Retour à la case départ (Libre/Ouvert)

J’avais passé plusieurs mois dans la merde dans un plan à la con. Putain, il faisait vachement chaud dans cet endroit de merde. Ok j’aimais bien la douleur, mais la CHALEUR C’ETAIT PUTAIN D’INSUPORTABLE BORDEL DE MERDE. QUI C’EST QU’A INVENTER CE TRUC DE MERDE QUE JE L’ENCULE DE SA RACE PUTAIN.

Le pire que je pouvais même pas cracher à la figure de quelqu’un ma salive s’évaporant à quelques centimètres de mon corps. A la base j’avais bien cramé sa mère. Pendant plusieurs semaines je pouvais même plus bouger, j’avais les bras à moitié fondu par le magma tandis que les parties encore solide cramant en permanence. C’est limite si je sentais quelque chose parce que tout mes sens étaient attaqués. Mes yeux cramaient et séchaient, ma gorge faisait le lézard. Bref c’était bien la merde. Quand je vais revenir, j’allais la niquer cette grosse pute du protectorat.

Après quelques semaines de galère, mon corps c’était enfin habitué à ce merdier et j’avais réussi à nager suffisamment entre deux fondus pour sortir du lac de lave dans lequel j’étais tombé au début.  J’avais ensuite sympathisé avec la population locale à coup de baffe. On début on se battait bien, mais au final on rigolait c’était marrant. Mais si je pouvais pas rire à fond sans bruler mes cordes vocales.

Après c’était bien marrant de rester ici, mais moi à la fin je voulais me casser. C’était chiant et y avait même pas d’alcool. Putain c’est grave chiant la sobriété. Mes nouveaux poto avaient bien vu que je voulais partir et il avait décidé de m’aider. Et gratuitement, je me doutais qu’il y avait bien une couille quelque part mais c’était mieux que rien. Qui ferait confiance à djinn de toute manière.

Le boss de la région après notre énième combat avait accepté de me tp. La seconde d’après avoir sauté dans le portail de téléportation des djinn, je comprenais pourquoi ils avaient fait ça gratuitement.

Je chutais littéralement des nuages. Redressant le regard, je voyais un œil de feu au dessus de moi. ET ILS RIGOLAIENT LES FILS DE PUTE. Après avoir fait un gros doigt, je regardais le sol s’approcher à grande vitesse avec un certain énervement. Ca me rappelait la fois où j’avais sauté du dos d’un dragon. Et en plus cette fois je cramais à la fois à cause de feu de ce plan de merde et du fait que je me brulais à cause de la vitesse de la chute.

Un boom plus tard je tombais dans les pommes… Encore une fois… A mon réveil  j’étais dans une cage… Encore une fois… Des vampires cette fois… Quand un d’eux m’avait demandé qui j’étais j’avais insulté sa mère et ses enfants. Il me disait qu’il en avait pas. Je lui disais que c’était bien normal vu sa gueule.
Après plusieurs tentatives de rébellion, encore une fois entouré de chaine de manière à bloquer tout mes membres, je me retrouvais de nouveau sur un marché de cette ville de merde. Je regardais de droite à gauche avec un air neutre, ça me concernait pas, même si j’allais être vendu c’était pas la première fois…

Pendant ce temps le marchand rigolait en comptant ses éclats, avant de me regarder avec un air lubrique, dans le sens capitaliste. Puis, il se retourna vers la foule ce vieux chauve.

Et maintenant chers clients, une race extrêmement rare et très prisée pour la servitude ! Les Légendaires Hommes Bêtes ! Force, Grace, Beauté, ils seront pour vous des esclaves de qualité !

Dans le même temps je ressemblais à un ver entouré de chaine qui gigotait sur l’estrade en bois.

Je gesticulais comme un ver recouvert de chaine en acier trempé, apparemment les cordes suffisaient pas, en plus c’est vrai. Ca se brise facilement ces petites merdes de ses gros fils de pute. En plus visiblement vu que je faisais le bordel, il y avait pas grand monde qui me voulait. De toute façon je les emmerdais ces merdes de chient et je baisais leurs mères. J’étais juste là à cause d’élémentaire de feu à la con. Je vais juste revenir pour les niquer ceux là aussi. L’esclavagiste après avoir vendu son gros stock pensait faire une affaire, mais au vu de mon comportement, il essayait de me faire les gros yeux. Je me contentais de lui tirer la langue vu que je pouvais pas parler actuellement à cause du collier parce que je disais trop d’insulte.

Finalement, alors qu’il commençait un peu à désespérer, un homme se rapprocha de lui pour connaître le prix.

L’esclavagiste lui souria légèrement tel que le ferait tout les petits cons de commerçant en se frottant les mains avant de répondre.

Il s’agit d’un homme bête, une race extremement rare et comme vous pouvez le voir, si cette dernière à des chaines, c’est à cause de ses extraordinaires performances physiques. Elle n’a pas besoin de magie pour se battre et ses capacités en combat doivent être équivalent à un mage de second voir de premier ordre ! Avec un collier solide pour la contrôle, elle fera un esclave d’une grande utilité pour tout ce qui consiste à avoir besoin de muscle.

Le prix de départ est donc de 50 pièces d’or.

Le marchand semblait bien embêté par les sermons de l’individu qui ne faisait que ruiner son business. Ce qu’il disait n’était pas forcément faux, mais c’était surtout que l’esclavagiste était trop radin pour acheter des vrais colliers magiques, et encore. Si la femme bête était vulnérable à la magie, sa volonté était tout de même assez solide, pour aller contre les lois du collier au mépris de la douleur quand celui-ci n’était pas de grande qualité. Autant dire que c’était un spécimen de choix.

Le marchand regarda Viserion, puis se tourna vers Mera qui continuait de gigoter dans son sac de chaîne en le foudroyant du regard. Il fallait négocier ? D’accord…

Ce genre d’esclave est d’une grande rareté et d’une grande qualité. Autant pour la race, que pour la force. Mais ne pouvons pas utiliser de collier de grande qualité sans augmenter le coup de manière aberrante à la vente si vous voyez ce que je veux dire.

30 pièces d’or et elle est à vous.

“Je vais, pour ma part, honorer ma parole, en vous la payant la moitié du prix. Si vous êtes prêt à mettre un collier décent à cette esclave, je vous la prendrais à 30 pièces d’or comme vous l’avez mentionné. C’est plutôt honnête comme proposition, non ?”

Le marchand semblait assez fatigué de cette histoire, si bien qu’au dire du jeune homme, il concédait alors le prix sans grande contestation.

Va pour 30 pièces d’or.

Il attendit donc que Viserion lui remette la somme dû, avant de retourner loin sur son estrade tout en comptant une à une les pièces du précieux métal. Une fois le compte terminé, il fit un signe de la tête à un de ses employés, qui sortit un collier des coffres pour les remettre à la femme chat, qui était bien silencieuse, du fait qu’entre temps, elle s’était endormit. Il lui possèdent donc le collier, avant de la ramener en glissant vers Viserion, le chat, étant allongé sur le sol dans un sommeil absolu. Avec un petit sourire, le marchand répondit tout simplement.

Vous la réveillerez mon bon monsieur.

Puis il repartit à ses occupations.

Rha putain, j’étais grave fatigué moi. Faut dire que j’avais pas terminé ma sieste à cause de cette vente de merde, alors j’avais décidé de piquer un petit dodo pendant cette merde. Faut dire que j’en avais rien à foutre de toute ces histoires ou de savoir à combien je pouvais être vendu. Moi personnellement totalement osef. D’ailleurs en y pensait j’avais un peu faim, donc je bavais dans mon sommeil.

Puis d’un coup je sautais, de la foudre traversait mon petit corps. En soit, c’était pas douloureux, j’avais connu bien pire que ça. Mais putain ça réveillait cette merde. Les yeux pas en face des trous.

PUTAIN MAIS QUI EST LE FILS DE PUTE QUI OSE, QUE JE LUI NIQUE SA RACE A CET ENCULE.

Me remettant alors sur mes pattes, j’étais ligoté par des étranges fils de fer. Perso, si j’avais les bras libre je lui aurais fais mangé plusieurs fois le sol à celui qui osait. Mon regard se tourna alors vers lui. Putain, mais qu’est ce qu’il était moche ce type. En dirait une sorte de serpent consanguin.

Ce dernier me regardait visiblement content de lui. Ah ça le faisait rien hein ? Ca le faisait rire ? Et bien ça le fera sourire que j’imprimerais son rire de merde dans le mur le plus proche aussi ! Pas certaine qu’il lui reste toute ses jolies dents derrières, mais dans ce cas là, je rirais pour lui.

“Suis-moi sans faire d’histoires.”

A l’expérience, ma première réaction fut de lui cracher un mollard dans la figure. Puis un deuxième, puis un troisième. Lorsqu’il me libéra, je continuais avec deux doigts d’honneurs, tout en l’insultant tout le long du trajet en criant.

Puis en arriva dans un domaine avec une petite maison où on devait entrer.

“Bien, clarifions ta situation. Je m’appelle Viserion Heasley. Je souhaite connaître ton nom, tes capacités et le résumé de ton histoire.

Pour le moment, tu vas être ma propriété et tu aideras Hector, le majordome, dans la maison. Ensuite, je compte t’offrir à ma cousine sous peu. Des questions ?”

Hein ?

Je croisais les bras. Ce type pensait vraiment que j’allais répondre à ses questions ? Est-ce que ça le concernait au moins ? Bah non, occupe toi de tes affaires mon petit gars !

Alors déjà flemme. Donc pas envie de répondre à ta question. Ensuite flemme, donc pas envie de travailler. Enfin, tu crois vraiment fils de pute que ton avis ou tes questions m’intéressent. Va baiser ta cousine et ton majordome s’ils t’intéressent, mais m’implique pas dans tes conneries, le consanguin.

J’insultais ce fils de pute qui m’avait emmené je sais pas où avec ce collier de merde. Pour le coup, j’avais vraiment envie de le briser, mais il était programmé pour m’empêcher de le faire quand bien même je pouvais tordre le metal putain. Je fulminais intérieurement après avoir prit la foudre en pleine face et je cherchais du regard un objet à lui lancer dans la gueule quand une sonnette retentit de je ne sais où. C’était un bruit grave merdique, mais je m’en foutais. Par contre, lui il semblait être bien énervé et ça me faisait rire. C’était bien fait pour sa gueule à ce connard. Fallait pas me chercher.

Soudain, il commença à crier.

“Ne bouge pas et ne réplique pas !”

Ah d’accord, cette chienne osait se protéger derrière ce collier pour ne pas assumer ses actions de lache ? Un jour ou l’autre, il le payerait. Dans tout les cas, il en profitait pour me foutre une gifle dans le visage. En soit cette dernière ne me faisait pas grand-chose, il était pas très fort physiquement et pour le coup sa force était à l’image de son corps de phasme. Mais c’était suffisant pour m’énerver et une veine d’énerveraient gonfle sur mon front tandis que je souriais de manière carnassière dévoilant mes crocs. Je le fusillais du regard avec mes pupilles de Chat et sans doute que sans le collier, il aurait prit pour trois générations.

Il commença alors essayer d’expliquer des choses et blablabla sur sa générosité. MAIS TU COMPRENAIS QUE J’EN AVAIS RIEN A FOUTRE DE TOI FDP ?

“Au cas où tu n’aurais pas compris, je t’ai acheté et tu es mon esclave, même si c’est temporaire. Je te pose ses questions pour choisir un poste qui te conviendrait mieux selon tes capacités que le statut de domestique.

Je pourrais également t’obliger à me répondre comme je viens de le faire en te donnant un ordre, mais je préférerais que tu le fasses de ton plein gré. Je suis prêt à t'écouter.”

Mes oreilles se levaient d’un coup tandis que de mon regard, je le prenais de haut comme si celui-ci disait des conneries, ce qui était le cas.

C’est toi qui m’électrocute petite merde. Alors croit bien que j’en ai rien à foutre de ce que tu veux. La seule envie que j’ai, c’est pas de te répondre, c’est de te frapper.

Bah oui, il croyait croit l’autre, j’étais pas son chien. Esclave ou pas esclave, je l’emmerdais. Qu’il se fasse pisser dessus par ses parents sérieux.

J’étais toujours immobile à cause du sort, mais on pouvait voir les nerfs gonfler dans mon front. J’avais pas l’intention de rester là sans rien et de laisser ce fils de pute me gifler sans rien faire. Sur ma vie que putain, celui là, je vais lui niquer sa mère et ses ancêtres. Oh oui, tu vas manger ta mort toi, quand j’en aurais terminé avec toi, même ta mère va te renier car elle te reconnaitra pas.

Pendant que j’étais en train de penser à ce que je lui ferais pendant que je lui niquerais sa race, j’essayais petit à petit de rompre l’étau magique à la force brute. Après tout ce truc était super magique et psychologique. J’avais déjà la force pour briser un mur si je voulais, ça devrait prendre le temps qu’il faut, je niquer le collier puis je lui fais bouffer à son connard.

Et en plus de ça pendant ce temps là, CE PUTAIN DE FILS DE CHIEN il souriait. Ah tu souris ? TU OSES SOURIRES ??? Ah t’inquiète pas que si t’aime sourire, mon petit, on va aller imprimer le tien sur chaque dalle du jardin. Et je vais me faire un plaisir de t’aider, et te remplaçant le nez à chaque fois qu’il va partir au loin.

“Pas tout de suite, Miss délicate. Attends au moins que tes futurs propriétaires te donnent l’ordre de me liquider. Ma cousine ne risque pas de le faire, mais son mari Leckard, sûrement. Je jurerais qu’il serait ravi de m’abattre pour peu que ça l’arrange…

Enfin ça, c’est uniquement, s’il n’y a pas de bémol. Je pourrais aussi t’envoyer frapper du Norz. Pour le moment, c’est un ordre, tu vas suivre les directives d’Hector et devenir une employée modèle.

Je peux te laisser à ton maniérisme ou tu veux continuer à discuter?”

Alors…

J’en ai rien à branler de ta petite cousine. Qu’elle continue à goulument sucer la bite de ton beau frère en gorge profonde avant de boire son sperme avec gourmandise.

Dans le même temps je mimais les gestes avec ma langue pour donner plus de profondeur à mes propos, on faisait des bruits assez sonore, comme des slup slup slup. Ou encore des coups de langue, pour simuler une stimulation du gland.

Laisse-moi boire de précieuse crème, mon mari Leckard !

Puis je haussais les épaules avec un petit rire dédaigneux.

Enfin, je dis ça, mais si ça trouve, elle préfère la sodomie, se prendre une bonne grosse bite dans le trou du cul. Ou peut être ligoté. Tu connais quoi des préférences sexuelles de ta cousine ?

C’est à ce moment là que j’avais tilté que son ordre était juste censé être quelque chose de bref pour me foutre une claque.

Ah mais je peux bouger en fait !

J’agitais les bras, toute contente, et ignorant totalement la question de mon… maître dans un premier temps. Une fois, cela fait, je fis un bond vers lui toute contente, avant de poser main sur l’épaule opposée passant derrière son cou alors que je me trouvais du coté droit.

Ecoute gamin. Si tu veux qu’on discute, va falloir que tu arrêtes de me donner des ordres. Essaye de pas de jouer au dur avec moi, j’ai connais des maîtres beaucoup plus puissant et terrifiant que toi. Et par puissant je veux dire démon et archimage. Autrement dit à mes yeux, tu es juste un putain de faible qui essaye de se faire passer pour plus que tu es. Un fort, ça se voit sur son visage qu’il est fort. Alors arrête de jouer au grand dur, tu perdras à ce jeu, c’est le conseil de mamie Mera.

Dans un deuxième temps, sache que ton Leckard, je lui chie à la gueule et le laisse goulument bouffer ma merde comme le connard de scatophile qu’il est. Il est hors de question que je me retrouve coinçé avec ton couple de merde alors que tu as intérêt à changer d’avis parce que sinon, je vais devenir assez méchante et tu ne voudrais pas que j’insulte une nouvelle fois ta mamounette d’amour.

Donc tu vas être gentil garçon et arrêter de casser les couilles et ensuite on pourra discuter.