Était-ce une lueur d'espoir ; alors que la même lueur émanait vers le haut où se trouvait le même reflet ? En dessous, où la lumière brillait faiblement, se trouvait une cité qui ressemblait trait pour trait au royaume qui la voyait grandir. Au dessus d'Akiza se trouvait être un reflet plus lumineux, mais aussi plus " corrompu ". Le même royaume, mais sous forme démoniaque - comme un Pandémonium qui traversait l'épaisses brume ténébreuse. Quelque chose les reliait : La flèche de lumière. Pourtant, il n'y avait pas de lumière, Juste ténèbres.

... Une pièce dont le publique pouvait être captivé où Akiza decouvrait finalement ses envies. Sa curiosité lui permettait de découvrir, mais aussi apprendre sur elle-même. Alors qu'elle voyait la femme aux cheveux immaculés. C'était dès lors qu'Akiza se voyait effectivement seule. Seule, dans les ténèbres où elle se voyait comme dans un profond tunnel où la lumière s'éloignait toujours loin. Son pognet enchaîné près  du plafond dans ce tunnel, la studieuse ne pouvait pas atteindre cette lumière qui allait probablement rendre ses jours plus radieux. Cette pensée lui faisait mal. Seule dans ce souterrain avec pour seul ami, sa curiosité d'apprendre des choses. Dans son monde astral, elle baissa les yeux ; ses yeux levèrent quelque peu dans la réalité pour mieux analyser le corps de la jeune femme à la chevelure pure comme la neige. Le sourire de cette femme réchauffa mystérieusement le coeur refroidit de la sinistre étudiante tourmentée. Sa beauté n'avait rien de naturel, comme si cette femme ne venait pas d'ici et vivait pour que sa vie devienne un conte. Si sa vie allait devenir un compte, Akiza voulait que son histoire soit écrite par sa plume...

- Si vous levez les yeux, vous allez voir ce qui fait rejeter tout le monde par ces " yeux "

... Un conte écrit de la plume à Akiza. Une histoire dont l'héroïne, Akiza, allait aussi jouer son propre antagoniste. Non-seulement une histoire où un livre allait accumuler la poussière, mais aussi décrire la lumière ainsi que l'étoile brillant dans sa magnificence.
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Alexia Oniarth

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Jeu 12 Sep - 5:42
Age du personnage : 22 ans
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Alexia fut curieuse de voir la fille de Saeline agiter un médaillon d'un rouge sang devant elle. Il semblait magique et l'énergie qu'il dégageait n'inspirait pas confiance à l'infirmière aux longs cheveux blancs. Cependant, Akiza semblait vouloir lui montrer quelque chose. Aussi, elle fixa le médaillon quelques secondes avant de se sentir tomber dans un espace vide. Malgré la peur qui lui broyait les entrailles, elle ne poussa pas un cri, se forçant à rester calme et analyser la situation. Ce qui n'était pas facile lorsque notre corps nous hurlait que nous étions en danger de mort. Cependant, elle ne mordit les lèvres et finit par atterrir dans un lieu obscur ou seules les ténèbres semblaient exister. Lentement, la jeune renarde tendit une main et une lumière éclatante jaillit de sa main, éclairant les lieux et rependant une étrange énergie positive. De plus, un bouclier invisible s'était formé autour d'elle. Même si elle était dans l'esprit de la jeune rousse, l'aronde continuait de protéger celle qui avait dévoué sa vie à la protection d’autrui.

Alexia fit quelques pas, observant cet endroit avant de se retourner en voyant Akiza s'avancer lentement vers elle. Elle semblait triste et traînait ses pieds au sol, une lourde chaîne se perdant dans les ténèbres. Elle fronça légèrement les sourcils, ne pouvant s'empêcher de se demander pourquoi Saeline n'avait-elle jamais réglé ce problème venant de sa fille. D'ailleurs, comment une fille ayant une mère et un grand frère aussi lumineux pouvait-elle dégager une aura presque démoniaque. Alexia s'approcha et déposa une main délicate sur son épaule.

Pourtant, hors d'ici tu n'es pas seule. Tu le sais, n'est-ce pas? Je suis sûr que ta mère et ton grand frère s'occupent de toi. Non?

Elle lui sourit avec une certaine tendresse et la lumière devint aveuglante alors qu'un sentiment de bonheur envahissait les lieux, chassant les ténèbres et ramenant les deux femmes dans leur monde. Au final, avaient-ils vraiment bougé? Probablement pas. Ce n'était sans doute qu'une vision que la jeune renarde avait eux de l'esprit de la jeune rousse. Elle toussa légèrement et reprit rapidement une gorgée d'eau glacée pour reprendre ses esprits et attraper le parchemin, notant ce qu'elle avait vu. Elle devrait sans doute en parler avec sa mère. Où Saeline avait-elle trouvé cette gamine qui semblait si étrange et si perdue dans ce monde?

Elle termina d'écrire et ne put que remarquer qu'elle n'avait toujours pas voulu lui parler de ce livre. Elle devait sans doute être plus insistante? Après tout, ce n'était peut-être qu'un grimoire de cours sans réel intérêt. Cependant, ça ne ressemblait pas à un vulgaire livre de cours. D'ailleurs, c'était étrange qu'elle le serre contre elle ainsi. De la même façon, c'était étrange que Saeline lui laisse une pierre aussi maléfique que celle qu'elle portait autour du cou. L'infirmière se leva lentement et s'approcha d'Akiza, lui souriant avec une certaine tendresse et ce penchant vers elle en la regardant dans les yeux et tendant la main.

Dit Akiza, tu permets que je regarde ton livre? J'aimerais beaucoup le voir.
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Jeu 12 Sep - 20:39
Is that a freaking twisted joke !? Tu l'amène ici, alors que nous avons déjà affaire à ta mère et ton frère!
À croire que certain n'aimait pas avoir des instrus chez soi. Cela marchait dans les deux sens. L'abomination qui logeait à l'intérieur d'Akiza n'était pas aussi une intrue ? Dans le genre, cette chose n'était pas chez elle. Peut-être bien ? En fait, c'était complexe, car le lieux qu'elles appelaient Limbe n'était totalement l'esprit d'Akiza, mais comme un trou de ver dans l'espace temps. Donc c'était un entre deux en quelque sorte. Comme si le ver se trouvait être en deux pommes ou un crayon entre deux feuilles de papiers. L'entité était chez elle. La chaîne qui retenait Akiza la reliait vers l'inconnue. Une épaisse noirceur qui devenait de plus en plus sombre encore au rythme que l'on avançait. Étrangement, il n'y avait pas de dimension, la rotation ne semblait pas non plus existé. Peu importe où l'on regardait, cette flèche trônait toujours au centré face au trône. Peu importe où l'on regardait, deux sphères rouge flamboyante scrutaient les deux jeunes femmes. Peu importe où, cette paires d'yeux  les observait. Le ciel au ciel de la terre à la terre qui reflétaient ces deux royaumes d'haut en bas, un éclat des plus lumineux surgit de l'infirmière. En conséquence de cause, Akiza se vit complètement aveuglé où ses yeux devinrent rouge flamboyant, comme les deux sphère. Ses crocs doublèrent en volume où sa peau devint aussi semi écailleuse durant cette instant. Où justement elle s'écria d'une voix rauque - aucunement sensuelle et mielleuse - dans une langue démoniaque.
- Is that a freaking twisted JOKE !? ( Ça risque de surprendre quelques-un, mais je ne parle la langue démoniaque, donc je l'ai écris en anglais.-. )
Sa réplique échoua. Heureusement, cela annonçait qu'elle n'avait pas retrouvé la totalité de ses pouvoirs d'antans.
La lumière dégageait trop de puissance. Loin des flammes dégagé par son frère où cette énergie n'était que nauséabonde à ses yeux. L'énergie semblait si concentré au que sa peau se mit à se fissurer. Les sclérotiques de la jeune tourmentée devrint soudainement rose, ce qui signifiait que sa dualité resistait où le regard de celle-ci se déformait atrocement comme si Akiza devanait elle-même une abomination.
- Cette... Lumière... ne... n-nous... affecte PAS! S'écria-t-elle bel et bien en français pour être sûr de se faire comprendre.
Ses iris se fissurèrent aussi et ses sclérotiques volèrent en éclats en amènant ses iris flamboyants. Sa peau se écailleuse de même disparue en poussière. Cette atroce lumière
Qu'est-ce que tu fais !? Tu veux tout foutre en l'air, Lui criais-je après en la remenant vers moi en tirant sur la chaîne pour ensuite la frapper !? Je te l'ai dis et je te le redis, comme quoi que je dois toujours me répéter avec toi, je suis ici pour rester, et ce, pour l'éternité! Tu es ma clé pour vivre éternellement, donc n'essaie pas de tout foutre en l'air!..
Elle avait juré de revenir.

Ce fut un événement assez traumatisant pour les deux jeunes femmes. La mère adoptive d'Akiza n'avait pas pratiqué une séance de la sorte. Étrangement, elle avait même réussi à communiquer avec l'entité qui reposait dans Akiza, sa dualité. Une fois réveillée de cette vision, la jeune studieuse avait horriblement chaud. En fait, c'était même la première fois qu'elle ressentait la chaleur. Était-elle guérit comme par un exorcisme improvisé ? Non. La chaleur qu'Akiza dégageait normalement s'échappait de manière complètement incontrôlable. Sa pierre était d'un rouge rubis incandescent. Le Monstre qui lui servait de dualité était tellement en colère, insultée et humiliée qu'elle le faisait sentir par cette chaleur incontrôlable. La démone voulait montrer sa ténacité en tant qu'épine et que l'infirmière n'était qu'une goutte de sang qui allait tacher inutilement ses vêtements.
Akiza tentait de se contenir sa sa propre ténacité. Ses sclérotiques commençait à prendre une légère teinte de rose. La ténacité d'Akiza rivalisait avec celle de sa dualité. Ce qui l'était, étrangement, les enseignements de Saeline, sa mère adoptive : un par un, une étape à la fois. Un par un, une étape à la fois et nous allons voir se qui en résulte. Ce qui voulait dire que la première étape était la plus dure poure Akiza : se concentré sur une seule chose au lieu de rêvasser. Se concentré sur ses émotions ainsi que ses pulsions afin de se calmer. À voir ces étapes, cela ressemblait à une charte des cours de yoga où chaque étape semblait être une étape une. Oui, car Akiza ne pouvait pas se permettre de perdre complètement ses moyens. Cela lui coûterait tout. Se concentrer sur soi, sur ses émotions ainsi que son livre qui se trouvait être plus important que sa propre vie.

L'infirmière intervena en se penchant vers Akiza pour lui tendre la main. Celle-ci demandait si elle pouvait regarder son grimoir. Une chose qu'il ne fallait pas faire. Personne n'avait le droit de le voir, même pas son frère. Le nombre de crises que Saeline vivait afin qu'elle puisse le voir. Seule sa mère pouvait en avoir la garde en quelque sorte. Et pourtant, le grimoire lui revenait comme par enchantement, peu importe les sceaux qui lui était imposé. Il était comme ça. Un artéfact puissant qui gardait le récit de sa vie, sauf lors de ses crises qui laissaient des black outs dans les paragraphes. À cette demande, Akiza se senti maintenant violé émotionnellement.
- N-n...
La chaleur s'intensifia drastiquement. Ses iris devinrent rouge. Ses cheveux roux se mirent à léviter... l'étape une devenait critiquement une échec.
Pas tout à fait, son iris droit redevenait rose malgré tout. Sa ténacité surpassait celle de sa dualité. Où est-ce qu'elle venait de trouver un point d'encrage et à quel moment pour rester accroché. Le tendre sourire que l'infirmière lui faisait. La splendeur qu'elle dégageait tel le rayonnement de la veille d'une nouvelle lune. Sa chevelure immaculée. Akiza contempla sa beauté, son corps, ainsi que sa personnalité. Chaque partie de son corps de ses épaules, ses seins, ses hanches en plus de ses jambes, Akiza se concentra sur le souvenir du jour où sa curiosité l'avait poussé à l'épier d'une manière assez perverse durant l'une des séances. Ses rêves éveillés semblait être un meilleur point d'encrage, surtout lorsqu'elle s'imagina être à la place de la femme à faire autre chose mené par ses envies et laisser libre cours à son imagination. Combustion spontanée. Les vêtements d'Akiza volèrent en poussière. Amenés par les flammes, la jeune étudiante se retrouva complètement nue devant Alexia. Malgré que la pierre, ses yeux et tout le reste de son corps venaient de redevenir à la normal ( la preuve était là et mise à nue ) ses joues gardaient leur teinte  légèrement rouge. Ses petite pointes comme des cerises durcirent. Après quelques seconde où Akiza senti le froid, elle convrit ses petits seins et se repositionna pour couvrit son intimité à l'aide de son autre main.

- N-ne vous gênez pas...

...Lorsque le soleil se couchera pour la dernière fois. L'avènement annoncera mon retour éternel où le cycle se brisera pour une nouvelle ère. Ce crépuscule perpétuel sera l'aube de ma ascension vers mon apothéose où les apôtres n'entendront que ma voix pour l'éternité. Ma beauté séduira les âmes de chacun des archevêques... et ce, pour l'éternité...
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Alexia Oniarth

Feuille de personnage
Puissance Personnelle Brute (potentiel):
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Type d'énergie canalisée: Positive profane
Alexia Oniarth
Alexia Oniarth
Infirmière de l'académie - Eleve-Chercheur de Magie Blanche -Mage 4e ordre
Dim 15 Sep - 1:35
Age du personnage : 22 ans
Race : Métamorphe
Pouvoirs : Transformation-magie du silence
Puissance moyenne : 119
Alexia ne comprenait pas ce qui se passait dans cet endroit étrange. Elle ne comprenait pas pourquoi les ténèbres habitaient ainsi le coeur de cette enfant et elle ne comprenait pas pourquoi une lourde chaine semblait la relier à quelque chose. Cependant, elle pouvait clairement sentir le mal dans son coeur, qui pourtant n'était pas celui d'une sorcière. Elle fronça légèrement les sourcils devant la représentation de son être et lentement, la jeune et douce renarde tendit la main pour faire apparaître une douce lueur. Hélas, elle ne sembla pas apprécier et avant de comprendre ce qui se déroulait, elle sentit les ténèbres fondre sur elle et expulser de cet endroit. La renarde n'avait pas tout compris, mais elle avait mentalement noté ce qui se déroulait dans cet endroit étrange. Elle se promit intérieurement de revoir régulièrement cette fille pour son propre bien.

Lorsque la renarde ouvrit les yeux, elle remarqua que la pièce semblait ordinaire, des plus normales. Elle avait peut-être rêvé... Mais pour en être sûre, elle garda tout de même Akiza quelque temps avec elle. Enfin, le temps de terminer la rencontre. Cependant, son regard fut attiré par le livre qu'elle gardait contre elle. Elle se leva et se pencha vers elle en lui souriant avec tendresse, lui demandant son livre. Malheureusement, elle remarqua bien vite par le comportement de l'élève qu'elle se refusait à lui donner et avant qu'elle ne puisse répondre, elle recula vivement pour ne par être brûlé par les flammes qui la recouvrait. Lorsque les flammes se dissipèrent, Akiza était entièrement nue sur le sofa, cachant de son mieux son intimité et sa poitrine. Les joues de la renarde rosirent légèrement et elle se dépêcha d'attraper une couverture posée plus loin avant de la déposer avec délicatesse sur les épaules de Akiza pour lui permettre de se cacher et de se réchauffer.

Ne t'inquiète pas Akiza, c'est le genre de chose qui arrive à tout le monde...

Elle lui sourit toujours et déposa avec délicatesse ses mains sur les épaules de la rouquine. La gamine... Non, pas la gamine. La jeune femme semblait avoir honte de ce qui s'était passé, mais ça resterait entre eux. De plus, elle trouvait sa réaction plutôt mignonne. Elle en avait vu assez pour comprendre qu'elle était torturer. Cependant, au final ça restait une jeune femme comme les autres. Une adolescente avec des problèmes, mais aussi des rêves et des solutions. Comme elle à une certaine époque. Elle caressa délicatement ses cheveux pour la rassurer et l'infirmière reprit finalement sa place sur le fauteuil.

Je crois que nous allons arrêter pour aujourd'hui, à moins que tu veuilles me dire autre chose Akiza?

Elle lui souriait toujours avec cette bonté et cette tendresse qui lui était propre. Elle était ainsi avec tous les étudiants, mais quelque chose la poussait à aider celle-ci peut-être un peu plus que les autres. Peut-être parce qu'elle était la fille de Saeline? Qu'elle avait vu son monde de ténèbres. Sans doute un peu de tout ça.

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Anonymous
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Lun 16 Sep - 18:46
Une partie d'elle voulait tout détruit, alors qu'il y avait une autre partie qui voulait seulement connaître le monde en appréciant ses biens faits. Apprendre à connaître la beauté de ce monde au lieux de le détruire en considérant celui-ci comme étant laid. Une partie qui voulait seulement... vivre comme elle le sentait, sans laisse la souillure des croyances corrompre son jugement. Ce qu'elle voulait : savoir d'où elle venait, maid aussi, Akiza voulait devenir non-seulement forte, mais la plus forte afin que le monde puisse se protéger par eux-mêmes. Merci à son frère.
Même si ses pensées ne semblait pas être toujours les siennes. Ses larmes de cendres lui appartenaient, cela démontrait qu'elle devait continuer de marcher la tête levée. Lors du cour où elle avait perdu conscience... ce manque de force l'encourageait de rester début! Alexia qui avait affronté sa dualité comme sa mère l'avait fait plus tôt. La jeune patiente était surprise que l'infirmière n'avait aucune blessure, hormis peut-être quelque cauchemars. Cela se serait pas surprenant. Normalement, ceux qui essayait de voir ce qui à l'intérieur de la pierre devenait totalement fou. La forêt voulait protéger Akiza dit monde extérieur, mais aussi protéger le monde extérieur d'Akiza elle-même. Cela voulait-il dire que la forêt n'avait pas confiance en ses capacités ? Pourtant, Akiza venait de prouver qu'elle pouvait contenir l'image rage vengeresse qui l'habitait, au prix de ses vêtements ignifuges. Akiza tentait de couvrir ses petites cerises, mais aussi sa nudité du mieux qu'elle le pouvait. Alexia lui mit une couverture. C'était déjà cela. Sa routine changeait assez rapidement en fin de compte.
Mais ce n'était des choses qui arrivait à tout le monde. Elle n'était pas dupe à se point, naïve, mais pas cruche.

- Comme vous le demandé, si vous voulez en arrêter là pour aujourd'hui, je dois impérativement repartir avec mon grimoire. Il le vaut mieux, c'est une nécessité...

Combien de temps s'était écoulé dans cette pierre, sachant que la perception du temps était différent dans ces ténèbres. Littéralement, il y avait une sorte de distorsion qui faisait en sorte que la perception devenait flou. Pas loin de 45 minutes c'étaient passés dans ces ténèbres. Normalement un rendez-vous dirait une heure, celui-ci avait duré plus longtemps. Tout en espérant que l'infirmière n'allait pas charger plus cher... ou encore garder le grimoire en échange, comme un simple échange de service, car c'était impossible. Le grimoire allait lui revenir de droit, mais ce n'était pas tout le monde qui savait cela.

- ... Je ne peux pas dire la raison précise de cette requête. Seulement  qu'il n'apprécie guère les étrangers. Enfin, je dirais plus qu'il est, disons, " possessif "...

Dit-elle comme si son grimoire pouvait ressentir des émotions comme la joie et la colère allant jusqu'à l'obsession. Aller dire cela à une psychologue n'était pas vraiment l'idée du siècle. Si Akiza voulait être étiqueté comme folle et être enfermé, en ce moment, elle si prenait bien. Il manquait juste à lui ajouter qu'elle avait des conversation super, non ultra super palpitante avec et le tour était jouer.  Elle en avait, c'était juste qu'Akiza ne s'en rendait pas compte, comme en transe. Une histoire tirée par les cheveux.

- ... Si vous voulez, bien sûr, vous pouvez prendre de votre temps pour aller me voir à la bibliothèque où j'y passe une bonne partie de mon temps. Là, vous pourrez y jeter un oeil. Mais je ne garantie rien, il se peut que vous ne compreniez rien aux textes.

~ Où il y avait une once d'espoir d'atteindre le Soleil! les ténèbres traversèrent les étendues de lumière. Milliers de sorcière brulèrent sur le bûcher. Un traumatisme que sa dualité portait avec un sinistre désarroi. Là où la folie l'amèna vers une gloire où elle rencontra la Saint Mère - Écarlate. Que ses lèvres meurtries embrassent leur désespoir en naissance. Avoir le pouvoir de se protéger elle-même fut son dernier souhait. Folie, où elle voulait seulement aller dans les bras de la Mère des Abominations afin de se réconforter. Ceci n'est que son voeur de mort... brûler par sa démence en tane que sorcière infernale. ~

De tel texte, ce n'était pas étonnant que ce grimoire degageait une énergie si sinistre. Comme si ce n'était pas assez, des petites voix tourmentée réclamaient leur liberté. Des âmes souffrant éternellement. Des cris de lamentations à des rire de satisfaction. Saeline avait raison de vouloir de le sceller. Ce grimoire cachait bien plus qu'un pouvoir occulte, démoniaque et ésotérique. Ce grimoire n'était seulement la propriété de l'entité qui habitait Akiza, non, il y avait quelque chose derrière tout.
Son âme ère dans les ténèbres en ma compagnie...
Son âme dans les tréphons des enfers comme compagnie...
Son âme dans les abysses des limbes comme compagnie...
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Alexia Oniarth

Feuille de personnage
Puissance Personnelle Brute (potentiel):
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Type d'énergie canalisée: Positive profane
Alexia Oniarth
Alexia Oniarth
Infirmière de l'académie - Eleve-Chercheur de Magie Blanche -Mage 4e ordre
Mar 17 Sep - 14:14
Age du personnage : 22 ans
Race : Métamorphe
Pouvoirs : Transformation-magie du silence
Puissance moyenne : 119
Alexia avait été plutôt surprise de voir la jeune femme perdre ainsi ses vêtements dans ce qui semblait être une combustion spontanée. Heureusement, le bouclier de l'académie s'était déclenché pour la défendre, sans quoi elle aurait terminé cette rencontre avec de sérieuses brûlures. Cependant, elle n'en voulait pas à la jeune femme pour ce petit incident. Il n'était pas rare pour des apprentis mages d'avoir quelques problèmes pour maîtriser leur pouvoir magique, surtout devant un grand stress. Apparemment, ce grimoire était une chose importante pour la jeune femme, si importante qu'elle perdait le contrôle de ses émotions et de sa magie lorsqu'on lui demandait. La jeune renarde ne put s'empêcher de lui sourire avec compassion. Ce n'était pas aussi spectaculaire, mais il lui arrivait régulièrement de perdre le contrôle de ses pouvoirs lorsqu'elle était encore une étudiante, si bien qu'une partie de sa classe de l'époque savait pour son appartenance au sang animal.

Elle hocha la tête et reprit sa place, ne cherchant pas à reprendre à nouveau le grimoire. Elle aurait sans doute le temps de vouloir en apprendre plus sur cette jeune femme, mais peut-être pas dans l'infirmerie. Après tout, elle venait de l'inviter à lui rendre visite à la bibliothèque, peut-être pourrait-elle venir lui rendre une petite visite à la bibliothèque. Elle sourit devant ses paroles et la jeune et douce renarde hocha doucement la tête.

Je pourrais sans doute passer te voir à la bibliothèque quand j'aurais du temps libre. Viens, je vais t'ouvrir la sortie. Tu peux garder la couverture jusqu'à ta chambre pour te changer.

Elle aurait aimé lui offrir des vêtements chauds, mais elle n'en avait pas dans l'infirmerie. Il se promit d'ailleurs de demander à Marinn la permission d'acheter des tenues de diverse taille lorsque les étudiants en ont besoin. Elle se leva avec délicatesse et lui sourit avec tendresse avant de la guider vers la sortie de l'académie. Elle n'avait pas procédé à son examen médical, mais vu la situation elle pouvait se permettre de reporter cela. Elle ne semblait pas malade de toute façon, sinon Saeline lui en aurait parlé. Elle ouvrit la porte de l'infirmerie et la laissa sortir en souriant toujours.

Je passerais te voir dès que possible. Passe une belle fin de journée, Akiza.
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