Feuille de personnage Puissance Personnelle Brute (potentiel): (117/500) Type d'énergie canalisée: Négative profane
Aélith
Aélith
Esclave de la reine - mage 4e ordre
Sam 12 Sep - 22:30
Puissance moyenne : Nulle
Aucun
Aélith
Drow, elfe noir
Femelle
310 ans
Selon les besoin de son maître
Esclave
Esclave personnelle de la Reine
Aucun
La Reine Luthièn
loyal-neutre
Négative
Magie Runique et Magie de Métamorphose
Magie Spirituelle
Runes
Bien qu’il s’agisse d’une magie habituellement maîtrisée par les Nains, leus avec les drows amène ceux-ci à pouvoir maîtriser la magie des Runes, soit celle de canaliser la magie du mage via des écritures. Aélith a appris la magie des Nains grâce à la Matriarche Falea. Elle l’utilise principalement pour marquer ses flèches et leur donner des effets divers lors de leur impact, évitant qu’elles ne perdent de leur effet à cause de leur trajet en l’air. Les flèches d’Aélith peuvent être marquées de runes de feu, de de glace, d’invisibilité, de poison et de nombreux autres effets. La puissance des dégâts liés aux runes dépend de la magie qu’Aélith acceptera de mettre dans les runes au moment de leur rédaction. Aélith sait également pratiquer la magie runique sur autre chose que ses flèches. Mais, à la différence de ses flèches qu’elle entretient sans attendre les demandes de ses maîtres, elle n’utilisera jamais sa magie runique sans l’autorisation de son maître.
Œil de Lynx
Utilisant une forme de magie de métamorphose, Aélith utilise sa magie pour améliorer sa vision. Ainsi, si elle est capable de naturellement voir dans la nuit du fait de sa race et dispose d’une bonne vue, elle est en mesure, grâce à son pouvoir, d’observer des objets plus ou moins loin ou de remarquer les plus infimes détails.
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Spoiler :
Aélith n’est personne. Même ce nom n’est qu’un décor que Maître Alaron fait porter à Aélith. Aélith ne discutera pas ce nom. C’est d’ailleurs le premier nom auquel elle eut le droit de participer à la création. Néanmoins, le nom d’Aélith est le nom qui marque la propriété des maîtres d’Aélith.
Aélith n’a donc pas de nom a elle. Elle n’en a pas besoin. Seuls les maîtres d’Aélith ont besoin de lui donner un nom. Par simplicité et pour marquer leur possession. Ainsi, Aélith a eu trois noms en tout au cours de ses 310 ans. Tranea fut son premier nom. Il lui a été donné par la matriarche Elénith après qu’Aélith eut vécu presque 100 ans anonyme, seulement appelée « Ah elle » par la matriarche Falea, sa première maîtresse. Puis, à 187 ans, Aélith fut appelée Elessara par la matriarche Jhaelsra. Aélith porta ce nom pendant 100 ans. Quand Aélith fut âgée de 287 ans et qu’elle fut offerte par des Elvarions des royaumes nom loins des Monts Enneigées à Maître Alaron, ce dernier l’appela Aélith. Aujourd’hui, Aélith porte ce nom, jusqu’à ce que son prochain maître n’appose sa marque et change son nom.
Aélith n’a jamais eu que les noms de ses maîtres que parce qu’elle est née sans. Dans le monde sous le monde, l’Outre-Terre, Aélith est née d’inconnus, insignifiants et victimes des luttes permanentes et nécessaires au sein de la civilisation des elfes noirs. Soit pour complaire Lloth, soit pour satisfaire Korda, soit pour accumuler plus de pouvoirs, le clan auquel la matriarch Falea appartenait massacra et soumis à l’esclavage le clan auquel appartenait Aélith. Aélith fut trouvée couverte du sang de ses parents par la matriarche Falea. Comme Aélith était une femelle, elle ne fut pas envoyée comme sacrifice dans les temples du sang ou dans les corrals où s’accumulent les esclaves servant dans les champs souterrains et les mines. Elle fut recueillie par la matriarche Falea et dès cet instant, elle fut soumise aux privations, aux abus et aux morsures du fouet. Elle fut sévèrement dressée par la matriarche elle-même. Dressée à souffrir en silence, à obéir sans répliquer, à ne plus penser que pour le bien être de sa Maîtresse, à ne plus anticiper, à ne plus prévoir, à simplement devenir un objet à la disposition de la matriarche Falea. Elle le devint progressivement et à 50 ans, Aélith était docile et plus obéissante que des esclaves plus anciens. Mais qui, à la différence d’elle, avait connu la liberté avant de finir enchaîner. Aélith est née avec des chaînes. Vivre sans est anormal. Vivre sans maître est une chose à laquelle Aélith ne peut pas survivre. Aélith sert et servivra, comme la matriarche Felea lui a appris.
Ainsi, Aélith n’avait pas de nom quand la matriarche Falea était sa maîtresse. Elle était un objet dont la matriarche disposait, qu’elle pouvait laisser des jours durant au même endroit sans y prêter attention et sans qu’Aélith ne pense même à bouger. Non pas par peur des coups ou par envie de faire plaisir à sa maîtresse, mais simplement parce qu’on lui avait ordonné de le faire. Alors, elle le faisait. Aélith, que la matriarche Falea n’appelait que par « Ah elle », servit dans la chambre de sa maîtresse, dans ses salons, dans ses temples, dans ses voyages. Quand Aélith devint assez grande pour apprendre à se battre, la matriarche Falea l’envoyer des jours durant apprendre à manipuler l’arc et les lames, à dépecer animaux et esclaves, à subir la douleur dans un silence absolu qu’elle respectait depuis le jour où elle apprit, à ses dépends à parler. Car la matriarche lui indiqua que si elle osait répondre ou souffrir en se manifestant, elle ferait en sorte qu’Aélith souffre éternellement dans un temple de Lloth pour satisfaire la déesse et Korda et qu’alors, elle ne cesserait jamais de hurler et de gémir de douleur. Alors Aélith restait muette sauf si la matriarche lui demandait de parler.
En silence, Aélith servit sa maîtresse de toutes les manières. Elle l’habilla, elle la coiffa, elle la protégea, elle se donna en spectacle puis, quant elle eut 80 ans et qu’il fut évident qu’elle devenait une belle jeune drow, elle l’accompagna dans l’intimité de sa chambre. Elle ne ressentait ni humiliation, ni plaisir. Elle ne ressentait et ne laissait percevoir aucun plaisir, douleur ou sentiment. Aélith servait la matriarche Falea simplement, silencieusement et aussi longtemps que la marque au fer rouge traversant son dos et qui faisait d’elle la propriété de la matriarche ne serait pas barrée et une nouvelle marque apposée. Dans l’intimité de la couche de sa maîtresse, Aélith apprit que la matriarche cherchait simplement quelqu’un de docile pour l’accompagner et dont elle n’avait aucune raison de se méfier. Aélith ne fit aucune remarque alors et encore aujourd’hui, n’a pas d’avis sur cette posture de sa maîtresse.
Cependant, sa maîtresse n’était pas éternelle et Aélith fut céder à sa fille, la nouvelle matriarche Elénith, quand la matriarche Felea mourus. La matriarche Elénith avait toujours été jalouse d’Aélith. Même si elle avait grandi dans la grandeur et Aélith était une esclave qui avait perdu toute forme de libre arbitre et obéissait sans broncher à n’importe quel ordre. Aélith reçut son premier prénom, Tranea et après que la marque de la matriarche Falea soit barrée au fer rouge, celle de la matriarche Elénith fut apposée juste au-dessus des seins d’Aélith. Aélith perdit son droit de servir dans la demeure de la matriarche Elénith et fut affectée à sa garde. Là, 87 ans de vie furent consacrés à une dégradation progessive du statut d’Aélith. Bien qu’excellente archère, disposant d’une très bonne condition physique et d’une obéissance sans faille, Aélith fut progressivement écartée des tâches pouvant la rendre utile, jusqu’à ce qu’elle perde même la supériorité que son sexe, malgré son statut, lui conférait par rapport aux mâles drow formant la garde d’Elénith. Ils commencèrent à la violenter et si initialement elle se défendait, quand elle fut ordonnée de ne plus répondre après avoir tuer de sang froid un autre garde, elle se soumit à ses agresseurs. Aélith passa alors de garde d’élite à simple défouloir physique et sexuel des gardes d’Elénith et parfois d’Elénith elle-même. Elle subie alors pendant 87 ans les coups et les humiliations en silence, en obéissant et sans aucune colère ou rancœur se construisant en elle. Elle donna la vie sans dire un mot et malgré son jeune âge. Elle fit des tâches avilissantes sous le regard dégouté de ses congénères et les rires de sa maîtresse avec une précision et un investissement typique des esclaves dressé, comme elle, peu de temps après leur naissance. Le plaisir d’Elénith pris cependant fin quand elle perdit Aélith aux jeux au profit de la matriarche Jhaelsra.
Cette dernière fit barrer la marque de la matriarche Elénith et plaça la sienne dans le bas du dos d’Aélith. Elle nomma ensuite Aélith, alors qu’Aélith avait 187 ans, Elessara. La matriarche, qui se souvenait de l’obéissance et des capacités au combat d’Aélith, quand elle appartenait à la matriarche Falea, avait besoin d’une esclave pour la protéger et pour exécuter une vengeance à l’encontre de sa rivale, Elénith elle-même. Aélith était la parfaite candidate. Mais ces 87 ans passés à se prostituer aux mâles et aux femelles de la garde d’Elenith avait affaiblie Aélith et la matriarche Jhaelsra décida d’user de sa magie et de son temple pour soigner les vieilles blessures et les vieux traumatismes physiques d’Aélith. Au cours de la convalescence de sa nouvelle esclave, la matriarche Jhaelsra découvrit qu’Aélith ne savait ni lire ni écrire. Alors la matriarche ordonna à Aélith d’apprendre au cours de sa convalescence et pour être certaine qu’Aélith sache parfaitement lire et écrire, fit rallonger artificiellement la guérison de son esclave. Aélith resta alors très longtemps, plusieurs années, sous la protection du temple de la matriarche Jhaelsra. Durant ces années, Aélith ne fut d’aucune utilité à la matriarche. Pas même pour ses plaisirs personnels. Car Aélith était sous la protection du temple et la troubler pouvait troubler Lloth. Mais aucune des deux ne fut inactive. Tandis que la matriarche Jhaelsra complotait contre Elenith, Aélith retrouva l’usage de ses jambes, pendant trop longtemps sanglées et de ses bras puis elle commença à lire les livres et les parchemins du temple par elle-même, sans attendre l’autorisation de sa maîtresse ou des prêtresses du temple qui la surveillaient.
Il fallut dix ans pour qu’Aélith retrouve la forme physique qu’elle avait avant d’être l’esclave d’Elénith. Toutes les cicatrices avaient disparu et seules persistaient sur la peau bleuté d’Aélith les trois marques au fer rouge de ses maîtresses passées et de sa maitresse actuelle. Elle reprit alors ses entraînements au combat et à l’arc et intégra ensuite la garde rapprochée de la matriarche Jhaelsra. Elle participa à de nombreuses attaques contre les clans proches de celui d’Elénith avant, in fine, de s’attaquer avec la garde de Jhaelsra à la demeure d’Elénith elle-même. Du haut d’une des tours de la cité, elle massacra avec son arc tous les gardes qui autrefois furent ses camarades puis ses bourreaux. Mais elle le fit sans rancœur et sans aucun sentiment de haine ou de soulagement. Elle le faisait parce que cela lui avait été ordonné. Elle fut tout aussi silencieuse et sans aucun sentiment quand Elénith fut trainée en dehors de sa demeure jusqu’à celle de la matriarche Jhaelsra et qu’Aélith la tint immobile le temps que Jhaelsra marque Elénith de sa marque, la transformant en esclave.
Désormais soumise à la matriarche Jhaelsra, Elénith tenta de raminer l’ancien droit qu’elle possédait sur Aélith pour qu’elle la sorte de cette situation. Elle lui proposa des montagnes d’or, la liberté et bien d’autre choses. Silencieusement, Aélith lui montra que sa marque avait été barrée et que celle de la matriarche Jhaelsra trônait au-dessus de son fessier. Elénith comprit qu’Aélith ne lui serait d’aucun secour et Aélith devint l’instrument principal de la matriarche Jhaelsra pour dresser Elénith. Un moyen rapide de briser Elénith pour Jhaelsra. Un simple ordre qu’Aélith a exécuté jusqu’à ce qu’elle cesse d’être l’esclave de la matriarche.
Cette transition se fit alors qu’Aélith avait 287 ans. Après avoir vécu un siècle en servant avec fidélité sa maîtresse, notamment pendant les razzias de cette dernière à la surface, Aélith fut capturée par des Elvarions d’un des royaumes elfiques non loin des Monts Enneigés. Victime d’une embuscade, la caravane d’esclave de la matriarche Jhaelsra fut anéantie et la matriarche mortellement blessée. Aélith défendit sa maîtresse jusqu’à ce que cette dernière ne rende son dernier souffle. Elle fut alors capturée par les soldats Elvarions et conduite, blessée et affaiblie, dans leur cité où elle fut soignée et la marque de la matriarche Jhaelsra barrée au fer rouge. Cependant, cela ne faisait pas d’elle une elfe noire libre et elle fut conduite, une fois rétablie et vêtue de blanc, conduite dans les cités des Haut-Elfes dans le nord. Là, elle fut offerte par les Elvarions l’ayant capturé au Haut-Elfe Alaron. Le Haut-Elfe accepta le cadeau et fit marquer magiquement ce qui restait de libre le dos d’Aélith. Le Haut-Elfe passa plusieurs jours à longuement tatouer magiquement le dos de l’elfe noir qui était forcée de rester torse nue malgré la température basse et le passage plus ou moins fréquent de visiteur venant parler au seigneur Alaron. Quand il eut fini, la marque était bien plus élaborée que les vulgaires marques des anciennes maîtresses d’Aélith. Il demanda ensuite comment Aélith s’appelait et Aélith lui répondit Elassara. Mais cela ne convenait pas. Alors le Haut-elfe lui demanda son vrai nom. Cependant Aélith n’en a jamais eu. Alors le Haut-Elfe lui demanda qu’elle est le plus ancien nom dont elle se souvenait et Aélith répondu simplement « Ah elle ». Cette expression devint Aélith et ce prénom devint le nom de cette esclave.
Le Haut-Elfe garda auprès de lui Aélith pendant 23 ans pendant lesquels, tout en usant de la docilité de son esclave, il lui apprit de nombreuses choses et lui rendit un tout petit peu de l’humanité que son dressage lui avait totalement retiré. Aélith retrouva un peu de son libre arbitre et de ses sentiments. Mais son âme était trop sévèrement inhibée pour lui permettre de ne jamais retrouver l’ensemble de sa liberté.
Le Haut-elfe appris, un jour, que sa fille, Luthièn, était devenue la Reine de la cité mage de Targatt. C’était une fonction importante et le Haut-Conseil Elfique décida d’envoyer des cadeaux de félicitation à la nouvelle Reine, à la fois pour lui souhaiter bonne chance et pour lui rappeler son allégeance, en tant qu’espèce, au conseil. Alaron décida qu’Aélith ferait partie de ces cadeaux offerts à la Reine et passa plusieurs jours à modifier la marque qu’il avait posé dans le dos d’Aélith pour en faire sa fille sa nouvelle maîtresse. Aélith quitta alors les cités du nord et rejoint, après plusieurs mois de trajet, la cité de Targatt. Là, elle fut présentée, en même temps que les autres cadeaux, à la Reine Luthièn. C’est à ce moment ci qu’elle devint l’esclave de la souveraine.
- Un mois après le couronnement de Sa Majesté Luthièn, Aélith arrive à Targatt et est offerte à la souverains comme cadeau de couronnement par Alaron, père de la Reine.
Aélith est une esclave très silencieuse et qui sait se faire discrète. Ayant passé quelques années dans les cités du nord, et comme elle est une drow, elle est un peu connue.
A Targatt, son arrivée récente fait qu’elle n’est connue que de la Reine et de ses proches conseiller et son statut d’esclave, alors que la Reine a des positions anti-esclavagistes, leur pose problème.
Spoiler :
Aélith est une jeune elfe noire. Grâce aux soins de son ancienne maîtresse Jhaelsra, sa peau est généralement très lisse et immaculée à l’exception des marques de ses anciens maîtres et de celle faisant d’elle l’esclave de la Reine Luthièn.
Elle porte généralement l’armure que son maître Alaron lui a fait faire ou celle que sa maîtresse Luthièn lui demandera porter. Elle n’est jamais sans son arc qu’elle tient de son ancienne maîtresse Jhaelsra et qui fut teinté de blanc sur les ordres de son ancien maître Alaron, et ses flèches runiques.
Elle porte principalement, quand elle ne porte pas l’armure et que son maître ne lui demande pas de porter des vêtements particuliers, des vêtements sombres et excessivement simple. Car elle ne s’autorise presqu’aucune propriété, malgré les demandes de ses maîtres et se limite au minimum. Tout ce qu’elle possède, elle le donne immédiatement à ses maîtres.
Elle arbore presque tout le temps un visage froid, inerte et ses yeux rouges ne transmettent aucun sentiment ou pensée. D’ailleurs, elle n’en a presque jamais.
Elle ne parle que très peu et son silence cache une voix très douce, nullement marquée par des années de discussion ou par les hurlements qu’un esclave normal aurait dû faire au vu de ce qu’elle a subi. Ceci lui fait d’ailleurs extrêmement préjudice car sa voix douce et féminine ne colle par du tout avec la froideur de son visage et de son regard.
- Yeux rouges sur fond noir ; - Peau gris-bleutée ; - Cheveux argentés avec des reflets bleus ; - Taille grande (un mètre quatre-vingt-dix) - Taille fine, délicatesse et précision importentes ; - Porte des vêtements et des armures principalement sombres ; - Voix douce et délicate ; - Trois marques au fer rouges. Une au-dessus des omoplates, une au-dessus des seins et une dernière dans le creux du dos ; - Une marque presque vivante qui couvre le reste de son dos et l’identifie comme l’esclave de la Reine Luthièn.
Spoiler :
Aélith est une jeune elfe qui ne connaît le monde que par les livres qu’elle lit pendant les temps libres que lui accorde ses maîtres. Elle n’a aucune raison de le connaître autrement.
Car c’est une esclave et c’est la seule condition qu’elle connaît et admet. Vivre autrement est impossible pour elle car elle a été trop longtemps privée de son libre arbitre pour pouvoir le retrouver, même suffisamment pour vivre par elle-même. Elle dépend donc de son maître auquel elle obéit au doit et à l’œil.
Elle leur obéit non pas par recherche de la satisfaction ou par peur de la douleur, mais simplement parce que c’est son rôle d’obéir. Cette situation l’amène à faire des choses que bien des personnes libres refuserait de faire sans aucune pensée ou avis dessus. Elle exécute les ordres.
Depuis son passage chez les Haut-elfes, son âme a été un peu débridée et depuis, elle ressent de nouveau des choses. Mais ces choses nouvelles pour elle lui font extrêmement peur et elle essaye de les cacher en essayant de retrouver la tranquillité que sa docilité lui offre.
- Qualités principales => Obéissante, précise et fidèle à ses maître ; - Défauts principaux => Sans honneur, sans sentiement et fermée sur elle-même ;
NEANT
Alaron, père de la Reine Luthièn : ancien maître d’Aélith et qui est reponsable du léger débridage de son âme ;
Reine Luthiène de Targatt : Nouvelle maîtresse, soumission totale.
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