Tournoi de la grande fête de Targatt - Cepheid VS Lélianna

La monotonie des taches au palais faisait que a vie était devenu rapidement rédhibitoire, mais je m’en plaignais guère. Il n’y avait qu’ à me rappeler du fait que lors de la vente aux enchères dont j’ai été le lot j’ai faillis être acquise par un enfoiré de proxénète ou encore des salles sangsues…Des Drow ! En soit je ne pouvais rendre grâce qu’a cette elfe qui m’avait rendu ma liberté et qui s’était assuré que je dispose d’un toit et d’un travail. J’avais été placé sous les ordres d’une certaine Saeline, je ne la connaissais que trop peu pour la jauger. J’ignorais encore si j’étais fière d’être à son service ou non. C’était au détour de mon travail, époussetant la poussière des meubles meublant un corridor que j’avais intercepter quelques potages de cour. Il était question d’un grand tournoi de magie à l’occasion de la grande fête. Il fallait que je m’y inscrive, cela pourrait être intéressant, et rajouter un peu de piment. D’autant plus qu’étant doté du don de methaprohose, cela serait grandiose de me à l’œuvre dans un tel événement. Ni une ni deux c’était décidé, j’avais fini par m’inscrire. Avec un peu de chance je me ferais remarquer par les Elites et obtiendrais quelques faveur.

Le bruit de la foule résonnait , je n’avais pas l’habitude d’une telle scène et l’appréhension me gagnait, je tremblais un tant soit peu. Mes yeux balayait la foule en quête d’un visage familier mais je me rappelais soudainement que je ne connaissais personne , mon arrivée était trop récente. Un sourire se dessina malgré tout sur mes lèvres lorsque j’aperçu cette officière elfe qui m’avait offert un travail. Mon visage se fit plus sérieux lorsque je vis la tribune royale, j’avais complètement oublier ma révérence. Je me rattrapais aussitôt en lui faisant grâce d’une révérence que je voulais des plus gracieuse possible. Mes yeux allèrent alors sur ma concurrente. Son âge me frappa, c’était une enfant, une véritable gamine. Le combat n’était pas équitable en mon sens ensuite il est vrai que je n’ai pas de parfaites maitrises su ma magie. Si ça se trouve mon adverse a des dons particulier. Comme le voulait la procédure l’arbitre nous fit alors le topos. Les règles étaient simples, et l’idée de savoir qu’aucun de mes sorts ne pouvait la tuer me rassurait. Je ne me sentais guerre capable d’affronter de parents endeuillés. La gamine se dirigea vers moi, je l’accueillis avec un sourire amical. Son commentaire sur le physique me fit rire.

- Eh bien pour moi c’est ni les pommes …Ni les poires, je préféré les oranges. Ne me parle pas de tarte…Tu vas me donner faim et il faut qu’on soit concentrer. Tu sais quoi, j’ai connu une dame qui préparait des tartes au pommes tout simplement divine. Il n’y avait rien de meilleur au monde. Si tu veux a la fin de tout ceci tu viendra au palais, je t’en ferais une avec les plus grosses rondelles que tu auras jamais vu. Et non je ne suis pas une enfant…J’aimerai pourtant !

Je ne pus m’empêcher d’être septique sur la capabilité de mon adversaire ce n’était qu’une gosse et je ne voulais guère lui faire de mal mais les règles étaient clairement énoncées. Eh puis sait-on jamais, je risquais peut être ma place. La fillette joua la carte de la franchise en me demandant ce qu’il fallait faire et le fait qu’elle n’a pas écouter me fit sourire. Qu’est ce que j’aimerai retrouver cette innocence et naïveté de l’enfance.

- C’est un concours de magie, tu dois me battre avec tes dons et je dois faire la même chose, si ça devient trop dur pour toi abandonne…Je ne veux pas te faire de mal.

La salle de tournoi était souterraine, c’était le dernier passage avant de m’officialiser membre le prestigieuse Guilde des Voleurs. Le dernier défis était source d’appréhension pour moi. Les élèves s’affrontaient dans cette arène, devant les pontes de la Guilde. Le combat se faisait au premier sang. J’étais l’une des première à passer. Mon maitre m’observait avec attention. Je n’avais qu’une simple armure de cuir et un lot de dague styleté. Mon adversaire passa immédiatement à l’attaque sans daigner saluer. J’eu beau coup de mal a esquiver sa première attaque. Il était vigoureux et enchaina ses tentatives avec une extrême rapidité. Je dû faire un splendide jeu d’esquive avant de pouvoir, essoufflée, lui enfonçant ainsi la moitié d’une lame dans l’épaule, un mouvement qui me déclara donc vainqueur.

Je fus tirée de ma rêverie à la vue de la reine qui , dressée au centre de la tribune . La situation vu de leur angle allait surement sembler risible, une adulte contre une enfant. Je n’aimais guerre être l’objet de plaisanterie ou tout autre moment d’esclaffe. J’exécutais donc cette révérence que je voulais des plus gracieuse possible. La vue de cette gamine qui se curait le nez me révolta tout du moins. Mais inculquez donc la valeur de l’étiquette à vos gosses sérieux ! Je le souriais, ne relevant guère l’écart de conduite. Après tout je n’avais point mon mot à dire ! Elle semblait être en parfait désaccord avec mon histoire d’orange. Rapidement je pris la même gestuelle qu’elle.

- Eh Bien qui est donc cette petite fille qui n’aime pas les oranges ? A ton âge j’en mangeais des paniers entiers. Tiens , si tu veux savoir avant, dans mon ancien chez moi il y’avait non pas un oranger mai trois. Les fruits y étaient excellents. Je serais prête à parier que cela t’aurait plu. Je passais mon temps à ramasser leurs fruits. Du moins le temps que je ne mettais pas à la taches des inspections des pièges.

Évidement parler de tout cela ne me mettait clairement pas dans de bonne disposition pour un tournoi. J’étais dans mon moment nostalgique, le regard vide jus fixais le sol. Je voulais briller lors de ce tournoi, alors je pris un profonde inspiration puis me mis à repenser aux réel enjeux de cette événement. Mon regard quitta alors le sol avant de se poser de nouveau sur la fillette. Tout sourire je lui lançais :

- Et les pastèques ? Que penses-tu des pastèques…Que tu n’aimes pas les oranges parce c’est un peu acide est une chose…Mais les pastèques…Tous les enfants aiment les pastèques !

C’était vrai ! A son age j’en raffolais. Tandis que nous étions là a parler de fruit et de nourriture les cris de la foule paraissait plus pressés. Il ’y avait donc pas d’erreur, j’allais donc me battre contre cette gamine. Cette idée me terrifiait, je ne voulais guère lui faire de mal. Elle s’approchait d’avantage de moi, méfiante j’observais ses moindres faits et gestes. J’vais été formée comme comatante de la Guilde des voleurs, une formation qui avait portée ses fruits. Je pris une novelles inspirations me rappelant ainsi de toutes les notions étudiée. La fillette s’était d’avantage rapprocher pour me questionner le but d notre présence ici. A peine-eu je finis ma phrase qu’n scintillement attira ma curiosité. La lame d’une dague avait fait refléter la lumière du soleil. Mais où a t-elle trouvé pareil arme ?!
Mon regard se porta sur elle et j’essayais de pénétrer son esprit. Le contrôle mental allait s’averer utile pour ce combat. Je ne voulais pas lui faire trop de mal mais l’épuiser assez pour la contraindre à déclarer forfait. J’augmentais alors la puissance de mon contrôle dans le but de lui faire dévier son coup. Puis, ce qui arrive droit fans le cote c’est un crochet du droit armée avec assez de force pour la repousser.


- Oui c’est exactement ça !

Des claquements de bois caractéristiques se firent entendre, le sourire au lèvre j’ouvrais alors les battants des volants des volets du salon. La scène qui se dévoila alors sous mes yeux était des plus normales. Mon péres coupait du bois pour préparer l’entrée de l’hiver. La vue de ma bouille se risquant par la fenêtre semblait l’amuser puisqu’il s’arreta dan sa besogne pour me sourire. Qu’est ce que j’aimais ces moments de douceur et de calme. Je passais ma main à travers la fenêtre et il me l’avait saisi.  Je  voulais l’aider mais il semblait que je sois que je sois trop petite pour manipuler de tels instruments. Un jour je pourrais certainement l’aider. Une odeur que je ne connaissais que trop bien chatouillait mes narines, une véritable régal olfactif. Je quittais donc alors la fenêtre suivant ainsi la trace de l’odeur. Cette dernière m’amena a la cuisine. Ma mère préparait des galette a l’orange. Elle avait déjà remplis un bon nombre de panier. Je m’approchais d’elle à pas de velour , prête a commettre mon méfait. Ma main survola rapidement l’un des paniers, d’un geste vif, maman me gifla le revers de la main.
- Eh ! C’est pour la journée de marché de demain ! Si je t’en laisse on sait toute les deux qu’il n’en restera plus.
Timide et navrée d’avoir été prise la main dans le sac je ne pu que baisser la tête, tout sourire.

Avoir mentionner les oranges me renvoya a ce moment de nostalgie que j’avais cru pourtant avoir oublié. Comme quoi les meilleures choses semblent être incontestablement gravées en nous. La bruit de la foule me rappela à l’ordre, je mis alors de côté tous mes sentiment extérieur. Je devais garder la tête froide. Visiblement la gamine semblait guère aimé les oranges, tant pis !  Les pastéques par contre c’était une autre histoire !

- De toute manière il est rare d’en trouver l’hiver… Tiens tu va pas le croire, un jour j’en ai vu des carrées ! C’est dingue hein ! Une pastèque carrées ! Est-ce que tu rends compte.

Il était clair que le publique allait commencer a s’impatienter, il était venu ici pour voir du sang et au lieu de cela ils avaient quo ? Une adulte et une enfant qui parlait de fruit. La situation me fit sourire, ceci dit mon adversaire était rapide, mon contrôle mental , que j’avais activé un poil trop tard ne pu que dévier le coup au lieu de lui faire lâcher sa dague. L’idée de lui assener un coup pour la forcer a reculer fut délusoire, elle avait reussi à l’esquiver. A une allure raide, elle m’avait saisit le poigner pour l’immobiliser. Tant mieux , elle allait être détourner par quelque chose. Mon autre main agrippa une mèche de cheveux  de sa tempe droite et je les tirais vers le haut de toutes mes force. Ca faisait un mal de chien ce genre de truc. Cea me ferait gagner de précieuse seconde que j’usais a bonne escient pour en sortir ma dague. Le bras saisir par la gamine, la main gauche armée, j’entrepris de lacérer le poignet de la combattante pour lui faire lâcher prise.

Je vis une lame briller pas loin de mes yeux, Cette attaque étant un grand classique, on me l’avait apprise a la guilde je n’eu pas trop de mal a la voir venir, j’esquivais alors le poignard. Je sentis un poids sur mos ds qui me f surpris et me fit chuter sur les genoux. J’entrepris de saisir son bras pour la contraintredre a mon tour de lâcher son arme.

La foire mercantile du village de Noble étoile était une des plus grande de la région. Comme a notre habitude nous l’avions faite cette année-là, non pas en temps qu’exposant mais en tant que client potentiel. Mère cherchait de nouvelles graines pour son potager. Je flânais dans les différentes allées meublées d’étale de toutes sortes. J’aimais bien passer du temps dans l’allée des fruits et légumes. Mère m’appela rapidement et me tendit trois pièces.

- Tiens va t’acheter les fruits que tu veux

Je récupérais donc les pièces remerciant ainsi ma mère avant de partir en quête des fruits qui pouvaient m’attirer le plus. Si un bon panier d’oranges bien juteuses paraissait être une bonne idée, une curiosité de la nature. Je me dirigeais vers elle, je pouvais tout voir, les moindres détails. Sa couleur était verte et cela ressemblait comme de goutes d’eau à une pastèque…. Carrée. Intriguée je m’empressais d’ne toucher deux mots aux propriétaires de l’étal qui m’expliquait qu’elle prenait d’un royaume lointain. Un royaume aussi vaste qu’un empire ou on dit de lui que le soleil se lève à l’Est. Ni une ni deux je lui tendit les pièces avant de repartir avec. Le fruit pesait son point au bout de mes bras d’enfant et j’vais finis par la lâcher, le fruit atteignit le sol en atterrissant sur mon pied , cela avait été très douloureux mais la pastèque n’avait rien.

Encore une nouvelle pesée nostalgique en plein combat, décidément il fallait que je sois plus attentive , je ne voulais pas commettre un faux pas. La jeune gamine qui se tenait devant moi semblait être septique sur l’exitance d’une telle étrangeté et sa vulgarité me choqua.

- C’est pas une manière de parler pour une si jeune dame ! Non ce n'est vraiment vraiment pas beau !


Je lui souriait malgré tout, mon ton se voulait pas moralisateur, juste un léger rappel à l’ordre , je n’étais pas sa mère je n’allais pas interférer plus longtemps que cela . C’est alors avec une surprenante agilité elle était déjà sur moi au contact. L’avoir saisi par les cheveux et tiré m’avait épargné d’un coup de couteau mais je vis avec stupeur la rapidité avec laquelle elle décida de trancher sa mèche. Je laissais donc tomber cette touffe à même le sol afin d’avoir ma seconde main libre. Le fait de sortir un deuxième poignard était si prévisible que je le sentais venir à l’avance, ce que mon adversaire e allaitait a voir c’était un direct en plein dans le pif afin de lui faire dévier sa lame. Elle était sur moi je tentais alors d’empêcher son geste, elle avait de la poigne amis ce n’était pas assez, elle était bien loin de m’enfoncer sa lame.
Elle se libera en sacrifiant son étoffe avant de s’éloigner de moi en un saut périlleux un coup de pied m’atteignit a l’arrière de la nuque. Un couinement de douleur pouvait se faire entendre, le public allait surement adorer ça et je me retrouvais sur el sol face contre terre , ni une ni deux je me relevais à vive allure, ne quittant pas des yeux la gamine mais encore un peu sonnée apres le choc.

- Joli coup !

Il ne fallait pas être très observateur pour remarquer l’omniprésence de cicatrice sur l’avant-bras de l’enfant, elle semblait être une vétérane des combats de rue. Je la scrutais, sa troisième arme était enfin sortie, elle semblait équipée. Je sortais donc aussi ma seconde dague, afin d’être à arme égale. Tout à coup elles e mit à danser et rapidement els gens autour d’elles firent de même, je fronçais alors les sourcils ne comprenant pas. Je rentrais donc dans son jeu commencer à danser. J’avançais lentement dans sa direction. Elle pouvait facilement croire que j’étais pris dans son filet amis ce qu’elle ferait , je pouvais largement anticiper, son sort ne marchant pas avec moi

La foule réclamait de l’action, il fallait reconnaitre que la gamine se battait bien pour une fillette de son âge. Comme quoi les bagarres de rues ça forge ! J’étais comme elle a son âge, on m’avait arraché à mes parents, on avait ruiné ma vie et je m’étais forgé une autre par la force de ma dague et le vol. La guilde m’avait offert un nouveau départ et pour cela je leur rendais grâce. J’étais devenue un membre des voleurs, rompue à l’art de la furtivité et au m’animent de la dague. Mon train de vie m’avait plu. Tout ceci m’avait mené ici, dans cette arène. Par chez mois au croit au destin, c’était peut-être le miens de me trouver ici, devant cette foule sous les regard d’une reine dont j’ignorais l’existence il y a encore quelques jours. Mon destin, d’affronter cette gamine mais j’ignorais pourquoi, les dieux me mettaient surement à l’épreuve mais dans quel dessein ? Je devais donc mener la tâche à bien. Si le public voulait être divertie, grand bien lui fasse même si je ne comprenais pas ce gout pour la violence. Enfin bon, les hommes ont toujours été violent de nature, n ce n’était pas aujourd’hui que ça allait changer !

Encore sonnée par le coup à l’arrière du crâne, du revers de la manche j’essuyais ma sueur qui gênait ma vision . Pour une gamine des rues, elle était débrouillarde, ça on pouvait lui reconnaitre ? Elle avait creusé un écart, cela suggérait donc un peu de repris pour nous deux. Un temps de pause c’était parfait ! Je repris donc mon souffle bien que j’étais à peine essoufflée. Cette arène me rappelait vraiment l’étape finale pour l’accession de la guilde. Une dague dans chaque main j’observais mon adversaire en train de danser
- Tu te bas bien ! Je l’admets !

Pourquoi c’était elle mit a danser je l’ignore, certainement une ruse mais je n’étais clairement pas dupe. Je dansais avec elle afin de rentrer dans son jeu. Ses mouvements étaient quand même entrainants il fallait l’admettre. Elle semblait décider à se rapprocher. Ce que j’allais faire, elle n’allait clairement pas le voir venir. Je dansais donc avec elle continuant de danser, faisant un petit pas de coté de façon à pouvoir mieux voir ses mouvements de lame. De la posture ou j’étais je pouvais aisément dévier son coup pour riposter avec l’autre dague. Je l laissais donc approcher, encore un poil. Le moment n’était pas encore opportun. J’attendais. Elle était enfin a portée. D’un geste vif je la saisis alors a la gorge avant de la soulever pour la plaquer au sol. Naturellement ce genre de coup je pouvais le faire avec un adversaire de ca taille , avec des adultes , cela en serait plus complexe voit quais imposable

Son rythme était malgré tout entrainant, qu’elle idée de danser en plein combat, certainement pour déstabiliser l’adversaire, ce qui était sûr c’est qu’avec moi ça ne prenait pas. Voir le peuple danser à cause de cela me fit sourire, comme quoi un simple petit être peut avoir une réelle emprise sur les autres. Décidément ici, les gosses des rues étaient rompus à l’art du combat, en même temps c’était le cas dans toutes les grandes villes. C’était le lot de la jeunesse. La gamine se battait bien, trop bien peut être. Un poil trop bavard sans doute et sa manière de danser la montrer d’une manière hautaine, cela ne la servait pas …Loin de là.

La voir en face de moi me rappela l’une de mes toutes première victime. Nous étions entrer en effraction dans une villa, un client nous avait commander une toile en possession d’un des riches marchand de ma ville. La nuit en plein larcin le fils de notre victime s’était levée découvrant notre supercherie, je du le mettre hors d’état de nuire. Je le saisissais donc à la gorge écrasant ainsi son larynx pour l’y faire perdre connaissance, j’ai du serrer trop fort car j’vais appris bien plus tard que le gosse ne se revviallarait pas. J’avais tué un gosse et là j’allais devoir faire de même du moins tout allait bien il y avait un bouclier en cas de coup létal. Comme je l’avais dit plus tôt je la laissais alors avancer, confiante. Une fois à portée ma main vient saisir sa gorge. Contre toute attentes ma main vient ce heurter…a rien du tout elle avait disparue. Diantre ! Quel maléfice était-ce ! Une douleur vive parcourait mon bras, elle venait de le charcuter et plutôt violement. J’hurlais, le sang commençait a couler tachant ainsi le sol. Je chutais à genoux, sonnée par la douleur. La gamine prenait un peu distance. La rage et l’adrénaline calmait un peu al douleur mais elle prisait, pas assez pour me faire lâcher ma dague. Je l’observais, elle avait eu le premier sang mais pas le dernier mot. Je la laissais s’approcher, un filet de sang décrivait un sillon sur le sable. Cette attaque était mal honnête , en même temps venant des rues , je pouvais m’y attendre, quelle sotte ai-je était ! Ce n’était pas perdu , malgré un bras quasi inutilisable il me restait la main droite , celle avec qui je gère tous mes mouvements.

La gamine se rapprocha à pas de loup pour me donner le coup de grâce pile poil comme je l’vais prédis. De main encore valide je serais ma dague attendant le bon moment. Elle se rapprochait dangereusement. Trop rapidement, un rapide coup d’œil dans l’assemblée me montrait qu’elle attendait que ça. L’instant d’après la petite était déjà sur moi. Son coup de tête m’arrache un grognement de douleur. Au même moment je canalisais mon Energie magique afin e lui faire un choc mental, je lui envoyais donc, elle devait être légèrement sonnée pendant de précieuses secondes, secondes dont j’allais faire bon usage , d’un geste fluide et vif je passais la dague plus aiguisée de ma main non valide à celle qui n’est pas blessée. Les yeux encore brouillée je tentais de les ouvrir repérant quasiment sur le coup l’emplacement de son foie. J’enfonçais alors la dague aiguisée jusqu’à la garde. Un sourire aux lèvres. Un coup rapide, net et précis.

Je venais de gagner un peu de temps , le temps que la gamine comprenne ce qui se passe j’étais déjà parti , j’vais pris mon envol. Je ne désertais , je compris revenir , plus en colère que jamais

La gamine savait se battre c’était une certitude mais si le combat durait encore longtemps, je doute sérieusement de ses capacités. La guilde m’avait formée au maniement des dagues et mes années passées en esclavage m’ont fait perdre mais j’étais contente de voir que ça revenait vite ! Le peuple nous acclamait, comme quoi l’Homme n’aime qu’une chose , le sang. En même temps il dans notre nature d’en découdre avec les gens. Je n’étais pas rompu aux arts de la guerre mais je savais me battre si cela s’avérait nécessaire. Mon adversaire aussi visiblement. Elle sait rendre les coups et surtout en donner. Mais la notion d’honneur semblait inconnue chez elle maintes fois elle avait essayer de m’attaquer au sol. Je ne me laisserais plus berner. Il fallait que j’agisses, la petite n’allait apres avoir autant d’endurance pour assurer tout le combat. L’idée d’un coup net et précis me parvint alors. Une approches risqués puisque nous allions être toutes les deux nez à nez . Je la laissais donc approcher, ce qui es sûr c’est que cette fois-ci je en la raterais pas. Le coup allait être douloureux certes mais j n’avais guère le choix , si je fais rien c’est cette fille qui me tuerais , il semblerait qu’elle ignorait que l’engagement n’était pas létal. Je la laissais donc approcher d’avantage bien décider à en finir. La main crispée sur al garde de ma dague, j’allais viser juste et bien !.

Je laissais approcher l’adversaire, la main toujours crispé sur ma dague , mon autre maintenait aussi une arme mais deus doits touchait mon front. Je concentrais, canalisant ainsi mon Energie. Qu’elle approche, elle ne sait guerre ce qui l’attend ? “An Keovina Koelis“ ! L’onde de choc mentale atteignit la gamine qui fut alors déstabilisé je pu enfin la poignardé jusqu’à la garde , je sentis la main glisser el long de ses entrailles, je venais de viser le foie. Je fis tourner mon poignet pour accroitre la douleur. Elle n’a pas le temps de réagir que je passa ma jambe sur la sienne avant de la balayer brutalement afin de la faire tomber. Entre temps j’avais déjà lancé ma transformation animal , un nouvelle incantation. Avant de perdre temporairement l’usage de mes jambes qui allait des transformer en pattes j’assenais a mon ennemi un énorme coup de pied qui la sonnerai quelques instants.
En seulement quelques secondes je me métamorphosa en Aigle, la grand envergure faisait que mes battement d’aile déplacer un sacré vent, . La femme devant moi ne pouvais que fermer les yeux par reflexe.

- Désolée

Avais-je dois en prenant mon envole sans pour autant quitter l’arène j’étais juste hors d’atteinte