En ce moment... Libre ou faites moi sortir bande de connards

Bordel de merde, je sais plus trop comment, mais je m’étais fait prendre dans un putain de portail à la con qui m’avait emmené dans un monde encore plus merdique. JE DETESTE CES PUTAINS DE PORTAILS DE MERDE !!!

Après avoir encore une fois, vomis mes tripes sur le sol, comme quasiment à chaque fois qu’on me téléportait CONTRE ma volonté. Je remarquais que je commençais à cramer sur place ainsi qu’à étouffer sa mère.

Alors que je commençais à cramer sur place, et continuellement en plus à cause de la régénération, je retombais lourdement au sol alors que mes lames commençaient à fondre au contact de ce dernier. Je les regardais d’un air même pas surprit avant de dire.

Oh sa mère la pute, je vais la défoncer cette pétasse…

Ma vie, j’allais lui montrait ce que l’on appelle la réciprocité à cette salope à grosse poitrine de mon cul. J’espère que tu es fière de ta beauté parce que chacun va pouvoir admirer les marques de ton visage sur les murs.

Bref, j’allais lui niquer sa race à cette grosse pute. Mais en attendant, j’étais toujours en train de cramer sur le sol de cet endroit de merde. Restant immobile pendant plusieurs jours, je commençais à avoir très faim. Et c’était une raison suffisante pour bouger son cul. Donc je commençais doucement à me lever en crachant deux trois dents déformés par les flammes ainsi qu’une cote qui dépassait.

Ca faisait longtemps que j’avais pas été dans ce genre de situation. Je souriais un peu même si c’était douloureux, très douloureux. Tfaçon la douleur c’est cool, celle là est chiante parce que je peux rien faire. Je savais même pas où même diable j’étais. Tout ce que je voyais, c’était du feu, du feu et du feu.

Et ça ça me cassait les couilles, j’allais vraiment la défoncer cette pute.

Je marchais lentement en trainant du pieds alors que mes membres étaient continuellement en feu, tentant de trouver de la bouffe et la sortie. Je croisais des créatures qui vivaient à cet endroit, mais elle s’en foutait.

De toute façon elles n’avaient pas l’air ultra comestible.

Bref, je glandais en attendant quelque chose à faire.

En attendant j’échangeais des coups avec les créatures de ce monde, je m’étais même fait deux trois copains à la fin. Visiblement eux même se faisait un peu chier, heureusement ils avaient de la bouffe même si elle était dégueu fallait le dire. Fin la cuisine d’un plan cramé pouvait être cramée non ?