Feuille de personnage Puissance Personnelle Brute (potentiel): (104/500) Type d'énergie canalisée: Neutre profane (toutes énergies profanes confondues)
Astryd Rubinspeer
Astryd Rubinspeer
Elève de 2e Sphère - Talmar
Ven 30 Oct - 18:18
Puissance moyenne : Nulle
Sigmar
Rubinspeer
Astryd
Humaine (Norz)
Féminin
18 (prétend en avoir 21 pour qu'on l'emmerde pas)
indéterminée
Noble exilée incognito
Elève-officier du protectorat
Emancipée
Ah ouais ? On va voir qui va en prendre pour son grade !
Chaotique neutre
neutre
Universelle, élémentaire
Spirituelle, Magie noire
6e sens : Astryd est naturellement sensible à la magie et ressent directement la présence et la nature des flux magiques. Cette capacité est un peu similaire au sort de vision lucide mais il s'agit plus de sensation que de vision. Elle peut donc naturellement percevoir les auras, les objets magiques... et voir à travers les sorts de dissimulations utilisés par les mages d'un niveau inférieur au sien. L'inconvénient est que comme il s'agit réellement d'un 6e sens pour elle, Astryd ne peut pas cesser de percevoir la magie même si elle le souhaite. Elle est donc particulièrement vulnérable aux "surcharges". Les auras puissantes ou agressives ont beaucoup d'effet sur elle en l'absence de protection. Elle peut être fatiguée par les environnement à très forte intensité magique, comme une personne qui resterait dans un lieu très bruyant.
Magie brute : Astryd peut manier l'énergie magique correspondant à son alignement de façon "brute" sans incantation ni cercle magique. Elle peut l'utiliser comme une force invisible pour créer des effets de type télékinésie, bouclier, renforcement d'un coup, amortissement d'une chute...
12
12
10
5
4
7
La section pourra être tenue à jour en ajoutant sur la même ligne, les nouvelles stats, après montées en grade (en les distinguant par une autre couleur par exemple).
Spoiler :
Les mages sont rares chez les Norz, comme partout. J'ai mis du temps à comprendre que j'en étais une. Ou plutôt, à comprendre que les autres n'en étaient pas et ne pouvait pas comprendre tout ce que je percevais malgré moi. Mes pouvoirs se sont déclarés très tôt et je ne me souviens pas avoir vécu autrement que dans un monde traversé par la magie. Certains de mes frères et sœurs ont aussi hérité de quelques dons mais apparemment aucun n'avait la même maîtrise instinctive que moi des énergies. Je jouais avec la magie comme les autres jouaient avec des bâtons et des cailloux, d'ailleurs j'étais toujours vexée qu'ils refusent de jouer à mes jeux à moi. Et puis un jour j'ai réalisé qu'ils en étaient simplement incapables. Dans le Norz, tout le monde ne peut pas faire léviter des osselets... Père est un guerrier mage, mais il n'a jamais pris la peine de m'enseigner quoique ce soit. Alors je me suis longtemps débrouillée par moi même pour comprendre mes pouvoirs, aidée de temps à autre par le vieux chaman. Comme on se bat beaucoup entre tribus chez nous, je me disais qu'avec la magie je pourrais faire une terrible Berserk, nous faire gagner des batailles, des armes, des terres et des chevaux. Petite, je m'entraînais à me battre comme les autres, surtout à la lance. Père m'a laissée faire pendant un certain temps. J'ai même joué un peu les écuyers pendant les batailles... jusqu'à ce que je commence à ressembler un peu à une femme. C'est à cette période que les ennuis ont commencé, allez savoir pourquoi. Père m'a collé des chaperons et des gardes du corps. Je n'avais plus le droit de sortir. J'avais déjà appris à lire plus tôt, mais là on me collait sur une chaise pendant des heures et il a en plus fallu que je sache écrire et que j'apprenne aussi l'albionais et le germain, et que je lise tout un tas de truc. La tuile. Evidemment, je ne voyais pas l'intérêt. Un Norz c'est fait pour se battre, et moi on me l'interdisait ! A la place, père me faisait jouer les potiches pour faire plaisir aux émissaires et commerçants étrangers ! Alors évidemment je faisais de mon mieux pour les emmerder. Bon, j'ai dû changer de stratégie parce qu'une raclée administrée par le Jarl Sigird en personne, on s'en souvient. Alors j'ai appris à faire la gentille en public, mais pour mieux me tirer très loin dès que je pouvais. J'allais courir les bois, chasser au javelot et jouer à sautiller sur les rochers au bord de la mer. Il n'était pas question qu'on m'enferme à faire du tissage et des enluminures. Autant dire que je menais la vie dure à ceux chargés de me surveiller. Être mage me donnait sur eux un avantage certain. Ces crétins s'effrayaient d'un rien et je m'amusais à faire trembler les meubles de leurs chambres la nuit en faisant croire au passage des servants de Bjor. C'était d'autant plus facile de les semer le lendemain quand ils n'avaient pas fermé l'oeil.
Moi ce que je voulais, c'était les champs de bataille. Alors j'ai commencé à rejoindre en douce mes anciens compagnons dans quelques escarmouches. Mais comme tout le reste, c'est finalement remonté aux oreilles de Père. Tous les responsables de patrouilles ont eu l'ordre de m'empêcher de me battre. Ces pleutres avaient trop peur de leur Jarl pour passer outre. Alors je me suis de nouveau retrouvée mise à part. Je voyais mes frères, mes sœurs et les autres jeunes avec qui j'avais grandit qui revenaient des combats. Qu'ils soient victorieux ou sanglants, je les enviaient, eux qui avaient la chance de montrer leur force à Korda. Je me sentais frustrée et incomprise, j'étais mage et j'aurais dû moi aussi pouvoir faire mes preuves. Un jour, à la veille d'une bataille importante, j'ai enfin osé demander à Père de me laisser partir avec les autres. Il m'a rit au nez en disant qu'un fétu de paille dans mon genre ne pourrait jamais être une guerrière. J'étais dévastée et je me suis enfuie sans demander mon reste.
Mais le lendemain c'est la rage qui a pris le dessus et je me suis enfuie une fois de plus pour rejoindre le front. Il n'y avait presque personne à l'avant poste, ils étaient tous partis. Mais au milieu, là où avait eu lieu la cérémonie dédiée aux Berserks, il restait un peu de cette boisson mystérieuse qu'on leur donnait. Je n'ai pas trop réfléchi et j'ai fait cul sec avant de courir lance au poing vers le bruit des armes qui s'entrechoquaient. J'ai traversé les rangs, je n'avais pas peur, tout m'a semblé facile, je glissais sur un nuage tacheté du sang de mes ennemis, et bercée par le bruit de mes propres hurlements. Je serais bien incapable de dire combien de temps cela a duré. Mais j'étais restée assez lucide pour ne blesser aucun allié, ce qui est assez remarquable pour un Berserk. Bon, il paraît qu'à la fin je me suis aussi battue contre des arbres... je me souviens plus trop. En tout cas quand je me suis réveillée au château, les autres m'ont dit que j'avais joué un rôle décisif dans la bataille, j'espérais que Père allait enfin se rentre compte de ma valeur. Mais non.
Au lieu de félicitations, j'ai eu droit à la deuxième raclée de ma vie. Enfin, comme j'étais déjà assez amochée, il n'a eu qu'à appuyer au bon endroit pendant qu'il m'engueulait. J'ai serré les dents en chialant mais j'ai réussi à ne pas crier, j'avais quand même un minimum de fierté. Visiblement, ce qui l'énervait le plus était la balafre sur ma figure. Je crois que c'est là que j'ai compris qu'il me trouvait jolie. Cette fois là il n'as pas fait dans la demi-mesure et m'a laissée enchaînée mon lit (magiquement bien sûr) jusqu'à ce que je soit complètement guérie. Je n'avais même pas le droit de voir la lumière du soleil, parce qu'il y aurait eu plus de chances que mes cicatrices restent marquées. Père m'interdisait de garder le moindre souvenir de l'exploit le plus notoire de ma vie, l'enfoiré ! Donc je suis restée bien deux ou trois semaines à m'emmerder avec pour seule compagnie la prêtresse Lilinathoa qui venait me soigner régulièrement. Heureusement, je m'entendais bien avec elle. Comme j'avais toujours été casse-cou, elle était un peu ma secouriste attitrée.
Après ça, Père a fini par dégoter un mage à me mettre sur le dos. Viserion. Au début je ne l'aimais pas, surtout parce que mes stratagèmes habituels ne marchaient pas sur lui. Et puis Père m'obligeait à parler Hésandrin avec, comme si les trois langues que je parlais déjà ne suffisaient pas ! Bon, Viserion me laissait un peu plus libre que les autres, il n'essayait pas de me dire quoi faire ou bien où aller, mais il me suivait partout. Et le bougre était impossible à semer ! Il faut dire que c'était un mage, et un vrai, formé dans une école de magie... une des meilleures à ce qu'on dit. Quand j'ai appris ça il est remonté un peu dans mon estime... Mais je n'aimais quand même pas qu'il me suive partout. J'ai tout essayé mais son foutu pouvoir le rendait incroyablement rapide. Alors j'ai essayé le chantage : "si tu arrêtes pas de me suivre, je saute de la falaise ! Tu ne peux pas me laisser me blesser de toutes façon !". Il a refusé... j'ai sauté. Bon, c'était peut-être un peu stupide. J'ai pensé qu'il allait me rattraper... Ou peut-être qu'au fond j'étais vraiment désespérée... je ne sais pas. En tout cas je m'en suis tirée avec une jambe cassée et mon père n'a fait que rire de ma mésaventure. A la longue, je me suis habituée à Viserion et il m'a même appris quelques trucs en magie, c'était plutôt chouette. Mais malgré ça, je ne supportais pas bien la vie que Père voulait que je mène.
Le coup de grâce a été quand j'ai finalement compris ce qu'il voulait faire de moi. Père ne voulait pas que je me batte, j'étais trop frêle, trop précieuse, trop jolie pour être marquée par le fer des lames ennemies... Alors à quoi pouvais-je bien servir ? Evidemment, je faisais l'épouse idéale à offrir pour conclure une alliance politique. Une belle femme, certes pas bien large, mais vive, éduquée et capable d'enfanter des mages... Je ne savais pas combien l'autre voulait payer pour moi, mais je n'avais aucune envie de le savoir. J'avais appris la nouvelle par hasard en écoutant dans les couloirs et je savais que quand on me présenterait la chose officiellement, il serait trop tard pour y échapper. Alors j'ai pris un des meilleurs chevaux, quelques babioles de valeurs, mes armes, et je suis partie sans demander mon reste. La route du sud me mena en Hoschseegrad et je m'avouais que finalement parler d'autres langue n'était pas une idée si stupide. Au début, je n'avais aucune idée d'où aller et je vivais comme un sauvageonne dans les forêts. Et puis j'ai entendu parler de Targatt par hasard. Je me suis rappelé que ma cousine Yseult était censée se marier au prince de cette cité là... J'avais envie de voir si elle était aussi malchanceuse que moi... et puis une cité mage... ça m'intriguait. Les rumeurs parlaient de démons et d'une germaine qui était en train de former une armée composée entièrement de mage. L'idée me fascinait, des centaines de mages de bataille au même endroit ! Leur puissance devait être incroyable, surtout s'ils étaient formés à la germaine. Je me suis donc mise en route vers la cité mage en traversant le Razengratz avant de longer le Rheinen vers le sud. Les montagnes noires étaient le passage le plus délicat. Je n'avais pas envie de finir congelée, ni empalée par les chasseurs de mages qui rôdaient - à ce qu'on disait - sur les terres d'Hésandre. J'ai donc erré un peu avant de trouver une caravane de marchand qui accepte une petite barbare comme moi parmi eux. Heureusement ma gueule d'ange jouait à mon avantage.
Malheureusement, je suis arrivée trop tard pour voir la grande bataille contre les démons. Je suis passée par Arakis et j'ai tout de même pu voir quelques uns des impressionnants cavaliers de la Grande Armée, tout caparaçonnés de fer. J'ai continué ma route jusqu'à la fameuse Targatt. J'avoue que même à moitié démolie par les derniers combats, elle avait de la gueule. En glanant des informations à droite à gauche, j'ai fini par comprendre que le "prince" qu'Yseult devait épouser n'était plus prince, elle avait probablement regagné son île la petite. C'était pas plus mal.
Après... et bien il a fallu que je trouve de quoi gagner ma croute. Heureusement pour moi, le protectorat recrutait à tour de bras. Après tout c'était ce que je voulais : être soldat ! Il m'ont fait batailler contre un officier pour voir de quoi j'étais capable, je crois que je m'en suis bien tirée. J'ai moins fait la maline quand ils ont voulu vérifier mon identité. J'avais aucune envie que les autorités apprennent qui j'étais et que ça remonte aux oreilles de Père. Mais leur foutue magie m'empêchait de mentir... J'ai louvoyé de mon mieux en évitant surtout de dire que mon père ignorait que j'étais là. Mais j'ai finalement dû cracher le morceau. Heureusement, ils ne l'ont pas trop mal pris. Ils m'ont accepté dans les rangs et pour l'instant je n'ai toujours pas de nouvelle de Norz. Tant mieux.
Ca fait quelques mois maintenant que je porte l'uniforme. En vérité faire la sécurité publique c'est bien moins glorieux que ce que j'imaginais. Disons que c'est un début. J'ai déjà eu deux ou trois blâmes de mes supérieurs parce que j'ai du mal à obéir vraiment aux ordres. Faut dire que monter la garde c'est sacrément ennuyeux, et parfois je comprend pas ce qu'ils disent. Et puis... J'ai aussi commencé quelques bagarres avec mes collègues à la caserne, il faut dire qu'étant une des rares mages de mon patelin, j'avais un peu pris l'habitude de m'échauffer vite sans avoir à craindre de prendre des coups. Là... c'est... différent. Mais bon, je m'en plains pas, ça fait un peu d'entraînement ! Et puis j'ai compris que pour éviter le blâme, il fallait juste pas être celle qui tape en premier. C'est pas difficile. Y'en a que ça énerve bien quand je leur dit que la Grande Armée est plus balèze qu'eux. Ils ont pas l'air de trop aimer les germains ici.
Selon mes supérieurs, je suis un mal nécessaire, une tête brûlée. Comme ils manquent de gens et que je fais quand même le travail en attrapant les "méchants", ils me gardent. Mais je m'emmerde, alors je leur ai bien dit moi que j'étais pas là pour courir après les voleurs à la tire et que je voulais me battre pour de vrai. Leur réponse ? Ils me renvoient à l'étude derrière un bureau ! Alors que tout ce que je voulais moi c'était enfin pouvoir casser des gueules librement ! Je m'attendais pas à celle là. Enfin, j'ai pas trop le choix, et puis ça se passe dans la section militaire de cette fameuse académie, alors si ça peut faire de moi une vraie mage de bataille, ce n'est peut être pas une mauvaise chose.
NEANT
NEANT
Spoiler :
Plutôt loin de l'image que l'on peut se faire d'une musculeuse combattante Norz, Astryd est plutôt petite et fluette avec un visage enfantin qui la fait paraître plus jeune que son âge. Ses cheveux rouges assortis à ses yeux lui ont valu dans sa ville natale le surnom de "rubis". Mais Astryd reste fidèle à Korda et derrière cette mignonne apparence se trouve une boule de nerf qui parle fort et ne retient pas ses coups. Sa démarche est déterminée, même si elle n'a aucune idée de ce qu'elle est un train de faire, ce qui lui donne un certain aplomb par rapport à des personnes moins sûres d'elle. Astryd ne se considère pas comme quelqu'un de très fort car elle s'est toujours comparée aux guerriers Norz, mais elle a une musculature respectable, et surtout, elle est capable de s'en servir sans aucune inhibition. Elle a aussi peu de pudeur en ce qui concerne la nudité et le contact physique. Elle prendra facilement un camarade par les épaules et n'aura aucun mal à se rouler par terre pour une petite bagarre amicale... ou non. Dans le Norz, Astryd portait des tuniques colorés, et des manteaux de fourrures. Mais comme elle cherche à dissimuler d'où elle vient, elle s'est accommodée de la mode Targattienne. Quand elle ne porte pas son uniforme du protectorat, elle s'habille de façon pratique et sobre. Etant habitué à des températures bien plus froides, elle porte des vêtements assez légers du point de vue d'un Targattien. Astryd est toujours accompagnée d'un petit renard bleu nuit, le familier de son père avec qui elle aime bien jouer.
- Cheveux rouges - Yeux noisette - 1m60
Spoiler :
Son Père a eu beau essayer de faire d'Astryd une femme calme et raffinée, cette-ci s'est efforcée au contraire de rester une vraie barbare du nord. Elle est impulsive et colérique et semble refuser toute forme d'autorité. En réalité, elle accepte de recevoir des ordres des gens qu'elle respecte, à savoir des personnes plus fortes qu'elle. Ayant grandi comme une mage parmi une majorité de non mage, Astryd s'est toujours considérée comme à la fois supérieure et anormale. Sa tendance à être une peste rebelle était surtout pour elle une manière d'attirer l'attention. En réalité, elle essaye juste de trouver maladroitement un peu de reconnaissance. Être aujourd'hui entourée uniquement de mages est assez déstabilisant pour Astryd mais elle a pour la première fois l'impression d'être à sa place. Elle s'enorgueillit d'avoir appris la magie toute seule et de maîtriser assez bien ses pouvoirs, mais elle commence à comprendre qu'elle pourrait avoir encore beaucoup à apprendre. Astryd est une casse-cou qui a passé sa vie à courir dans tous les sens pour échapper à ses obligations et aller se frotter à des dangers qui lui étaient interdits. Ayant été élevée dans la culture Norz, Astryd n'a pas peur de grande chose. Le sang, la violence et la mort sont pour elle des choses naturelles. La seule chose qu'elle craint est sans doute la réaction de son père s'il venait à la retrouver. Par la force des choses, Astryd a dû apprendre à vivre en solidaire. Mais en réalité elle apprécie la compagnie, la ripaille et la boisson. Et maintenant qu'elle est libre, elle compte bien profiter de sa vie Targattienne pour faire de nouvelles connaissances. Son tempérament fait qu'elle ne se retient jamais de dire ce qu'elle pense ou de s'énerver, ce qui peut impressionner les faibles. Elle s'arrange toujours pour qu'on la remarque, que ce soit en bien ou en mal, et elle n'hésite pas à provoquer ceux qui l'agacent.
- Mess : petit renard, familier de son père qui l'a suivie dans sa fuite - Viserion : chaperon et garde du corps, Astryd ignore encore qu'il est à Targatt. Astryd était assez proche de sa femme Lilinatoa (prêtresse de Qualdra et Velaniel). Elle s'entend plutôt bien avec leur fille Misanaria. - Yseult : ancienne fiancée de Caïn, cousine éloigné d'Astryd. Astryd lui a mis une raclée et elles se détestent.
Feuille de personnage Puissance Personnelle Brute (potentiel): (172/500) Type d'énergie canalisée: Positive profane
Kubilay Bones
Kubilay Bones
Directrice Adjointe - Professeur de Contrôle - Consort du Patriarche Bones - Mage 2e ordre
Ven 30 Oct - 18:53
Age du personnage : 25 Race : Humaine Pouvoirs : Mana/Causalité/Pacifisme Puissance moyenne : 165
Salut
Globalement la fiche est ok. Mais il faut revoir de petites choses dessus qui pourraient être gênante par la suite.
Tout d'abord, il faut spécifier l'alignement, étant donné que neutre n'est pas un alignement complet, à moins qu'elle soit neutre strict, ce dont je doute. Vu le personnage, je pense que tu peux mettre chaotique neutre.
Il faut aussi rajouter 1 domaine de magie inconnu. Je sais qu'il y a marqué un ou 2, mais c'est une rédaction mal précisé. En fait pour être exact, tu ne peux avoir 1 domaine inconnu que si tu as 1 seul domaine spé. 2 domaines spé, font donc 2 domaines inconnus.
Concernant le pouvoir, le premier est nickel. Pour le 2e, concernant la magie brute, si je comprends bien. C'est similaire au fait de manipuler de l'eau. Donc pour ce qui est de la "poussée télékinésique" ou encore des boucliers c'est bon. Par contre la résistance à la magie ou même le renforcement du corps, ce sont d'autres pouvoirs en eux même. Tu peux amplifier tes coups avec de l'énergie brute, mais ça ne permet pas de renforcer le corps ou de boost sa rez. Donc il faudrait retirer ces deux exemples.
Le fait de saboter la magie d'un autre, est également un autre pouvoir, clairement non viable au niveau que la jeune fille aura. Donc il faudrait également retirer cette partie là.
Concernant les stats, étant donné ton âge, tu seras de 2e sphère. Tu peux donc mettre 50 points dans tes carac et non 30.
Le dernier point, L'histoire :
Comme je l'avais dis à Viserion il y a quelques jours. J'entends bien que Astryd, puisse être considéré comme une génie, du moins vis à vis de ses proches. Etant donné qu'elle avait deux trois aptitudes en magie dans le monde des non mage, il est certain qu'elle a pu effectué des actes avec une certaine notoriété.
En revanche, dans une cité mage, où elle rencontre un monde où elle ne jouit plus d'un avantage, couplé au fait qu'elle rencontrera des gens, aussi talentueux ou plus talentueux qu'elle. Il est de fait, impossible, qu'à son niveau actuel, et vu son histoire, elle soit capable de vaincre des officiers du protectorat, voir des soldats tout simplement, qui je le rappelle sont des mages expérimentés en terme de combat. Il y a donc très peu de chance, qu'ils aient peur d'une novice, venant du monde des non mages et encore moins qu'ils prennent des branlées, ce qui serait plutôt le cas d'Astrid, lorsqu'elle découvrirait que finalement, le niveau augmente de manière significative en terre mage (de la même manière, ce serait la réaction d'un archimage, allant dans les plans supérieurs). Le protectorat, même diminué, compte parmi les combattants les plus forts de la cité avec les restes des Grandes Familles.
Les deux derniers paragraphes, sont donc à modifier.
Feuille de personnage Puissance Personnelle Brute (potentiel): (104/500) Type d'énergie canalisée: Neutre profane (toutes énergies profanes confondues)
Astryd Rubinspeer
Astryd Rubinspeer
Elève de 2e Sphère - Talmar
Sam 31 Oct - 22:03
Puissance moyenne : Nulle
Fiche à jour, ma'mzelle mon lieutenant... chef !
Feuille de personnage Puissance Personnelle Brute (potentiel): (172/500) Type d'énergie canalisée: Positive profane
Kubilay Bones
Kubilay Bones
Directrice Adjointe - Professeur de Contrôle - Consort du Patriarche Bones - Mage 2e ordre
Sam 31 Oct - 23:57
Age du personnage : 25 Race : Humaine Pouvoirs : Mana/Causalité/Pacifisme Puissance moyenne : 165
Tout est bon, validée !
Tu peux désormais participer au chaos de l'académie