Feuille de personnage Puissance Personnelle Brute (potentiel): (130/500) Type d'énergie canalisée: Neutre profane (toutes énergies profanes confondues)
Felinaë Vaelarim
Felinaë Vaelarim
Prêtresse de Maurri - Mage de 4e ordre
Ven 1 Oct - 2:42
Puissance moyenne : Nulle
Vaelarium
Felinaë
Elvarion
Femme
802 ans
Aime tout le monde
noble
Prêtresse de Maurii
(si mineur de mois de 21 ans) écrire ici
(si esclave) écrire ici
Il en faut peu, pour être heureux
Neutre Bon
Positive Divine et Profane
Métamorphose et Elementaire
Magie Blanche et Magie Noire
Ce sort consiste en la transcription en énergie magique des sentiments positif de l'elfe. Plus l'elfe considère avec amour et compassion autrui, plus son énergie magiqueaugmente. Celle ci s'illustre notamment par une multiplication par 2 de la statistique de constitution. Cette résilience inclu également la solidité de l'esprit qui s'aligne sur la statistique
Cette capacité se définit par le fait de sceller, qui s'illustre par le verrouillage de quelque chose. Cela peut tout autant être un sceau de verrouillage de la magie, ce qui demande d'apposer la chose directement sur la source qu'un verrouillage de tout ce qu'il est possible de verrouiller, que ce soit des portes, des fenetres, voir de manière plus large de verrouiller dans une zone donner les mouvements.
Evidemment face à ce genre de magie, il est possible de briser le verrouillage, notamment par la force, sur le même principe que tout sorts de protection ou de restriction de mouvement.
70 points à répartir pour les adultes et 30 pour les élèves. Une modulation sera éventuellement appliquée selon l'âge, l'expérience et le rôle du personnage. On ne peut pas mettre moins de 2 dans une caractéristique. Entre 2 et 4, on considèrera que le personnage a un malus dans la caractéristique.
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La section pourra être tenue à jour en ajoutant sur la même ligne, les nouvelles stats, après montées en grade (en les distinguant par une autre couleur par exemple).
Spoiler :
Malgré les tumultes que vivaient la cité, les agissements d’Hésandre, l’agressivité de la vice royauté et sans parler de l’incertitude propre à l’Etat Targattien en lui-même, une calèche, tirée par quatre chevaux blancs avaient réussit à passer, filant désormais à toute vitesse vers les portes de cette cité, qui était bien désiré, surtout depuis ces dernières années. Chose étonnante, l’intérieure de cette calèche était entièrement vide, il n’y avait personne, simplement des affaires et des bagages propre à propriétaire qui semblait pourtant étonnement absent. Il y avait pourtant bien un cocher, mais personne à l’intérieur.
Pourtant, quand on se reculait légèrement, pour prendre de la hauteur et adopté une vue de scrutateur, on voyait alors apparaitre sur le toit, une demoiselle aux cheveux roses, confortablement installée, les mains derrière la tête, elle-même sur un oreiller, les jambes croisées, un pied au sol et l’autre en l’air qui taguant au gré des agitations d’une caresse qui ne pouvait garder une route pleinement stable, du fait des imperfections propres à des routes que l’on avait du mal à entretenir au vu des finances.
Ah, je préfère l’air libre. Humer encore un peu l’air vicié d’un endroit si restreint m’importunait dans mon repos.~
En effet, elfe oblige, la demoiselle était avant tout une être d’espace et de vert, peu habitué aux restrictions de villes nombreuses et si refermés, où elle devait faire des efforts pour pouvoir à minima si sentir quelque peu à l’aise.
Observait alors au loin, ce qui semblait apparaitre comme un arbre monde, la prêtresse ne semblait pas vraiment en avoir la volonté de s’en approcher, son objectif était après tout, tout autre.
Loin était le temps, où la demoiselle était l’une de ses nombreuses elvarions nés peu de temps après la fin de la domination des Grands Dragons, nés pour défendre leur plan, face à l’instabilité naissance propre à la libération des hommes et à l’incertitude de leur destin qui commençait dans le sang. Elle était ainsi l’une de ses rares Elvarions, à avoir vécu si loin des paisibles cités blanches depuis son adolescence, tout cela pour servir comme bien des siens, dans les légions des armées elfiques, combattant tout ce qui pouvait être une menace, tentant alors de remplacer de manière bien ridicule, ce qui avait été initialement le rôle des grands bourreaux de la précédente ère.
La guerre, la guerre, la guerre. On pouvait dire qu’en effet, cette dernière en avait vécu. Bataille après bataille, contre les drow, contre les Hommes… Des temps anciens et révolus dont elle n’avait gardé que les tenus, pour se souvenir chaque instant dans son histoire, ce qui signifiait la guerre.
Elle ne semblait pas pourtant en être traumatisée, elle ne semblait pas avoir vécu des expériences tragiques au point de sombrer dans une folie qui aurait été le déclencheur de sa vocation. Tout ce que ses siècles de guerre lui avait inspirés, et lui inspirait encore, c’était du dépit, un immense gâchis pour rien.
Evidemment, elle comprenait les raisons de la guerre, ne vivait pas dans une bulle qui presque stupidement, prétendait ne pas comprendre pourquoi la guerre et le conflit existait. Pourquoi ce concept était si récurrent et immuable, ce mur, qui absolument amoral se nommait conflit d’intérêt et de valeur. Sa véritable impression était principalement, tout ça pour ça ? Tout ça pour quoi au final ? N’y avait il donc pas d’autres solutions à ce qui n’était donc qu’un gaspillage pour tous ? Faire tenter de régner l’amiable était un défi, mais n’y avait il donc personne pour le tenir ?
C’est dans ses doutes, que petit à petit, après les grandes guerres et la proclamation de la paix de Courage et de Rosenburg en 533, dans ses voyages dans le monde pour réfléchir à tout cela, l’Elvarion finit par se rapprocher du culte de Maurii, jusqu’à finalement l’intégrer à part entière, gravissant les échelons avec un certain retard d’age, mais sans vraiment sourciller, jusqu’à devenir un subordonné de son Primat Dédié.
Contrairement à ce que l’on pouvait penser, notamment dans les clichés qui pouvaient véhiculer à partir de certains cultes, l’Eglise de Maurii, ce n’était pas que parler d’amour, que parler d’une vague beauté de la compréhension tellement fumeuse que tout prêtre en parlant, ayant un degré d’intelligence moyen, ne pourrait croire ses propres propos. Non, le Culte de Maurii était principalement du concret, un concret qui se fondait sur une mission principale, une mission pacificatrice, en tant que porteur de la paix par l’amour universelle, les Mauriiste se devaient donc d’en être les artisans. Une grande partie de leur travail était donc l’intervention dans les conflits pour de la médiation entre les parties, pour tenter de trouver des solutions à l’amiable, autant dans les cités magiques que dans le monde non mage, sans parler dans les problèmes internes aux cultes et à leurs coexistences.
Evidemment le rôle de conciliateur en lui-même était complexe en raison de la pluralité des individus qui ne demandait pas les mêmes méthodes. Certains demandant simplement l’usage du verbe et de la simple réflexion, d’autre demandait par contre des méthodes, qui étaient assez insoupçonnées chez les Mauriistes, à savoir l’usage d’une certaine dose de violence. Pas qu’en soit, les prêtres étaient véritablement enthousiasmé par cela, mais l’histoire montrait que pour faire de la médiation face à des adeptes de Lehadin, Korda ou d’Hextor, sur le plan ethnique, vis-à-vis des Norz, des Magyars et des Germains, ces derniers parlaient plus par leurs poings que par leurs langues. Maurii l’enseignait, tout jugement était dangereux, ainsi il fallait donc s’adapter pour faire plaisir à ses interlocuteurs et respecter leurs valeurs, ce qui s’avéraient en effet généralement plus efficace que la simple discussion concernant les nommés.
Les années passèrent et nous arrivons maintenant au moment présent. Le Primat de Maurii, était en effet quelque peu inquiet de la tournure que prenaient les événements. Pas qu’il n’avait pas confiance dans les autres prêtrises, et notamment celle de Jaben, mais ce dernier était à ses yeux tout de même trop logique, pour réaliser à quel point l’irrationalité émotionnelle pouvait être un facteur important dans la réalisation de sa mission. C’est ainsi que le Primat décida d’affecter à Targatt, un nouveau prêtre, qui aurait principalement pour mission d’arrondir les angles que le dit Cephas pouvait rendre extrêmement aiguisés sans même s’en rendre compte.
Une grande aventure sans doute, allait commencer et malgré sa mission qui s’avérait capital, L’elvarion avait hâte de commencer…
Cette section pourra être remplie au fil du jeu. Il s'agira du rappel des éléments clés (évènements importants, majeure dans l’orientation/la vie de votre personnage) Ils devront être indiqués sous la forme suivante : date + description de l'évènement
Exemple : - 1 semaine après attaque des démons – arrivée à Targatt - 1 mois après attaque des démons - Diplomé de l’académie - 2 mois après attaque des démons - Est pris au service des Bones comme apprenti façonneur - 2 mois et 3 jours après attaque, se marie avec Belinda - 2 mois et demi après attaque des démons - A tué par accident un de ses collègues - 3 mois après attaque des démons - Après plusieurs jours de fuite, est rattrapé par le protectorat et mis aux arrêts etc
Indépendamment de ce que l'on pense des serviteurs de Maurii, il s'agit sans aucun doute des cultes qui disposent d'un capital confiance le plus elevés. Pas dans son efficacité, mais au moins dans le fait de ne pas se servir de ce qu'ils font pour vous contre vous. Sa position met également la demoiselle dans une position privilégié par être l'arbitre de bien des litiges des territoires où cette dernière passe.
Spoiler :
Grande Elvarion venant tout droit du précédent air de ce monde, Felinaë, est en matière de morphologie elfique, une existence que l’on pourrait qualifier d’assez classique. Une taille assez grande avoisinant les 1m80, ce qui est de loin supérieur en matière féminine, que la plupart des races du plan matériel. Elle garde d’ailleurs de cette taille, une grâce assez caractéristique de ce peuple, qui a toujours pour habitude de rester assez digne, du moins en apparence. Sa morphologie est elle assez mince, bien que derrière des vêtements qui lui permette de terriblement bien cacher son jeu, l’elfe se révèle assez bien bâtit physiquement, disposant d’une certaine résistance et d’une certaine musculature, qui se caractérise par la présence visible sur son vendre d’abdominaux sans tomber dans l’excès propre aux personnes véritablement musclés.
Il serait une perte de temps que de parler avec précision de tout les traits, qui caractérise sa race, notamment, les oreilles, qui chose ne change pas, sont évidemment longue. Ses cheveux sont eux, rose bonbon, ce qui cette fois en effet une particularité assez rare, qui sans exceptionnelle, reste assez rare pour que nombreux soit les yeux qui se posent dessus. Le rose de ses cheveux s’accompagne lui du bleu de ses yeux, au milieu desquelles restent des pupilles de couleur jaune.
Sur le plan vestimentaire, sans chercher l’austérité, la prêtresse n’est pas non plus, sans être vraiment pudique, la plus habituée à porter des tenus légères, restant dans des uniformes, paradoxalement vis-à-vis de son appartenance religieuse assez proche, de ce que pourrait être ceux d’officiers des anciennes des armées elfiques. Ces derniers étant un mélange de blanc et noir assez sophistiquée.
[à indiquer sous forme de liste ci-dessous] - Traits Raciaux Elvarion - Cheveux Roses -
Cette dernière section sur l'apparence pourra être complétée/modifiée au fil des RP si des changements d’apparence devaient être faits : gain de cicatrices, amputation, changement de corps et ainsi de suite pour que la fiche soit à jour et témoigne de l’état actuel de votre personnage.
[Description détaillée - 250 mots à mettre dans les "spoiler"]
Spoiler :
Comment définir ce qu’est cette Elvarion ? Sans aucun doute, de la même manière que la plupart des prêtres de sa condition, trop gentille, beaucoup trop gentille. Mais pour autant, dans les temps troublés, où la majorité des âmes sombres dans un réalisme, qui ne se définit que par un profond cynisme, l’utopisme en lui-même ne serait il pas quelque chose de salvateur ? Une bouffée d’air et d’optimisme dans un monde, se dirigeant de lui-même à défaut de sa fin, dans le désespoir, d’un cercle qui ne pouvait être que vicieux.
Oui, Felinaë, est à la fois, tout les dogmes propre à au culte de la déesse Maurii. Ce genre d’individu, aimant tout, ce qui de sa présence, existait, indépendamment des actes et de la nature des choses. Il fallait aimer le monde, la vie, l’Existence elle-même. Naturellement, cela ne signifiait pas trouver le monde comme une chose parfaite, où il n’y avait rien à corriger, mais seule l’optimisme, et la volonté d’aller faire l’autre pourrait vraiment faire changer les choses, quand bien même il s’agissait là, de ce qu’il y avait de plus difficile à faire pour toute existence, ce qui allait jusqu’à concerner les plus sages d’entre elle.
Créer ce cycle vertueux, qui garantirait le développement de tous, voilà vers quoi tous devait aller. Pour défendre ce qui était une vision positive du monde, malgré les rires et les dépits que cela suscitait chez les pessimistes, il fallait évidemment la personnalité qui allait avec les idées, qui se devait tout autant d’être bienveillante et forte. Et c’était heureusement ce qu’était Felinaë. Une personnalité à la fois bienveillante, gentille, chaleureuse, patiente, sociable, etc etc etc.
L’elfe aime sincèrement les autres, considérait tout, comme membre de sa propre famille, que ce soit des frères, des sœurs, ou des enfants, fils ou fille pour ceux qui la considérait comme une personne âgée. Parce qu’elle aime sincèrement les autres, sans même qu’elle y soit contrainte, elle ne peut se résoudre à abandonner personne, pouvant aller même à se sacrifier pour sauver son propre ennemi.
Parce qu’elle aime tout le monde, elle également très sensible à ce que sont les autres, riant avec eux dans leurs joies, pleurant avec eux dans leur tristesse, tout en les réconfortant dans leur désespoir.
Tout en restant un individu émotionnel, l’elfe n’en reste pas moins une personne étonnamment assez logique et rationnel, trouvant notamment une cohérence à ce que certains critiques d’utopisme dérisoire. Chose qui s’illustre derrière le fait, que derrière un comportement très visuel et tactique, elle fait par exemple un excellent médiateur dans les conflits.
- Qualités principales => Empathique, Gentillesse, Intelligence - Défauts principaux => Laxisme, excès de sympathie + Toute information concise et utile (sous forme de liste si possible)
(à actualiser seulement si il y a des changements significatifs, sous forme de liste, concise)
Exemple : - 2 mois et demi après attaque des démons – a vu son esprit être remanié par Brann pour supprimer chez lui toute inhibition. Ca a affecté la manière dont il percevait et respectait la vie, dont il n’a plus rien à faire maintenant. Et de la même manière, sa timidité s’est envolée pour laisser place à une personne qui n’hésite pas à jouer de ses charmes pour séduire. Ou du style : - 1 an après le début de sa relation avec Alexia, se rend compte qu’il s’est progressivement assoupli, adouci et est devenu plus tolérant envers les autres
[Section vouée à évoluer au fil des RP, à essayer de tenir à jour - Inscrivez ici les autres personnages récurrents que votre personnage cotoie ou ayant un lien affirmé avec lui]
Exemple : - Mélina soeur cachée de Cain : apprennent à se connaître - Garreth, amant de Cain : rupture récente suite à l’exil de Cain - Yearius, rival de Cain : haine viscérale à son encontre - Brann, cousin de Cain : comptent se tuer l’un l’autre - Wilhelmine, amie de Cain : amitié, reconnaissance pour son aide bien qu’il continue à se méfier d’elle malgré tout etc