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C'était le bon temps (ft Gwydion) (ABANDONNÉ)

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Kubilay Bones

Feuille de personnage
Puissance Personnelle Brute (potentiel):
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Kubilay Bones
Kubilay Bones
Directrice Adjointe - Professeur de Contrôle - Consort du Patriarche Bones - Mage 2e ordre
Jeu 18 Juil - 9:20
Age du personnage : 25
Race : Humaine
Pouvoirs : Mana/Causalité/Pacifisme
Puissance moyenne : 165
Il y a 3 ans…

Au nord de la mer adriatique, dans la ville d’Oxenven de la Théocratie Etheriste, une des villes situées les plus à l’ouest du territoire, un groupe de personne attendait dans l’arrivée de mercenaire qui avait accepté une grande mission de traque dans les épaisses forets comme on en trouvait alors beaucoup en Europe.

La mission était théoriquement simple, traquer et tuer trois membres du Cercle Terrestre qui était aujourd’hui bien trop gênant. Les relations de la Théocratie avec ce groupuscule de mage écologiste et pro nature avait toujours été très ambigu. Un jour, ils s’entraidaient que les intérêts étaient communs et le jour d’après ils s’entretuaient par divergence.

Sauf quand cela allait trop loin, la Hongrie ne souhaitait pas y aller directement elle-même pour ne pas donner trop d’importance à ces terroristes et engageait donc des mages qui étaient toutefois accompagnée et supervisé par un supérieur du pays, après tout il fallait aider pour être efficace mais c’était également pour surveiller les actions des étrangers qui pourraient causer d’éventuel trouble à l’ordre public. Celui qui s’en s’occupait ou celle pour être plus précise, n’était autre que l’Apôtre de la Charité, Altair, qui littéralement était une représentante du Dieu Unique Ether dans le pays. Elle était aujourd’hui accompagnée elle-même du Prophète de la Pureté, les Prophètes étant une version moins avancée des Apôtres, Zahel.

Finalement, le chef des mercenaires était venu à eux pour discuter et après une légère discussion entre Altair et ce premier, les trois partirent en direction du camp des mercenaires. Rapidement, l’Apôtre de la Charité les guida dans les forêts de la traque avant de les laisser faire. Les deux Hongroises avaient bien vu qu’ils avaient une curieuse manière de traiter certains d’entre eux qui semblaient avoir accumulé un certain nombre de coups mais ce n’étaient pas leurs problèmes tant qu’il n’était pas Etheriste.

Finalement, la nuit tomba et le groupe posa une première fois le camp. Chose étrange, la nourriture était excellemment bonne mais pas assez pour contrairement à d’autres devenir fou ou accro à cela. En effet, les Hongrois ne trompaient pas leurs réputations au niveau de la rigueur et le Haut Clergé et les soldats étaient souvent pire que les spartiates à ce niveau. Alors qu’Altair discutait amicalement avec les hommes de la nourriture, Zahel, elle restait silencieuse.

N’était ce pas dangereux de maltraiter un cuisinier ? Celui qui peut facilement tuer toute une armée s’il le voulait ? Elle posa un instant ses yeux sur le petit homme, un regard froid et concentré sur le collier d’esclave. Ces étrangetés qui n’existaient pas dans le pays.

Finalement, alors que la soirée avançait, elle se décida à engager une petite conversation. Alors qu’elle posait elle-même ses ustensiles à l’endroit réservée, elle se tourna vers l’halfelin les bras croisés.

Il est étonnant de voir qu’avec ces connaissances en cuisine vous ayez ce collier pour de simple mercenaire. Et bien plus que justement vous n’avez pas profité de la chose pour vous en sortir.

Le ton était neutre comme si cela était une chose anodine plutôt qu’une question d’intérêt.
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Anonymous
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Lun 22 Juil - 13:38
Dans le passéééé !!!

Travers le monde avec les mercenaires auraient pu-être une vie agréable, si jamais je n'avais pas été aussi maltraité. Forcé par un collier d'esclave à répondre à leur désir, à me taire tant qu'on ne me parle pas et encore... Cela ne s'accordait qu'au mercenaire. J'avais pour ordre de ne pas parler aux étrangers sans l'accord au préalable de Loneranger, le groupe qui m'encadrait.

En cette nouvelle journée, nous avions un gros clients qui nous attendaient, enfin nous... Le groupe qui m'avait kidnapper. Je n'avais pas eu d'information, juste que je devrais faire attention à mes paroles, qu'ils s'agissaient de religieux et que je ne devais surtout pas les énerver... Génial ! Donc tant qu'on ne m'adresse pas la parole, je me la ferme et j'agis poliment, humblement, etc... en ment.

Ils tentèrent d'ailleurs de mieux se faire voir, car je ne reçus presque aucun coup en face d'eux et incroyable, ils avaient rangés le fouet. Cela me soulagea pas mal, j'aurais presque pu leur demander de rester juste pour ça.

Une traque, pour qui ? Quoi ? Je n'en sais rien, je restais comme à mon habitude, à l'arrière, portant les affaires et observant sans un mot. Je commençais à devenir endurant à force de subir coup et porter les choses, je devais toutefois faire attention à mon dos. Ce serait la fin si jamais j'avais un problème, je ne risquais pas juste d'être abandonner, mais lancer comme repas pour une de nos quêtes contre des monstres... Peu plaisant à imaginer.

Je m'inclinais à chaque passage de nos clients, pas humble mais forcer par le collier. Puis le soir nous nous posèrent enfin... Je soupirais un peu de soulagement, quoi que je commençais à me mettre au travail, préparant le repas.

Après un bon repas, j'avais le droit à ma partie malgré tout, je rangeais, nettoyais quand une des femmes vint me voir. Aussitôt qu'elle me parla, je mis un genou à terre, tête baiser, tourner vers elle. Fichu collier...

Elle me pose alors des questions, tandis que dans ma position forcé, je ne vois que ses bottes, tête vers le bas en position de soumission. Apparemment elle n'y connait rien et... Je ne peux pas dire du mal d'eux, nouvelle propriétés de ce magnifique collier... Celui-ci m'électrocutant lorsqu'il sent de « mauvaise onde ». Je parle donc à contre-coeur. 

-Je vous remercie de votre attention envers moi, mais ces louables Loneranger mon sauver, moi, une petite crapule. Je leur suis redevable à vie et je ne ferais rien contre eux. J'ai tout appris pour les aider dans leur mission, je n'ai aucune raison de me rebeller contre ses puissants hommes.

Tout cela sonnait faux à mes oreilles et je ne tentais pas d'être convaincant, mais qu'allait-elle en comprendre ? Qu'en dirait-elle ? Comment réagirait-elle ? Bref, je n'espérais pas grand chose, juste ne pas recevoir plus de coup, d'un peu de pitié ? De compassion ?
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Kubilay Bones

Feuille de personnage
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Kubilay Bones
Kubilay Bones
Directrice Adjointe - Professeur de Contrôle - Consort du Patriarche Bones - Mage 2e ordre
Jeu 25 Juil - 23:31
Age du personnage : 25
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Zahel était naturellement une personne assez curieuse, si cela ne concernait pas l’aspect technique des choses, elle appréciait de renforcer petit à petit son coté social et de compréhension des esprits des autres. Elle avait été intrigué par le pourquoi du comment cet halfelin, une espèce assez rare était devenu le simple cuisinier d’une petite bande de mercenaire sans très grande valeur. Ce n’était pas du style des gens de ce niveau que de trainer avec des brutes et des personnes aussi sales et sans gène.

La position dans laquelle il s’était mis dès les premiers mots de la jeune fille était elle aussi fort intrigante. Ce n’était pas une chose naturelle et sans doute très confortable. Le genou à terre… La tête vers le sol… Ca ressemblait franchement à une position de soumission envers les autres. Etait il timide ou bien y avait il autre chose ?

Alors qu’elle le fixait silencieusement les bras croisés et le regard parfaitement neutre, il commença à répondre.

-Je vous remercie de votre attention envers moi, mais ces louables Loneranger mon sauver, moi, une petite crapule. Je leur suis redevable à vie et je ne ferais rien contre eux. J'ai tout appris pour les aider dans leur mission, je n'ai aucune raison de me rebeller contre ses puissants hommes.

Peu importe comment on le tournait, rien qu’à la tonalité du discours, tout cela semblait faux. Il était facile de pouvoir discerner les vérités des mensonges rien qu’en prenant attention à la tonalité et aux expressions corporelles des individus, une personne comme Zahel avait été formé à ce genre de chose.

Alors qu’elle observait le collier duquel elle pouvait voir les émanations magiques grâce à l’œil de l’hécatonchire, elle commençait à comprendre la situation. C’était un de ces fameux colliers qui prive le porteur de sa liberté ? Intéressant. L’esclavage était interdit en Hongrie et cela était un traitement réservé aux prisonniers, aux hérétiques et aux apostats. Fondamentalement, sa nature bienveillante aurait dû lui dire de l’aider immédiatement à se sortir de ce mauvais pas d’une manière directe ou détournée sans que les mercenaires ne puissent remonter jusqu’à elle, pourtant elle ne ferait rien actuellement. Même si c’était une personne dans le bien, son bien visait surtout les personnes que l’Eglise jugeait comme bonne. Tout le reste était moins que des hommes et ne méritait pas d’être aidé à moins qu’une rédemption rapide soit possible. C’était valable pour cet halfelin qui déjà était un non humain mais aussi pour chacun des mercenaires présent. Derrière leurs sourires, chacun des Hongrois ne les considéraient même pas comme des êtres humains. Mais comme une sous espèce humanoide qui n’avait aucune importance.

Sauver cet Halfelin avait la même importance que de libérer un chien de son maître du coté de Zahel. Il avait bien le droit de le traiter comme il voulait, c’était sa possession.

Pour autant, elle comptait creuser un peu plus la chose, plus par intérêt que par volonté de l’aider. Il n’y avait donc ni pitié, ni compassion de sa part. Ceci était inutile face à un animal semi développé.

Je vois. C’est compréhensible.

Elle posa un genou à terre pour se mettre également à son niveau avait de remonter son menton de 3 doigts pour relever sa tête et le regarder dans les yeux avec son regard vairon.


C’est vrai qu’il est logique de ne pas vouloir se rebeller. Surtout lorsque l’on porte sur tout son corps des traces de lésions, des cicatrices et même des traces de fractures ainsi que quelques anciennes ruptures musculaires.

L’œil d’hécatonchire lui avait permit de pouvoir rapidement analyser l’état de ce non humain depuis le départ. Elle avait juste voulu savoir sa réponse première d’aller directement au but.
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Anonymous
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Mar 6 Aoû - 11:37
Se soumettre aux autres de force... Franchement, j’aurais aimé me suicider par moment, c’était humiliant et encore heureux qu’ils voulaient bien présenter, ils auraient pu me faire faire des choses honteuses !

Mis à part les coups reçus et l’ingratitude, j’étais... « bien traité » dans la mesure du possible. Même si j’aurais aimé mieux, je n’étais pas écouté et on me remballait sans hésitation. Petit à petit, j’avais fini par abandonner l’espoir que cela change, au mieux, ils devaient trouver quelqu’un d’autre qui les feraient bouger. Mais ils étaient soudés et ne prenaient personne. Donc... Il faudrait qu’un jour ou l’autre, ils meurent pour me libérer de cette contrainte.

Bref, à ce moment là je faisais face à cette étrangère, Zahel Habsbourg si j’avais bien retenu. Cette fille ne sila pas à mes propos, bien que j’eus une dérangeante sensation d’être épié mais... Dure à expliquer comment. Sans grande réaction de première abord, elle accepta mes propos, cloturant la... Ah non, elle mit un genou à terre, je m’apprêtais alors à toucher le sol de mon front, cependant, comme elle m’indiqua en attrapant mon menton de relever le visage, je du y répondre.

Je peu alors voir son visage de plus près et ses yeux vairons me font frissonner avant que je ne me fige à ses propos. Je gardais des vêtements long pour cacher mes blessures mais elle... elle les avaient vue. Je déglutis, ne sachant que répondre. Ne pouvant dire du mal d’eux, je me remis à mentir. Le ton qui aurait pourtant dû être de la panique face à cette tentative de mensonge, était grognant, si on pouvait me forcer à parler, presque à sourire, ma voix m'appartenait encore.

-Ce n’est pas cela, c’est moi qui ne suis pas doué, je me coupe tout seul en faisant à manger, je tombe, je me prends des pièges, je suis bousculé en ville, je... je me bats mal. Tout est de ma faute !

Merde, m’insulter comme ça... Je hais ce collier ! Encore heureux qu’il ne m’oblige pas à me frapper pour montrer cela. J’arrive finalement à me relever comme elle m’en a donner « indirectement » l’autorisation et je souris, volontairement pour changer de sujet au lieu de me faire encore humilier malgré moi.

-Est-ce que je peux vous faire à manger ? Un désert que vous aimez particulièrement ? Demandez moi tout, mon art n’a quasiment pas de limite. Lui assurais-je, étonnamment mon regard brillait et ma posture était fier, sincère même.
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Kubilay Bones

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Sam 10 Aoû - 22:40
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La jeune fille fixait le petit être les yeux dans les yeux. Il frissonnait, elle avait donc raison. De toute manière ce n’est pas comme si on pouvait lui cacher quelque chose bien longtemps. Zahel était de ces personnes avec qui les hommes avaient du mal à mentir. Il était difficile de la tromper, il semblait ce regard pénétrait même les âmes, ce qui était littéralement vrai. Bien qu’elle ne pouvait pas savoir si ce que l’homme disait ou non était vrai, elle était de ceux qui ne se fiaient que très peu aux paroles et eux réponses. Aussi développé soient elles. Le reste trahissait vérité et mensonge. Le ton, la syntaxe, les infimes réactions du visage et du corps.

Le visage révélait bien plus d’information en lui-même par exemple. L’individu continuait alors à trouver des excuses toutes plus incohérentes les unes que les autres.

-Ce n’est pas cela, c’est moi qui ne suis pas doué, je me coupe tout seul en faisant à manger, je tombe, je me prends des pièges, je suis bousculé en ville, je... je me bats mal. Tout est de ma faute !

Oui bien évidemment. Il n’y avait à la vue aucune trace d’une blessure ayant eu logiquement pu être causé par de la cuisine. Il inventait des choses. Certes, il aurait pu dire être bousculé en ville, se battre. Mais vu ce qu’il lui montrait en matière de couardise et de courage. Elle doutait qu’il ose ne serait ce que s’aventurer seul dans les coins où ce genre de chose pouvait arriver.

Zahel avait donc une mine absolument pas convaincu quand l’halfelin changea de sujet en se relevant.

-Est-ce que je peux vous faire à manger ? Un désert que vous aimez particulièrement ? Demandez moi tout, mon art n’a quasiment pas de limite.

Au vu de son regard, il semblait assez fier de son… art culinaire. Il est vrai qu’il était intéressant mais une personne aussi peu portée sur le gout et les plaisirs de la chair que Zahel ne pouvait vraiment le mesurer. C’était à peine si elle était intéressée.

Un dessert ?

Elle ne semblait pas comprendre ce que c’était. Il est vrai qu’elle parlait actuellement dans la langue des mercenaires et non dans la sienne. Ainsi ce mot ne devait pas exister dans sa langue natale. Après avoir réfléchi quelques secondes, elle retrouva une approximative équivalence à ce terme pour le comprendre. La Théocratie n’était pas trop portée sur les cuisines et les desserts. Tout ceci était associé au péché de la gourmandise. La cuisine du pays de Zahel était donc très utilitariste et non portée sur ce genre d’artifice. C’était d’ailleurs une des raisons de pourquoi elle n’était pas portée sur toutes ces choses qu’étaient les sucreries et le mets, préférant l’austère repas.

Oh… Je vois ce que c’est… Je ne suis pas porté sur les desserts et je ne mange qu’une fois par jours conformément à nos traditions. En l’occurrence c’est déjà le cas…

Elle regarda à nouveau le regard du petit non humain.

Enfin si cela vous fait plaisir. Faites ce que vous voulez. Je ne connais pas ce genre de chose.
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Anonymous
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Jeu 15 Aoû - 9:43
Mensonge sur mensonge... Qui plus est incohérence, cependant... Le collier n’obligeait aucune logique, j’aurais pu raconter une connerie monumentale, tant que je n’insultais pas mon groupe, c’était acceptable. En fait... Je devrais carrément m’en amuser pour devenir un gros michto et n’en faire qu’a ma tête pour bien rigoler.

Évidemment et comme je m’y attendais suite à cela, Zahel n’eut pas l’air captivé par mes absurdités, toutefois mon changement de sujet n’eut pas la réponse prévus. Je m’attendais à ce qu’elle saute de joie alors que là... Elle en aurait presque haussé les épaules, pas du tout intéresser, voir ne comprenait même pas ce que je lui proposais.

Elle mit quelque seconde à réagir et me donna une nouvelle qui me laissa bouche-bée. Elle n’en mangeait que selon ses traditions ? J’étais pris au dépourvus, cependant, prise de pitié à mon égard ? Elle accepta à ce que je lui en fasse un.

-Si cela ne va pas avec vos valeurs, je ne vais pas forcer. Après je peux vous faire un peu tout ce que vous voulez. Y-a-t-il un plat que vous souhaiteriez ? Salade, viande, gâteau, biscuit. Demandez moi ce que vous voulez et dîtes moi vos goûts, pour que je vous offre un plat de votre choix qui fera pétiller vos papilles. Souriais-je sûr de moi, mains sur les hanches.

Que pouvais bien être la vie de cette femme au fort caractère, à l’écoute et pourtant si éloigné de moi. Je n’avais pas suivis qui elle était, ni ce qu’elle faisait et ne m’y intéressait guère au départ mais bon... Je ne sais pas combien de temps elle nous suivra pour leur requête, alors bon...
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Kubilay Bones

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Sam 17 Aoû - 5:26
Age du personnage : 25
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Elle avait pendant un instant mal compris ce que voulait ce fameux cuisinier. C’était à la fois causé par une méconnaissance totale du sujet ainsi que par la barrière de la langue. Si les compétences en langues étrangères de la jeune Habsbourg n’étaient plus à trouver traduire des mots qui n’existaient pas sa propre langue était assez complexe. Elle avait après réflexion mieux compris mais ce jour de chose pouvait se reproduire. Elle n’aimait pas que l’on puisse voir ses lacunes en quelques choses, une question d’honneur.

Sans doute l’idéal de perfection à l’Etheriste qui jouait dans cette volonté. Lui semblait assez étonné de la réaction de la sainte. Etait ce si important ? Elle devait louper quelque chose… Les différences entre les cultures étaient fascinantes, elle était assez curieuse sur le sujet lorsque cela ne concernait pas la religion ou les Istumiens, les pires ennemis du monde Etheriste, dégommé à vu et lynché par tout Etheriste digne de ce nom dès qu’il le pouvait.

-Si cela ne va pas avec vos valeurs, je ne vais pas forcer. Après je peux vous faire un peu tout ce que vous voulez. Y-a-t-il un plat que vous souhaiteriez ? Salade, viande, gâteau, biscuit. Demandez moi ce que vous voulez et dîtes moi vos goûts, pour que je vous offre un plat de votre choix qui fera pétiller vos papilles.

Ce n’est pas une question de valeur. Disons de l’habitude et de la culture. Mon peuple est assez peu porté sur toutes les choses de la chair.

De toute façon c’était assez bloqué par le Saint Siège pour ne pouvoir vraiment exister. Les alcools et les mets n’avaient donc jamais été des choses courantes et qui était bien vue de l’élite sociale. Autant pour les riches que pour les pauvres. Les plus riches respectaient les dogmes de l’état à la lettre et les plus pauvres imitaient pour se donner une certaine allure. Un modèle classique d’imitation de la classe supérieure.

L’utilitarisme est de mise chez nous pour lutter contre le vice de la gourmandise. Comme dit ce dicton de chez nous. On ne vit pas pour manger. On mange pour vivre. Un plat est digne pour sa valeur nutritive avant son goût à condition que ce ne soit pas exécrable.

Après cela ne veut pas dire que nous sommes totalement austère nous sommes simplement porté sur d’autres choses moins portées sur le vice et le péché. La musique, la sculpture, la peinture, les lettres, les arts intellectuels, la danse… la botanique ici comme avec les jardins de fleurs… Il y a beaucoup de choses, mais ce n’est pas le sujet…

Vous me rendez curieuse de l’attrait que vous portez pour toutes ces choses, alors je vous laisse le loisir de choisir ce qui vous semble le mieux. Vous connaissez les choses bien mieux que moi. Evitez juste le trop sucré, je ne suis pas trop fan du sucre.

En plus c’est dangereux pour la dentition.
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Mar 27 Aoû - 22:47
Suite à un renouveau d'information, je n'étais plus sur de ce que je devais faire. J'avais changé de discussion pour ne pas avoir à raconté toujours plus de connerie et pourtant en vue de ce qui était dit, je commençais à douter de mon choix. Sa culture semblait plutôt complexe et je faillis en soupirer de dépit.

Toutefois j'essayais de la comprendre, « toutes les choses de la chair » ? Elle aime pas la viande ? Je fronçais les sourcils, c'était dommage, mais je ne pouvais pas y dire quoi que ce soit, chacun sa culture. Je me contenta de hocher la tête, alors qu'elle continuait à s'exprimer. Leur modèle était l'utilitarisme, autant dire qu'ils mangeaient peu de chose qu'ils aimaient. C'était comme dis, manger pour « sur »vivre dirais-je même.

Elle rajouta qu'ils étaient ouverts, mais pas trop, surtout le vice et le péché... De quoi elle parlait ? Y avait un soucis avec les arts et la botanique ? J'haussais un sourcil sans arriver à suivre ses infos. Enfin elle disait qu'elle me laissait agir, mais sans sucre ! … je restais figé, je pouvais faire sans, mais c'était mon domaine, je voulais lui faire plaisir et... Bon sang, comme en plus elle avait déjà manger avant, le reste me semblait soudain bien fade.

Cette histoire me mettait dans une situation un peu complexe, de mon point de vue du moins, je me grattait la tête, réfléchissant à sa demande. Je ne pouvais plus trop faire ce que je voulais, mon pouvoir permettait de dépasser d'une certaine manière la limite de nos consommations et là pour le coup je n'y avais pas le droit. Après un long soupire, je décide d'aller droit au but, advienne que pourra.

-J'avais prévus d'utiliser mon pouvoir pour vous faire un bon petit plat cependant il s'agit de la manipulation du sucre, du coup cela ne convient pas avec votre demande. Comme je prévoyais un désert et que vous avez déjà manger, je ne suis pas sûr qu'un plat principal vous tente une seconde fois. Je ne pense pas qu'on puisse alors utilisez les rations pour cela. Ce serait un repas plus que nutritif pour une fin de soirée.
Je me grattais la nuque pensant à autre chose. Voulez-vous qu'a la place je vous fasse un massage ? Lui proposais-je comme une sorte de compensation à ma première proposition.
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Kubilay Bones

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Ven 30 Aoû - 1:33
Age du personnage : 25
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Zahel était de ceux qui aimaient profondément leur pays. Peut être parfois un peu trop. Il arrivait souvent qu’elle se lance seul des conversations sans s’en rendre compte. C’est d’ailleurs parce qu’elle l’avait remarqué qu’elle avait finalement minimisé sa petite présentation introductive de la culture Etheriste.

Elle avait plus ou moins accepté sa proposition de repas. Pas qu’elle y était extrêmement motivé, voir Zahel motivé par une chose matériel reviendrait du miracle encore aujourd’hui mais plus par dépit de lui faire un peu plaisir. Il avait l’air tellement fier de lui qu’elle ne voyait pas trop comment lui refuser de faire part d’un des talents qu’il possédait même si honnêtement elle trouvait ce dernier parfaitement inutile d’un point vue utilitariste.

-J'avais prévus d'utiliser mon pouvoir pour vous faire un bon petit plat cependant il s'agit de la manipulation du sucre, du coup cela ne convient pas avec votre demande. Comme je prévoyais un désert et que vous avez déjà manger, je ne suis pas sûr qu'un plat principal vous tente une seconde fois. Je ne pense pas qu'on puisse alors utilisez les rations pour cela. Ce serait un repas plus que nutritif pour une fin de soirée.


Oh… Je vois…

Il manipulait le sucre ? Ah très bien, sa réponse n’avait pas du lui plaire alors. Tandis qu’elle réfléchissait, le petit non humain rajouta une proposition de plus.

Voulez-vous qu'a la place je vous fasse un massage ?

Devant cette phrase tout à fait exceptionnelle à ses yeux, la Sainte haussa un sourcil. Qu’est ce qu’il était en train de dire ce malotru. Un… massage ? Déjà que les Etheristes n’avaient pas la culture du contact alors en plus un massage entre deux sexes différents… Qu’était ce donc que cette hérésie de luxure ?

Pour le coup Zahel regarde le non humain de travers soudainement, avant de soupirer.

Ce genre de chose ça ne sait pas chez nous…

Restez concentrer sur la mission première et pas faire de problème.

Revenons plutôt sur les plats, ce sera mieux pour tout le monde.

Elle semblait alors plus distante que tout à l’heure.

Faites donc quelque chose avec votre sucre mais n’en mettez pas trop alors.
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Anonymous
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Ven 6 Sep - 13:04
Cette histoire, tournait tellement en rond que cela commençait vraiment à m'agacer. Ils ont l'air d'avoir une vie de merde ces... ces Etheristes c'est ça ? Il aime pas bouffer, chanter, danser, en fait... Ils aiment faire quoi ? Juste vivre et ce contenter du minimum ? Tuer ceux qui font le contraire ?

Je commençais à perdre toute empathie pour cette femme là et j'avais bien envie de couper court à cette discussion. Mais comment le faire poliment et discrètement ? Ma proposition ne sembla pas du tout lui plaire. Elle me regarda même de travers comme si j'avais dis une connerie, le collier m'obligeant à sourire, je ne pu lui faire une grimace et de lui dire d'aller rentrer s'enfermer dans sa grotte.

Zahel préféra alors revenir sur les plats et accepta un peu de sucre, « je vais lui en faire bouffer du sucre ! Et lui pourire les dents ! » grognais-je intérieurement. Me calmant en me disant que je ne ferais que confirmer ses travers. Je souriais un peu plus sincère, mais pas trop et m'inclina.

-Très bien. Posez-vous et je viendrais une fois prêt.

Ceci dit, je partis de mon côté, direction la cuisine militaire et commença à faire chauffer un plat, couper des pommes et faire du sucre doux, léger, avec une fine couche de caramel. J'étais en train de lui faire une tarte tatin, normalement il faut un peu de temps pour préparer, chauffer le plat, mais usant de mon pouvoir, j'eus terminé en une vingtaine de minute et fut parfois déranger par mes « maîtres » m'arrêtant pour les saluer, ils évitèrent de me taper, me grondant juste avant de s’enquérir de pourquoi je faisais cela.

Ne voulant pas se mettre à dos la femme, ils acceptèrent me demandant toutefois de leur en préparer. Ayant déjà prévus le coup, j'avais fait une grande tarte tatin et leur mit la table, avant d'aller porter, le dessert, chaud et à la douce odeur à l'Etherienne. M'étant un genou à terre, je lui tendis l'assiette avec une cuillère.

-Voilà votre dessert, une tarte tatin. J'espère que vous l'apprécierez.
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