Un enlèvement libérateur [ PV Alleyne/Luna/Saéline] (TERMINÉ

La maison des plaisirs possédait cinq entrées. L'une était celle du public, la plus soignée mais discrète malgré tout. La manière dont elle se structurait et un sort d'altération de la vue permettait d'entrer encore plus discrètement. La seconde était une porte magique dissimulé. En soit, il s'agissait plus d'un portail de téléportation que d'une porte. A l'aide d'une petite incantation verbale ou gestuelle, mes filles pouvait atterrir ici. La troisième était un portillon, dans une petite rue peu fréquentée, donnant sur un couloir voûté menant lui même à une petite cours intérieure privée ou les filles prennent leur pose à l'abri des regards les jours de beau temps. Les deux autres me sont exclusivement réservées. L'une est le portail personnel qui me permet de rentrer directement dans mes appartements, l'autre est une petite porte à coté du portillon des filles.

Je n'ai pas utilisé le sort de téléportation pour la même raison que je n'ai pas fait usage du cercle de Saéline. J'ai pris soin de protéger mes murs de toute intrusion magique ou physique. A mon niveau bien sûr, mais rare était ceux parmi mes détracteurs à posséder les compétences de passer outres ces protections. Il faut dire que dès j'en identifiait un potentiel, je m'arrangeais pour lui ôter un peu de son sang afin d'enrichir la protection.  C'est fou ce que l'on pouvait faire avec un peu de sang. Une fois le rite accompli, les gens concernés ne pouvait plus entré d'une quelconque manière en dehors des heures d'ouvertures et seulement dans les locaux publics. Chambre des plaisirs incluses bien évidemment. De cette manière, ils ne pouvaient rien faire pour passer outre sans aide en théorie. A moins de réellement être plus puissant que moi.

Bref, aujourd'hui, il était encore tôt et mes filles dormaient encore pour la plupart. L'endroit que nous traversions avec Alleyne était donc particulièrement calme. Ce qui contrastait naturellement avec le vacarme du marché que nous avions agité.  Traversant le plancher de mon salon, nous reprenions toutes deux notre tangibilité.

Mes appartements étaient décorés avec chic sans être bondés des fioritures. La majeure parties d'entre elles étaient localisés sur  les rideaux de velours satiné bordé par des broderies de qualités. Peint sur ces tissus, des hommes et des femmes dans leur plus simple appareil se tournait le dos; les dames regardant le ciel, les hommes la terre fertile. L'ambiance générale était faite sur les tons de bois de bouleau et de rouge bordeaux. Un peu de rose ponctuait quelques point précis de manière à contrasté sans être encombrants.

Je m'affalais avec une nonchalance qui m'était peu commune sur un grand canapé de type romain qui permettait à trois ou quatre personnes de prendre  leur...aise.
"Pfiouuuu!" exprimais-je alors en me relâchant d'épuisement. Épuisée? Non. Pas tout à fait. J'étais fatigué certes. Toutes ces énergies positives m'avait mises à mal. Mais j’exagérais volontairement, mais subtilement, cet aspect.

"Je ne peux pas imaginer les épreuves que tu as du traverser jeune fille...Malheureusement, ce n'est pas terminer." lui annonçais-je pleine de compassion alors que je regardais celle que nous venions de libérer.

Sans plus de cérémonie, je captais son regard et plongeais dans son esprit.
"Des gens ont altérer ta mémoire durant ton esclavage. Je vais régler ça si tu veux bien." ajoutais-je un peu à la manière d'un docteur. N'étais-ce pas le rôle que je prenais en lui rendant la mémoire qu'on lui avait scellée?

N'étant pas complètement sans coeur et voulant surtout préserver un minimum la santé mentale d'un pion futur, je m'assurais de ne pas complètement briser son esprit en laissant revenir n'importe quoi et n'importe comment.
Ainsi, Alleyne se souviendrait de son identité, de la globalité des ses propriétaires et aventures depuis qu'elle est esclaves mais pas des scènes les plus violentes qui reviendrait tout de même avec le temps maintenant que le mur était fêler. Comme dit, je désirais garder son esprit dans un état de fonction correct. Faire voler ce mur en éclat aurait eu des séquelles trop chiante à réparer. Aurais-je été obligée de les réparer? Non. Certainement pas. Mais peu importe. Disons que pour l'instant, il était dans mon intérêt de maintenir une certaine intégrité mentale à la demoiselle.

Enfin je n'étais pas sainte pas non plus et je décidais de laisser certains souvenirs sexuellement dégradant. Après tout la jeunette était plutôt jolie dans son genre et il pourrait être amusant de voir une de rayem se dépraver toute seule comme une grande. Parmi les souvenirs revenus, venait aussi l’existence de son frère. Je notais d'ailleurs à ce sujet une chose amusante que je garderais pour moi.

Mon regard doux, s'illumina légèrement alors que je lui souriais.
"Avec tout ça, tu dois avoir besoin de te reposer. Vas donc t'allonger un moment sur mon lit. La porte est juste derrière toi. Si tu préfères, tu peux aussi profiter d'un bon bain. Comme tu préfères. "

Je profitais personnellement de ce répit pour récupérer un peu. Cette demoiselle avait quelque chose d'intriguant. Je ne sais pas trop de quoi il s'agit. Peut être son sang. Je n'ai pas fait attention sur le moment, mais le vampire a eu l'air d'apprécier ce sang plus que de raison. Cela méritait une étude approfondie. Quoi qu'elle choisisse, je ponctionnerait un peu de son sang pour en résoudre le mystère. Bien évidemment, elle ne se souviendra pas de cet...emprunt.

Après avoir ramené Alleyne dans mes quartiers personnels, je m'étais avachis comme une peau de vache dans mon canapé favoris. Non..j'ignorais comment être aussi nonchalante. Vraiment! C'est une chose qui me dépasse. Toujours est-il que je n'y était pas aller de ma grâce habituelle. J'estimais devoir paraître plus spontanée que d'ordinaire pour la mettre à l'aise. Bien qu'elle avait l'air relativement crédule, on n'est jamais trop prudent dans l'art de manipuler les gens. Parole d'experte!

Elle me proposait un soins pour m'aider à restaurer mon énergie. N'ayant subit aucune attaque c'est la seule chose qu'elle pouvait faire. J'acceptais volontiers d'un sourire ravi à son égard.

J'avais choisi de restauré une partie de sa mémoire. Après le désordre du marché, le meilleur moyen de la maintenir en sécurité serait sans aucun doute qu'elle retrouve publiquement la place qui était la sienne avant le massacre. Une place à l'académie n'était pas une position que Drake pourrait attaqué facilement. Même officieusement. J'avais rapidement capté l'information lors de ma courte connexion avec Saéline un peu plus tôt. Pour cela, la plupart de ses souvenirs devait lui être rendu. Ce que je m'appliquais à faire aussitôt. Le mur avait été bien construit; sans Lumoria il m'aurait sans doute été difficile de le déconstruire. Et je n'aurais sans aucun doute pas pu jouer d'une précision chirurgicale quand à ce que je laissais derrière. J'aurais pu simplement détruire ce qui y restait. Mais...je n'en avais pas envie. De plus, cela permettait une éventuelle porte de ce secours si ce pion commençait à jouer trop bien ses propres pions.

Pendant que je jouait minutieusement avec ses souvenirs, je sentais sa crispation et le flots de ses émotions se chahuter, s'opposer, ou se rafraîchir à mesure des mémoires que je lui rendait. De toute évidence, elle était secoué. Qui ne le seraient pas?

Par contre, après avoir vu tant de chose, je devrais me vider de certaines choses. J'avais appris à mes dépends que trop de souvenirs peut engendrer des dommages cérébraux. Tenant cet organe en grande estime, j'étais particulièrement protectrice à son égard. Après tout quand on s'est s'en servir, on en prends plus grand soin n'est ce pas?
Je m'occuperais avant que ça ne me donne la migraine, mais ça devrait attendre quelques minutes de plus.

Finalement, Alleyne lui demanda au sujet de son frère. Une question à laquelle elle n'avait pas de réponse. C'est justement ce qu'il l'avait amusée...Elle n'avais jamais rencontré de jumeau mais il était dit d'eux qu'ils étaient inséparables et qu'en général, quand l'un mourrait, l'autre suivait. Si elle apprenais la mort de son frère il serait amusant de tester cette théorie. Peut être devrait-elle lui dire qu'il est mort? Juste pour voir sa réaction...Ce serait un bon début d'étude. Après, je n'aurais cas effacer ce mauvais souvenir pour ne pas gâcher mes efforts.

" Ma pauvre enfant...Drake a fait tuer ceux des tiens qui restaient en vie après le massacre. Aucun n'a échapper à sa vilenie. C'est un miracle que tu ais pu lui échapper." lui dis je avec une compassion parfaitement feinte. Qu'il était bon d'être bonne actrice.

Une fois sa réaction observée pendant quelques bonnes minutes si nécessaire, j'effaçais cet odieux mensonge de ma part et la scène qui en découlait et par extension, les émotions ressentie à cet égard. Mensonge? Pas si sûr. Après tout, je n'avais pas la réponse, mais soyons honnête les chances étaient maigre. Toutefois, je n'avais pas pour habitude de me prononcer sur des pronostics douteux ou aléatoires. Je finis donc par lui répondre que je n'avais pas de réponse à cette question avec la même compassion que le mensonge désormais effacé de sa mémoire.

Annonçant qu'elle préférait le bain à la sieste - ce que je comprenais parfaitement puisqu'elle empestait les lieux - elle ne tarda pas à demander quelques vêtements. Evidemment, j'aurais du y penser. Les bouts de tissus qui lui servent de fringues n'ont sans doute pas été lavé ou changé depuis sa mise en esclavage. Ils étaient si déchiré qu'ils en frisait parfois l'indécence. Pour une De Rayem en tout cas. Elle avait presque eu de la chance. Certaines femmes étaient vendue avec des fringues laissant un bout de sein dépassé ou plus encore.

Personnellement, je n'ai pas de vêtement qui puisse être à sa taille. Mais je pouvais lui prêter une des lanière de cir que j'utilise pour ma poitrine. Bien qu'elle serait un peu grande, mise correctement, elle pourrait donner une impression de poitrine plus opulente que d'origine. Mais je doutais qu'elle en dispose ainsi. Peu importait, je me levais et ouvrait mon armoire dans laquelle Alleyne pourrait constater que la plupart de mes tenues étaient coquettes pour l'époque.

En me dirigeant là, je lui répondait chaleureusement :
"Bien sûre très chère, mes excuses pour ne pas y avoir penser avant"

Je lui tendait un bandeau de cuir pour sa poitrine. Les culottes et autres sous vêtement n'étant pas encore porté par les femmes à l'époque, il n'y avait d'autre que je puisse lui proposer.

" Arshan, mon beau. Fais appeler Mélusine veux tu? "

Le jeune homme qui s'était fait discret jusque là juste derrière la porte entra à l'entente de son nom, comme Luna le lui avait toujours demander. Arshan avait un teint basané, avait une corpulence fine plutôt que musclée et avait un teint basané qui laissait deviné une origine ethnique sud-oriental. Sa pilosité légère n'était masqué qu'au niveau de son pubis où une toile de coton blanc cachait ses précieuse partie. Sauf quand il durcissait mais bon...ce n'était pour déplaire à Luna ou autres filles. Bien qu'elle n'avait pas le droit de forniquer avec lui sans l'autorisation de Luna. Autorisation qu'elle ne donnait pas souvent.

"Oui Madame. Je la fais venir de suite" répondit-il après que son regard interrogateur se soit posé sur Alleyne.

Il parti calmement de l'espace visuel qu'offrait le cadre de la porte. On n'y voyait pas grand chose si ce n'est une balustrade bordant un plancher de noyer ciré. Le contre bas n'était pas visible d'ici mais on sentait l'air extérieur s'infiltré par la porte. Il s'agissait de la cour intérieur sur laquelle seule les fenêtres du bordel donnait un vis à vis.
Après quelques minutes, Arshan revint avec Mélusine. De toute évidence, celle ci avait été tiré du lit. Ses yeux étaient encore dans le brouillard et elle bailla largement en arrivant devant la porte. Soudain, ses yeux s'écarquillèrent de surprise. Quand elles étaient appelé par la daronne, les filles devaient venir rapidement et être présentable. Mais il était rare qu'elles soit appelées d'aussi bonne heure et de mémoire, jamais l'une d'elle n'avait été appelé pour voir un client aussi tôt. Alors quand elle vit cette jeune femme étrangère à la maison, deux idées lui vinrent en tête. Soit elle était une nouvelle courtisane dont elle, Mélusine, avait été choisit pour la guider durant les premiers jours. Soit, elle était une cliente. Ce qui était improbable mais possible. On ne peut vraiment pas se fier aux apparences quant aux clients d'un bordel. Il n'y a pas de typologie précise qui permette cela. Si c'est le cas, personne ne l'avait vraiment étudier ou discerner. Quoi qu'il en soit, la première option serait un grand honneur, la seconde : le signe d'une grosse réprimande. Bien que l'on se dénudait devant les clients il était parfaitement inconvenant de se présenter nue à eux. Par réflexe, Mélusine couvrait sa poitrine et son intimité avec l'autre main l'air gênée à l'idée d'avoir fait une bêtise.

Avant que mot ne sortent de sa bouche embarrassée, je la rassurais d'un air amusée.
"Pas de soucis ma belle" lui dis-je en m'approchant et en la saluant d'un baiser sur la bouche comme j'avais l'habitude de saluer mes filles.

Je me tournais alors vers Alleyne. J'étais sincèrement amusée de la situation mais ne le montrait pas plus que de raison.
"Alleyne, comme tu peux le voir, cette jeune femme, Mélusine et toi faîtes à peu près la même taille...
Mélusine, vois avec elle, une tenue ou deux que tu peux lui offrir. Je t'en achèterais une nouvelle."

La jeune femme fut intrigué. Il était rare que la daronne agisse de la sorte pour une étrangère. A moins qu'elle joue avec elle mais soit bel et bien en train de l'intégrer dans la maison. Non...A priori, Luna n'avait jamais forcé aucune d'entre elle à travaillé ici. Elle ne savait pas ce qui se tramait ici mais ça n'avait sûrement rien de tordue ou de fourbe comme c'était souvent le cas dans les autres bordel. Elle en savait quelques choses puisque toute sa vie elle avait été dans plusieurs bordel. Plus souvent esclave qu'autres choses et sans possibilité de s'en sortir. Luna n'était pas comme ça. Aussi s’exécuta t-elle en souriant ravie d'aider Luna et plus encore d'avoir droit à de nouvelles tenues. Elle commençait à se lasser des siennes, ses clients aussi sûrement.

"Bien sûr Madame" répondit-elle.

Délaissant ses bras pour dévoilé pleinement son corps, elle alla attraper la main de Alleyne.
"Enchanté Alleyne. Viens, je suis sûr que tu trouveras quelque chose à ton goût" dit-elle enjoué à l'idée de ce qu'elle aura en retour. Puis elle la tira en direction de sa chambre.

Pendant leur absences, je chargeais Arshan de garder l'entrée et de retenir les filles un moment si je n'étais pas prête. Sans perdre une seconde mais sans courir pour autant, je me dirigeais dans une alcove dissimulés de la pièce de vie. Là, dans une armoire fermée à clé se trouvait un vase à souvenirs. Avec un don comme le mien, il était nécessaire que j'extrait des choses de ma mémoire. Mais hors de question de les supprimer. Les souvenirs sont du savoir. Le savoir est précieux, il est plus précieux des outils de pouvoir. On ne le jette pas par les fenêtres. Ceux qui le font sont dénués de raisons.

Cette histoire me prit quelques minutes, une dizaine tout au plus. J'avais stockés les informations concernant l'artefact et les informations sur l'éthérisme que m'avait fourni quelques jours plus tôt une de mes filles chargées de participer aux prêche à ma place. Quand elle revinrent, quand elles revinrent, j'étais confortablement installée sur le canapé, comme si je n'avais pas bougé. Et ce même si elles finissait plus vite que moi. Après tout, Arshan était là pour les retenir.

Je regardais les deux jeunes femmes entrée.
" Mélusine, tu as bien fait de revenir avec elle. Tu veux bien l'accompagner? Je suis certaine qu'elle appréciera ton assistance. Je lui enverrais bien Arshan qui sait presque aussi bien y faire, mais...Je doute que Alleyne trouve cela convenable. Prenez votre temps surtout" invitais je gentiment. J'avais des pensée uun brin coquine et déplacée. Je dois admettre que l'occasion de dévergondé une paladine était excitante à mes yeux. Oui..j'y jouerait surement de temps à autres...

J'étais bien amusée de voir les joues de mon invité rosirent crescendo à mesure de ce qui se passait devant ses yeux. Je me contentais de me montré bienveillante à son égard. Aussi les regardais-je partir main dans la main. Après avoir effacée quelques donnée de ma mémoire, je m'étais installée sur le canapé et sirotait une tasse de thé.

A leur retour, je demandais à Mélusine d'aider Alleyne a prendre son bain. Bien sûr, tout le monde pouvait se laver seul, mais qui n'appréciait pas que quelqu'un nous frotte le dos ou nous shampouine les cheveux? Personne, j'étais bien prête à le parier. Quoi qu'il en soit, la paladine me remercia et alla dans la salle de bain accompagné de mélusine.

Mélusine frappa entre ses mains et Arshan les accompagna aussitôt après approbation de sa maîtresse. Sans plus d'instruction, il se saisit d'un objet flanqué dans un pli du tissu qui, seul, recouvrait ses parties intimes. Le jeune homme activa l'objet au dessus de la bassine en bois d'ébène, la remplissant ainsi d'une eau chaude qui devrait être confortable au demoiselle. Magique, la bassine garderait l'eau à la même température. Arshan fit un geste poli avant de se retourner et de quitter la salle.

Pendant ce temps, Mélusine avait demandé à Alleyne de se déshabillé. Comme elle semblait timide et qu'elle ne voyais pas l'intérêt de l'être, elle s'était approché en lui souriant; les mains sur les épaules de l'invitée.

"Ne te prends pas la tête devant lui. Il nous a toute vue à poil. Et puis, il n'osera pas poser les yeux sur nous de manière sale. Dame Langevin le réprimanderait sévèrement"

Dans un même temps,par derrière et avec une douceur amicale, elle commençait à enlever les vieilles guenilles de la jeune de Rayem.

"Merci Arshan" lui lança Mélusine alors qu'il les quittait.

La bassine était assez grande pour entrer toutes les deux. Mais la politesse voulait que ce soit les invitée d'abord. La jeune femme se positionna devant le bain et fit fit un geste d'invitation envers Alleyne.

Durant ce moment d'hygiène, Mélusine, qui n'était parmi les plus prude, armée d'une douce éponge de qualité, massait le corps d'Alleyne avec une délicieuse envie d'aller plus loin. Aussi ne se privait-elle pas d'insister légèrement sur les parties sensibles de la jeune fille. Elle ne la forcerait pas. Mais elle savait y faire et si la jeunette se laissait faire, Mélusine ne manquerait pas une occasion de goûter sa précieuse intimité de sa langue experte. Bien sûr, elle irait progressivement en passant par un délicieux massage pubien. Elle n'avait pas eu d'ordre en la matière mais la fille de joie était gourmande et Luna lui avait laissé carte blanche.

Si Alleyne refusait trop catégoriquement, Mélusine cessera d'insister et se conterait de la laver avec douceur mais sans plus d'insistance sur les parties charnelles.


Quand les deux jeunes filles sortirent du bain, j'observait la mine de chacune. Je saurais bien assez vite si elles s'étaient amusés avec une idée certaine du comment.

Acceuillante, je m'adressais à elle .

"Cela fait du bien n'est ce pas? Cette robe te va à ravir Alleyne. Considère là comme tienne...." Je me tournais ensuite vers ma charmante fille : "Tu peux aller finir ta nuit Mélusine. Je te vois plus tard pour remplacer celles que tu viens d'offrir. "