Targatt - La cité profaneConnexion

-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

[Chute des Dominos] Envahissement du Quartier Elfe (Libre)

 ::  :: Quartier Vodrel :: Résidences :: Demeures Elfiques Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Kubilay Bones

Feuille de personnage
Puissance Personnelle Brute (potentiel):
[Chute des Dominos] Envahissement du Quartier Elfe (Libre) 48fs172/500[Chute des Dominos] Envahissement du Quartier Elfe (Libre) Empty_bar_bleue  (172/500)
Type d'énergie canalisée: Positive profane
Kubilay Bones
Kubilay Bones
Directrice Adjointe - Professeur de Contrôle - Consort du Patriarche Bones - Mage 2e ordre
Lun 20 Sep - 12:50
Age du personnage : 25
Race : Humaine
Pouvoirs : Mana/Causalité/Pacifisme
Puissance moyenne : 165


Non au séparatisme elfique
Libre


Kubilay n’aimait pas les elfes, ça c’était quelque chose de connu, une race communautariste, qui se pensait supérieur à tout. La face visible de dégénérescence des immortels, qu’elle retrouvait aussi à ses yeux cher les demi Diables, mais qui était toutefois moins nombreux. Soit, ils étaient comme ça, mais elle pouvait à partir de là, encore supporter leur existence.

Il y avait quelque chose que par contre, et cela qu’importe la race, elle ne supportait pas, c’était la trahison et la lâcheté. Le fait de fuir la cité, et de se réfugier quelque part, soit. Après tout, tout le monde n’était pas un combattant ou être prêt à mettre sa vie en jeu pour le Bien commun.

Jouer le communautariste, au détriment de toutes les autres races de la cité en était une autre. Déjà que le quartier elfique était une aberration qu’il fallait détruire, en voilà l’occasion parfaite, le fait que le Roi de Laïcanan avait été jusqu’à tuer les réfugiées non elfique qui cherchait un refuge était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase.

A la seconde où les informations de ce type furent reçues en Targatt, presque à la stupeur générale, et dans une situation sociale déjà tendu et tenté de colère, où on avait besoin de se chercher des ennemis à abattre, tout autant qu’Hésandre, le royaume elfique voisin, faisait un ennemi de choix, rajoutant à la question magique, la question raciale.

La Maison Bones, flairait toujours les bons coups, et le moyen de se faire bien voir des populations lésées, bourgeoises comme roturières, qui étaient lésés et en colère de cette histoire, fut la première à annoncer un embargo commercial total vis-à-vis du Royaume de Laicanan autant à l’importation que l’exportation, toute personne se mouillant dans le commerce avec ses individus étant immédiatement placé sur la liste noire de la Maison. Une chose qui serait rapidement suivit par tout les opportunistes de service, face à un marché trop elfique à le gout et qu’il serait plus simple de récupérer une fois les elfes totalement exclut de l’affaire. Les Bones en profitant pour écraser de tout leur poids de leur influence économique et politique les Guildes auxquelles ils appartenaient notamment bancaire et marchande pour faire valoir cette décision d’isolation du Royaume elfe. Après tout, il y avait là plus que de l’argent, un besoin social, dans cette période de crise économique causé par la destruction, il était certain que socialement et dans la vision populaire, les Guildes financières finiraient par en pâtir, et on ne pouvait savoir jusqu’où cela pouvait aller. Kubilay ayant certifié sans magie de vérité que sa prémonition contenait l’existence d’une révolte populaire, il ne fallait prendre aucun risque sur le fait de ne pas être du coté de la population lésée et frustrée par la situation.

Mais la plus directe des réactions aux actions ne fut faite sous l’égide de la Maison Bones, mais bien uniquement sous l’instar des méthodes personnelles de manipulation de l’ancienne prêtresse de la pureté de l’Ether. Rapatriant sur ses propres deniers, les corps des réfugiées tués par les elfes des forets, elle leur offrit tout aussi gracieusement à eux, et à leurs familles, des cérémonies funéraires aussi cher que voyante, histoire que tout le monde soit au courant, nombre de bourgeois y étant implicitement invité, ne serait ce que pour montrer qu’ils étaient avec le peuple. Les formules et les manières des prêtres et des familles s’occupant de cela était spécifiquement tourné afin d’incriminer de manière extrêmement violente le peuple elfique et le Royaume Sylvestre, relevant toujours l’hypocrisie elfique qui parlait de tolérance et de tempérance tout en étant les premiers à tuer les autres, afin de développer la haine envers eux.

La première étape accomplit, des meneurs de foule, acheté par on ne savait qui sur le marché noir avait pour charge de rameuter les foules vers l’endroit le plus simple pour se défouler, aka le quartier elfique. Une fois présent sur place, au moment même où le Sénat débattait de la guerre pour encore des jours entiers, les foules anarchiques du cercle, dans lesquelles étaient toujours glissés des individus professionnalisés, s’occupait donc de la destruction méthodique de tout ce qui restait du quartier elfe. Les fleurs et les arbustes étaient arrachés, les arbres coupés à la hache ou la magie sous les acclamations populaires teintées de colère.

Après tout si les elfes voulaient faire de l’entre soi, il le ferait en dehors de ce pays, n’ayant donc par leur place en Targatt. Le quartier elfique devait disparaitre pour toujours aujourd’hui, remplacé par un quartier multiracial à majorité humaine…


© TakeItEzy & Ellumya
Revenir en haut Aller en bas
Yearius Clipeum

Feuille de personnage
Puissance Personnelle Brute (potentiel):
[Chute des Dominos] Envahissement du Quartier Elfe (Libre) 48fs125/500[Chute des Dominos] Envahissement du Quartier Elfe (Libre) Empty_bar_bleue  (125/500)
Type d'énergie canalisée: Positives (profane + divine)
Yearius Clipeum
Yearius Clipeum
Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Mer 29 Sep - 4:04
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
Puissance moyenne : 125


Défense






Depuis l'attaque du démon et de l'ordalie sur la cité, les paladins avaient repris plus largement les patrouilles dans les parties sensibles de la cité pour épauler les protecteurs. Soignants ceux qui en avaient besoin et fournissant vivre et médicament aux blessés et à ceux qui avaient tout perdu. La tâche n'était pas facile, mais ils tenaient bon. L'aide de dame Saeline qui avait commencé à s'investir de plus en plus dans les affaires de l'ordre arrivait d'ailleurs juste au bon moment. Charle passait de nombreuses heures avec elle, lui apprenant ce qu'elle avait besoin de savoir pour prendre sa place, car il sentait le poids des années sur ses épaules. Âgé de maintenant 70 ans, le vieil homme n'avait même plus la force de soulever son arme ou d'effectuer le moindre sort un peu demandant. Il ne savait même pas s'il resterait suffisamment longtemps en vie pour voir son protégé Yearius revenir. Mais une chose était sûre, l'ordre paladin resterait debout pour voir le retour de celui qui avait permis sa résurrection.

Si une petite partie des paladins, surtout des guérisseurs et des apprentis, étaient restés dans leurs avant-postes du cercle, la majorité des paladins avaient quitté le palais en compagnie de plusieurs escouades de protecteur pour arrêter une foule en colère qui semblait se diriger vers les quartiers elfiques. À la tête des paladins et des protecteurs, un homme d'une quarantaine d'années, aux cheveux étrangement gris, portant une grande barbe bien fournit et au regard incisif, surlignant ainsi son visage couvert de cicatrice. Simen était l'un des deux Vinrod à avoir accepté l'offre de Yearius et avoir intégré le palatinat. Le départ pour une alliance et pour afficher le palatinat comme un ordre nouveau accueillant tous ceux qui souhaite faire le bien et aider son prochain.

Portant l'armure de l'ordre, sa longue cape bleue flottant au vent, il observa les manifestants s'avancer vers le mur de bouclier qu'avaient dressé les paladins devant le quartier elfique. Sans peur, Simen s'avança devant ses hommes et observa longuement les manifestants. Il renifla l'air et grimaça en ressentant colère et chagrin dans le coeur de ses habitants qui cherchait un coupable. Il leva les mains en direction de la foule et tonna d'une voix forte.


-Mes amis! Ça ne sert à rien de chercher la vengeance dans notre propre cité! Le pillage et la destruction n'engendrent jamais rien de bon! Si certains ont besoin d'un toit ou de nourriture, nous nous ferons un plaisir de vous donner ce dont vous avez besoin! Mais en aucun cas, nous ne pouvons vous permettre de mettre à sac des habitants qui ont déjà souffert à cause du démon. Rentrez chez vous et prenez plutôt soin de vos proches! Les ennemis qui ont tué les nôtres seront châtier nos morts ne resteront pas impunis! Vous avez ma parole.

Il baissa ensuite doucement ses mains sans faire un geste pour attraper son sabre ou sa Schleudrinne courte. Il observa simplement la foule qui s'était arrêtée pour observer les paladins. Les paladins de Targatt avaient aidé nombre d'entres eux qui semblait soudainement réticents à l'idée de vouloir s'en prendre à ceux qui avaient été des sauveurs pour beaucoup d'habitant moins loti de la cité. Le paladin quant à eux observait toujours la foule. Si leurs bouliers étaient dégainés, aucun n'avait sorti son arme. Ils étaient prêts à intervenir magiquement si la situation devenait critique, mais cette fois il n'était pas question de commettre un massacre. Ils devaient s'assurer qu'aucun habitant ne perde stupidement la vie. Et même si les quartiers elfiques avaient été vidés, il savait que certains elfes avaient préféré rester en Targatt et il ne pouvait pas laisser cette foule en colère s'en prendre à eux. Simen insista d'une voix forte en conclusion.

-Notre cité n'a-t-elle pas vécu assez de drame pour vous? Nous devrions tous être dans nos maisons à veiller les un sur les autres. Inutile de faire couler plus de sang. Rentrez chez vous et laissez le temps et les dieux penser vos blessures! Aujourd'hui est un sombre jour, je vous en supplie, ne l'aggravez pas par rancune.

Restait à voir si de simples paroles allaient pouvoir les calmer. Peut-être pas. Dans les autres cas, plusieurs pièges avaient été tendus et les scrutateurs du renseignement gardaient un oeil sur la foule. Ils avaient accepté, en l'absence de leur chef, de coopérer pour cette fois. Une première dans l'histoire de la cité. La collaboration de toutes les unités armées du régime puisque même certains gardes royaux étaient présents pour prêter main forte.



Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sauter vers: