De la Doctrine Suprématiste, partie 1

(Note hrp : Texte prochainement à valeur universitaire, présidement porté par son université d'Origine, Rosenthal, il sera difficile de justifier une manière de le connaître sans s’intéresser de près ou de loin aux théories sociales et politique. Ce dernier se diffusant dans les cercles intellectuels et politique de la volonté de son auteure répondant du doux nom de Zahel, avec un certain opprtunisme au niveau du nom de famille troquant aisément en fonction du lieu son nom de famille en Habsbourg, Bones ou Erkelion en fonction des territoires pour optimiser l’intérêt porté.)




Préambule

Souvent définit à tort, comme une simple idéologie des races, la Doctrine du Suprématisme a ainsi été rabaissé par ses adversaires et opposants d'idée comme une simple doctrine de fer, de sang et de haine. Il n'en est pourtant à leur désespoir rien. A la croisé des chemins entre les constats des antimagie, des penseurs régulateurs et des partisans de la souveraineté des Etats face aux Mages, le Suprématisme, face à ses ennemis autoproclamés bien-pensant constate la direction et le virage nocif que prends sous les politiques laxistes, idéalistes et de court terme le monde ou tout du moins les civilisations qui l'habitent.

Vous le comprendrez donc, il existe aujourd'hui deux visions théoriques d'une réalité complexe qui se propose d'organiser le monde et les rapports s'y produisant. D'une part, l'approche progressiste, très idéalistes et qui bénéficie surtout d'un certain effet de mode. D'autre part, l'approche conservatrice et institutionnalistes qui se propose de réguler le monde et qui est aujourd'hui plus connu sous le nom de Doctrine Suprématiste.

Les Progressistes (tout du moins autoproclamé comme tel) et apparentés, prônant la mixité raciale que disons nous, des sociétés libertaires affirme que le monde doit se définir sous une approche consensuelle. Il n'existe donc dans cette approche, aucune contraire de fait, le monde étant régit par un modèle libertaire qui se rapprocherait de fait simplement d'un chaos tout juste retenu par quelques normes qui ont survécu de par la coutume.

Cette conception idéal du monde et qui est voué à le rester définit la société non pas vis à vis de ce qu'elle mais par des simples rêves ne s'appuyant sur aucune vérité politique, historique et même ethnique.

C'est à cette approche consensuelle et idéelle que souhaite s'attaquer la Doctrine Suprématiste, incombant à cette dernière et avec raison tout les échecs civilisationnelles passés et la faiblesse des sociétés intraplannaires vis à vis des peuplades extraplannaires.

Dans cette étude, il convient donc de définir ce qu'est réellement la Doctrine Suprématiste qui ne s'apparente pas comme dit précédemment à une vulgaire politique raciale de haine, mais à une véritable Doctrine Politique, Culturelle et Sociétale visant à construire un modèle de société optimale et enfin efficace.

Il conviendra donc de définir les différents points sous 4 niveaux, Les Races, les Nations, les Religions et la Magie, qui se diviseront comme tel :


Chapitre I. Des Races


Point 1. De la Nécessité du Suprématisme Humain
Point 2. De la Nécessité des Théories de Classifications des Races
Point 3. De l’Inégalité Naturelle des Races
Point 4. De la Menace de L’hybridité
Point 5. De la Faiblesse des Races Magiques
Point 6. Des Races Mauvaises
Point 7. Des Races Lumineuses
Point 8. Des Races Prédatrices
Point 9. Des Incarnats
Point 10. Du Schéma Racial Optimal


Chapitre II. Des Nations


Point 1. De la Faiblesse de l’Ordre Actuel
Point 2. De la fin nécessaire des Cités Magiques
Point 3. De la nécessité des Empires Régionaux
Point 4. De l’aberration d’un Empire Universel
Point 5. De la Nécessité d’un Ordre Fédéral Mondial
Point 6. De la Nécessité de l’Etat fort
Point 7. Le piège de la Démocratie
Point 8. De la doctrine impériale
Point 9. Des réformes Politiques Majeures
Point 10. De la Guerre


Chapitre III. Des religions


Point 1. Des Dieux
Point 2. Des Extraplannaires
Point 3. De l’Ordre Religieux Actuel
Point 4. L’universalisme nécessaire de l’Hayili
Point 5. De la Nécessité de l’Institutionnalisation de l’Hayili
Point 6. L’Hayili comme doctrine d’Etat
Point 7. De l’élimination progressive  des doctrines divergentes
Point 8. De la réforme idéologique nécessaire de cette religion imparfaite
Point 9. De l’Evolution progressive de la Doctrine Dogmatique
Point 10. Du Rêve des cultes impériaux


Chapitre IV. De la Magie


Point 1. Une intolérance Justifiée
Point 2. Du Cheval de Troie qu’est la Magie
Point 3. La Magie comme arme du chaos et de l’instabilité
Point 4. La Nécessaire réforme de la Magie
Point 5. La Place impériale de la Magie
Point 6. Les Réformes Magiques vitales
Point 7. La Place des Magies Divines et Extraplannaire
Point 8. Du traitement des Ordres et Territoire Magiques insoumis
Point 9. De la Restriction Magique
Point 10. Le Nouvel Ordre Magique