De la Doctrine Suprématiste, partie 2

Il serait franchement être ignare et idéaliste pour dire que les politiques raciales n’ont pas lieu d’exister. N’existe pas t-il pas des Politiques Ethniques et Culturelle ? Elles sont le fondement même de la sauvegarde et de la stabilité d’un Etat qui désire dans le temps.

A défaut de souhaiter leur annihilation pure et simple, elles ont pour nature des régulations sociales entre individus. Il en est de même pour Politique Raciale dont nous étudierons la nécessité et les intérêts dans ce chapitre.

Point 1. De la Nécessité du Suprématisme Humain

De la même manière que les cultures officielles sont plus valorisées que les cultures minoritaires dans les Nations et les Empires, il en est de même pour le Suprématisme Humanisme qui doit tendre à s’imposer et cela pour plusieurs facteurs.

Premièrement, le facteur démographique.

Aujourd’hui nous sommes dans un monde où les races minoritaires tentent de s’imposer vis-à-vis d’une société majoritairement humaine. Cela a été et est encore le cas aujourd’hui du Petit Peuple, qui se revendique toujours aujourd’hui comme sage et donc comme au dessus des dirigeants afin de leur donner des conseils. Ces derniers ne respectant pourtant que leurs propres lois, ne vivent que comme des êtres au dessus des Lois jusqu’à une certaine omnipotence.

Pour autant ces derniers vivant sous une certaine forme de démocratie elle-même raciale car distinguant nettement les Hauts Elfes, des Demis Elfes des Elfes simple ne devrait-il pas se plier au fait qu’une politique doit être régit par le groupe qui fait le nombre ?

Sans entrer dans des statistiques précises, l’humanité ne représente elle pas à minima près de 90% de la population mondiale ? Ce simple fait devrait lui donner force de Loi. La Politique et l’Etat avait pour vocation première l’intérêt général ou tout du moins du plus grand nombre puisque l’intérêt Général en lui-même est une utopie qui ne pourrait exister que si le consensualisme était chose réelle, ce qui n’est pas et ne sera jamais.  

L’intérêt du plus grand nombre, condition du pourquoi par un pacte sociale, les Sociétés et Nations existent est donc l’Intérêt des Humains, intérêt supérieur qui ne permet aux intérêts des races minoritaires de s’exprimer uniquement lorsque les premiers ne sont pas impactés négativement.

Deuxième le facteur Politique

Comme cela fut dit précédemment, les politiques culturelles et ethniques sont le fruit de la pérennité d’un Etat. Il en est de même pour les politiques vis-à-vis des minorités dans le monde. Structurer des Politiques Humaines permets dans un premier temps de créer définitivement, une identité humaine dans la société qui ne permettra que sa protection et sa valorisation dans un Etat attaqué de tout part par ceux qui défendraient un régime des minorités notamment elfique.

Elle stabilise ainsi l’état ce qui permet le 3e point qui est une déclinaison de celui ci

Troisième le facteur défensif

Il ne faut toutefois pas oublier que les minorités ne sont pas nos ennemis, l’unique danger que ces dernières représente étant du au fait, qu’elles veulent obtenir pour certaines des rôles qu’elles n’ont pas à avoir de part leur très faible pourcentage démographique dans le monde.

Le véritable ennemi se trouve dans les autres mondes, les êtres extraplannaires qui ne souhaitent d’une part ou de l’autre que l’assujettissement du Genre Humain et ce Plan d’Existence par ambition de pouvoir et de domination pour les infernaux ou par volonté de nous imposer des doctrines pour respecter de force des normes qui ne sont pas nécessairement les autres, ce qui s’apparente à du colonialisme magique et intellectuel.

Il n’existe ainsi pas de bon extraplannaire ou tout du moins ces derniers ne se montrent pas ici pour respecter leurs doctrines contrairement à certain archange annonçant la destruction du monde si nous ne respectons pas leurs ultimatums.

Il est hors de question de jouer à jamais le terrain de combat entre les entités d’un autre monde ou de leur servir de nourriture et d’esclave. Mais le rêve un jour élever le monde à un autre stade que celui de souffre douleur des autres ne pourra exister que par la création de l’identité de la race majoritaire, cela ne passant nécessairement que par une forte politique raciale.


Point 2. De la Nécessité des Théories de Classifications des Races

Nous avons pu voir dans le premier point en quoi, il était nécessaire permettre à la race majoritaire de prétendre à des droits majoritaires notamment au niveau politique et institutionnel.  Ce simple fait, explique la nécessité de qualifier les races et de les classifier en fonction de leurs poids démographiques et l’impact de ces dernières sur le monde.

La nécessité de la classification s’explique de part la déterminisme de sa nature et de multiples autres facteurs aura une influence positive ou négative sur le monde qui doit être noté afin d’établir les politiques et précise. Que faire vis-à-vis des races lumineuses, prédatrices, négatives ou toute autres forme de distinction.

Elle permet de connaître celles qui disposent d’une sociabilité positive plus élevé que d’autre afin de récompenser et d’aider ces races contre celles qui joueraient contre leur monde. Leur nécessité vient donc comme aide à l’efficacité des politiques de Race.

Point 3. De l’Inégalité Naturelle des Races

Non, les races ne sont pas égales, par le fait qu’elle soit inégale naturellement, elles le seront aussi juridiquement. L’Humanité et cela prouve encore fois la nécessité de sa supériorité est l’une si ce n’est la seule des races disposant de la pleine liberté. Elle ne dispose pas d’affinité prédestinée par sa naissance et est donc la plus adaptable de tous, la seule pouvant s’autodéterminer elle-même par son passif.

Les autres races si certaines disposent de supériotés physiques ne le sont pas sur le plan psychique. Qu’importe ce que les gens palabres, le déterminisme elfique ou Drow est une réalité dont les quelques exceptions sont causés par l’extrémisme de leur milieu social, les exceptions n’ayant par ailleurs pas valeur d’argument dans les sciences non mathématiques.

Point 4. De la Menace de L’hybridité

L’hybridité, ce fruit démoniaque pourrissant les mondes. Tout d’abord précisons ici que ne seront pas considéré les hybrides extraplannaires considérés comme race à part entière lumineuse et mauvaise.

L’Hybridité en elle-même une aberration par l’unité raciale que ces défenseurs veulent promouvoir. Si les races ne sont pas égales, elles n’ont pas intérêt à créer ce genre de chose qui ne provoque au final qu’un affaiblissement de la population.

Il existe des théories fantasques n’ayant aucune valeur logique qui vendrait les hybrides comme des êtres naturellement plus puissants que les sangs purs. Il n’en est rien d’un point de vue logique. Un peu de lumière dans les ténèbres, l’hybridisme nous a montré une chose, un individu est le fruit de sa mère et de la moitié de son père. Dans le cas d’un sang pur, cela ne change rien à ce qu’il est, deux moitiés similaires faisaient un tout. Dans le cas d’un sang mêlé, il ne devient que la moitié d’un elfe, et la moitié d’un humain, n’ayant ainsi que la moitié de leur potentialité dans les spécificités raciales par exemple.

Détail intriguant, amusant mais dépitant, on appelle les sangs mêlés Homme-Elfe des Demi Elfes, détail, anecdote certes, mais qui ne fait souligner les travers des pros Hybrides à survaloriser les minorités.

Point 5. De la Faiblesse des Races Magiques

Ces mêmes défenseurs des minorités vont jusqu’à justifier une abstraite supériorité de ces dernières de par leur affinité magique. Ce dernier oubliant ainsi de noter que ce serait probablement là que viendrait leur déterminisme Magique. Il y a dans ses arguments de la Supériorité Magique des Minorités une chose à contredire.

Souvent, ces défenseurs nous déclarent que contrairement aux humains qui ne possède qu’une faible part de mage, tout les elfes touches à la magie idem pour les autres races. Ces tristes individus oublient ainsi de mentionner que même si une faible part des humains est mage, elle reste tout de même incroyablement plus nombreuse que le nombre de non humain mage.

Et que contrairement à ces derniers, l’Homme qui représente le gros des effectifs mages, n’est pour autant pas sujet au déterminisme magique des non humains. Avec leurs affinités et leurs écoles de Magie en défaut, de quelconque pouvoirs raciaux et encore de flux déterminé tel le positivisme elfique ou le négativisme des Drow et Yamilo dont nous allons préciser la chose dans les prochains points.

Point 6. Des Races Mauvaises

Il convient tout d’abord de définir ce qu’est une race mauvaise. Il s’agit de race ayant par nature une prédisposition voir une pure obligation à utiliser les flux négatives et les magies sombres tel l’école de Magie Noire.

Il en existe dans ce cas de figure deux cas stricts et un cas prédisposés.

Les Yamilos et les Drow d’une part et les Vampires d’autre part. Ces derniers dans cette étude seront classifiés en tant que race prédatrice, ce qui leur convient mieux que d’être grossièrement qualifié comme race mauvaise. Enfin, dans un dernier point, il existe l’extrême exception des Demi Infernaux.

Premièrement, les Yamilos, des chiens sauvages relâchés en liberté, désormais incontrôlable que l’on pourrait définir comme des Démons Terrestre. Les Yamilos sont le plus strict exemple du déterminisme magique. Ils ne peuvent être autre chose que des individus de ténèbres recherchant le sang, c’est strictement dans leur nature.

Les Yamilos sont une race artificielle qui n’a pas vocation à devenir humaine. Ils sont même par ailleurs des menaces à la stabilité et à l’Ordre Plannaire. Ils n’ont ainsi pas vocation à survivre dans le temps. Il s’agit ainsi comme pour les Orcs, d’une espèce à détruire et à annihiler par le danger qu’elle représente pour les Hommes, elle n’a pas de place dans l’idée d’un monde fort et souverain, cette n’étant et ne sera jamais qu’un traitre à la solde des infernaux ou de pulsion sanguine visant du plus pauvre des paysans au plus noble des souverains.

Dans le 2e cas, nous avons les Drow, eux même divisé en deux groupes.

Premièrement les Drow de Naissance et les Drow qui le sont devenus, des elfes déchus en clair. Dans tout les cas, les Drow n’ont pas vocation à perdurer. Ils ne vivent que du conflit, de l’ambition et de la guerre, ils sont donc par défaut, les parasites des sociétés humaines et de défenseurs des systèmes féodaux face au centralisme royal qui ne les arrangeraient pas.  Il est nécessaire pour la stabilité de l’Ordre de procéder à une politique très musclé les concernant, sanctionnant chacune de leurs actions négatives en considérant une réalité certaine. Les Etats sont souverains, l’Outremonde doit être considéré comme le seul Etat ethniquement Drow (un Etat racialement pure comme celui des elfes en passant. Un exemple du fait ce que je dis elfique mais pas ce que je fais.)

Ainsi, tout les Drows qu’importent leurs origines réelles seront apparentés unilatéralement à leur Etat, l’Outremonde. Le fait qu’un Drow puisse mettre en péril tout les autres par des actions insolentes devrait les forcer à l’autorégulation. De ce fait, l’annihilation des Drows ne sera plus une necessité tant qu’il se cadre uniquement à l’outremonde ou accepte les règles imposé par les Etats Humains.

Pour finir les Demi Infernaux

Il s’agit de cas très rare qui doivent être extrêmement pris au sérieux de par la potentialité destructrice de ces derniers. Ils peuvent être divisés en deux groupes. Les bestiaux et les raisonnés. Les bestiaux sont pires et plus dangereux que les Yamilos et doivent être éliminé préventivement sans autre forme de procès ou ils remettront obligatoirement en cause la stabilité de l’Etat ou la Sécurité de la Population en attaquant leurs âmes ou leur corps pour des rituels infernaux.

Les raisonnés sont… légèrement différent mais tout aussi dangereux. Ils devraient obligatoirement rester sous tutelle de l’Etat pour ne pas les laisser en roue libre ou se corrompre.

Point 7. Des Races Lumineuses

Contrairement aux mauvaises, les races lumineuses ne sont pas nocives directement pour ce monde. Mais il serait faux de croire qu’elles ont un impact positif. Elles sont celle, avec les Mages Blancs Humains, il est vrai, responsable du déplorable rapport de force magique actuel. Le Laxisme et la Tolérance prônée n’était que source d’un affaiblissement des forces qui dans les périodes de crises tel les avancées démoniaques auraient pu s’avérer utile.

Il existe dans ce cas de figure, les elfes et les Demi Anges.

Concernant les elfes, ces derniers ont un désir de jouer avec un pouvoir qu’ils n’ont pas. Si ces derniers peuvent rester souverain dans les forêts Hauts Elfes et continuer leurs politiques bien plus racistes que la présente doctrine, ils n’ont aucun droit à prétendre à un quelconque pouvoir en dehors de leur forêt. Ils peuvent à la rigueur prétendre à un droit à se présenter comme un groupe consultatif dans les Etats Faibles ou doutant sérieusement d’un point précis mais n’ont je le répète aucun droit à régir les sociétés humaines. Car c’est ce qu’elle. Pour prendre l’exemple de Targatt sans doute la plus tolérante en son genre, elle n’est en aucun cas une société multiraciale, la quasi-totalité de sa population est humaine. Ainsi, la présence du petit Peuple dans ce qui était jadis le Haut Conseil était une aberration qui n’avait pas lieu d’être, tout comme l’est aujourd’hui le pouvoir elfique à sa tête.

Le Cas des Demi Anges est plus tendancieux, ils sont d’un coté doté souvent de bonnes intentions mais sont aussi souvent des larbins à la botte des célestes, des espions et des déstabilisateurs souvent.  Comme les Demi Infernaux raisonné, ils doivent être encadrés par l’Etat qui doit s’assurer de leurs indépendance avant de prendre une décision à leur sujet.

Point 8. Des Races Prédatrices

On parle ici des races, qui par nature font de la prédation sur les Humains et les autres espèces intelligentes.

Il existe trois cas, les Vampires, les Lycans et les Demi Orc

Dans le premier cas, le compromis entre les humains et le besoin de sang est possible par des dons régulé. En revanche, il n’y a aucun laxiste tolérable concernant cette espèce se considérant supérieure. Le seul dialogue possible avec les vampires est celui de la force, la gentillesse ne fonctionne pas car ils tenteront nécessairement d’en profiter. Un pouvoir qui se montre conciliant et insensible est la solution car ils feront comprendre au vampire qu’il n’y aura aucune pitié si ces derniers enfreignent les Lois. Car un vampire qui malgré les accords, confrontent les règles est aussi dangereux et nocif qu’un Drow ou un Yamilo.

Dans les deux autres cas, le problème est simplement causé par un excès de bestialité ou de pulsion plutôt qu’une réflexion intelligente. Ces derniers doivent toutefois être bien encadrés et mis sous la gestion directe d’un Etat devant lequel ils sont responsables de leurs actions et de celle de leur possible meute.

Point 9. Des Incarnats

Faussement considéré comme une race, les Incarnats n’ont pas lieu à être considéré comme tel. Tout d’abord car ils ne possèdent pas d’âme véritable, ensuite par ce que cela en découle une absence de conscience réelle.  La considération logique vis-à-vis de ses derniers, étant de les considérer comme des artéfacts magiques très complexes capables d’agir de manière autonome selon des ordres préalablement enregistré.

Toutefois, à cause de leur potentialité magique, les Lois en rapport avec les Artéfacts dans les cités magiques devraient s’appliquer à eux. Seul l’Etat devrait à terme avoir leur monopole afin d’étudier un art à la potentialité militaire infinie.

Point 10. Du Schéma Racial Optimal

Vis-à-vis des points précédant, il existe ainsi un Ordre, Un Schéma Racial optimal permettant de maximiser la puissance de la société mondiale vis-à-vis des extraplannaires. Si ce dernier peut évoluer avec le temps en fonction des ères et des époques, il doit strictement se concentrer sur une supériorité juridique de la race démographiquement supérieure couplé à des règles spéciales dans les zones territoriales différentes comme les forets Hautes Elfes et l’Outremonde tant que cela ne contrevient pas aux intérêts supérieurs du plus grand nombre.  

Ce Schéma est donc voué dans la Doctrine Suprématiste à devenir un objectif politique final vis-à-vis du modèle de société qu’il propose. Une société du gouvernement des Hommes, par les Hommes pour les Hommes.