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La famille. (PV) (ABANDONNÉ)

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Yearius Clipeum

Feuille de personnage
Puissance Personnelle Brute (potentiel):
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Type d'énergie canalisée: Positives (profane + divine)
Yearius Clipeum
Yearius Clipeum
Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Mer 17 Juil - 21:31
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
Puissance moyenne : 125
Yearius avait reprit ses cours depuis quelque temps et le moins que l'on pouvait dire, c'était que les choses allaient pour le mieux. Enfin... Pour la plupart bien sûr. Il n'était pas particulièrement heureux du mariage entre sa mère et ce sorcier, encore moins de savoir que sa mère portait un enfant qui allait probablement le remplacer dans son coeur. Malgré tous ses efforts, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de jalousie, mais au final il savait sa mère heureuse. Alors il ne pouvait que lui sourire gentiment et se réjouir pour elle. D'un autre coté, sa relation avec Allayne avait pris son envol et il ne pouvait nier être heureux avec la jeune femme. Très heureux. Elle comblait tous les aspects de sa vie, aussi bien physique que mental. Il en était même à se demander s'il pourrait se passer d'elle dans le futur. Finalement, le couronnement approchait et l'ordre des paladins continuait de grandir et de reprendre du poil de la bête.

Une autre bonne nouvelle. Maintenant que sa mère habitait avec le mage noir, son ancienne chambre était sienne. Ce qui était une très bonne nouvelle. Il dormait très souvent dans cette chambre, mais avoir son intimité était quelques choses de nouveau pour lui. C'était une chose particulièrement plaisante pour lui. Il avait d'ailleurs pris l'ancien bureau de sa mère pour travailler sur l'ordre des paladins de Targatt. Il était seul dans cette pièce. Enfin... Presque seul.

Puisqu'il avait aussi une soeur adoptive. Une jeune femme de 18 ans et n'aillant pas grand-chose à voir avec lui ou avec sa mère. Enfin... Ce n'était pas très grave. Il avait toujours été proche d'elle au cours de sa vie. Peut-être pas autant que de vrai frère et soeur, mais il l'avait protégé durant leurs études. C'était déjà bien. Surtout au vu de l'énergie négative qu'elle dégageait. En cette journée, il était tranquillement assis au bureau de l'appartement, planchant sur les nouvelles règles de l'ordre lorsqu'il entendit la porte s'ouvrir. Il leva la tête, souriant légèrement en la voyant entrer.

Salut Aki. Je croyais que tu avais cours à cette heure. Que fais-tu ici?
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Sam 20 Juil - 18:51
À chaque page qu'elle tourne, j'éprouve l'amour que je ressentais jadis. L'aube laissant place à la nuit. Comme si elle marchait à travers une toile sombre à la merci d'une araignée affamée. Mince et frêle, à savoir si cette toile pouvait soutenir leurs poids. Des ses huit pattes, l'arachnide s'approche furtivement. C'est ainsi que je me dois de la protéger. La voyant combattre ses peurs, je me dis que ce n'est pas une option, mais une obligation. Dès lors que je vois que c'est comme une sorte s'obsession pour elle de découvrir ses peurs. Ainsi que pour l'éternité, je vois bien qu'elle n'a pas peur des araignées. En fait, je dirais que c'est un peu comme un amour maladif envers l'ésotérisme. Je ne dirais pas que c'est parfait ainsi...
... je dirais que cela reste intriguant, malgré que... je ne sais pas. Elle me rappelle quelqu'un, une larve.

Ce jour-là, Akiza s'était motivée afin de briser ce cercle vicieux et infernal qu'était la routine. Cela impliquait aussi ses retards.  Malheureusement, cette décision ne dura pas longtemps et loin de là. Cette même journée semblait être la pire de toute sa vie. En plus d'être fatiguée, le temps ne semblait pas vouloir avancer. Sa fatigue la rendait non-seulement irritable, mais aussi réduisait ses capacité de cérébrales de dix pourcents. Un peu ralentie par les symptômes du manque de sommeil, Akiza parvenait à assimiler les connaissances, malgré le fait qu'elle planait aussi dans son petit monde personnel. Parfois je me disais justement : Écoutes! sans cela tu peux dire adieu à ton évolution. Maintenant je comprennais pourquoi les autres la décrivaient comme étant une tête forte. Son obstination jouait le rôle d'un véritable mur de fer où elle devait impérativement surmonter! Quand l'information ne voulait pas entrer, elle ne rentrait pas. Akiza ne voyait aucune utilité à ces sottises. La majeur partie de cela, elle le savait, et ce, seulement afin de maîtriser l'immense puissance qui l'habite. 《C'est complètement débile, se dit-elle 》  
Tu devrais écouter, toi qui aimes tant apprendre. Tu dis que le savoir est le pouvoir. J'en ai aussi cette conviction.
《Le savoir est le pouvoir, c'est un fait. Mais il y a des connaissances qui n'ont aucune sense aussi, se disait-elle encore une fois.》
Si par amour pour le divin, pouvait-elle apprendre tout cela ? Bien sûr, mais son "entraînement" qu'elle exerçait afin de maîtriser son pouvoir était d'un niveau beaucoup plus haut.

Un peu plus tard, alors qu'Akiza semblait complètement absorbé par les enseignements de l'enseignante. Un tour malsain insoupçonné avait choisi la jeune élève comme cible. Un grand jet d'eau l'arrosa, comme si un tonneau avait vidé tout son contenu sur sa tête. Complètement ébahie par cette scène, Akiza ne savait pas trop comment réagir par cet événement. Pendant un moment, elle restait là en train d'analyser la question afin d'agir avec un comportement approprié. En fait, ce n'était pas vraiment cela qui se passait. Le comportement approprié ne s'était pas présenté au rendez-vous lorsque l'eau qui s'écoulait le long de son corps comment à s'évaporer soudainement. Son regard inspirait tout à coup l'envie de meurtre. Ses poings se serrait au point que ses ongles s'allongeaient étrangement, en plusde devenir pointu. La pointe de ses ongles perçaient chaire où un liquide de couleur écarlate s'échappait. Mais avant de vouloir faire du mal à quelqu'un, la jeune étudiante parti subitement. Ce qui était logique afin d'éviter les problèmes. Akiza ne voulait pas faire de mal. Elle ne le souhaitait pas non plus. Elle ne comprenait seulement pas pourquoi elle était toujours la cible de ces gamineries, surtout qu'elle faisait parti du groupe des intellectuels.

Une fois dans sa chambre, celle qu'elle partageait avec son frère adoptif, celui-ci l'accueilla du mieux qu'il pouvait. Dans cet état, Akiza était rarement du genre à faire la conversation. À cet état, elle essayait plus de se contenir pour ne blesser personne, donc il fallait un concentration horme norme. Malgré que son tempérament n'était pas violent, en ce moment, la jeune élève voulait seulement sortir sa colère, mais aussi cette humiliation.
- D'après toi, ai-je l'air de vouloir y retourner ? Dit-elle en se montrant complètement trempée. Si j'y retourne, je crois en incinérer quelques-uns!

-De plus,   ajouta-t-elle alors qu'elle commençait à se déshabiller de à lui dans le but de porter des vêtements sec, ce cour ne va pas m'aider à maîtriser ma magie. Je suis la première de la classe et le sait très bien. Mère m'aide beaucoup plus lors de ses cours privés.
Une fois qu'elle avait fini de changer ses vêtements. Akiza déposa ses vêtements près d'une fenêtre afin qu'ils puissent sécher un peu avant de les laver. Les vêtements, en fait, plutôt son vêtement qu'elle portait en ce moment n'était pas ignifuges et très léger qu'elle avait un peu de mal à se déplacer aisément. En fait, l'étudiante avait libre arbite de ses propres mouvements. Ce qu'elle portait ce n'était qu'un long chandail qui servait seulement de pyjama pour dormir. Sa garde-robe manquait terriblement de variété...
Grace à la liberté de ses mouvements, en plus d'être totalment silencieux, la jeune jouvencelle appuya ses bras sur les épaules de son grand frère adoptif alors qu'elle était légèrement penchée vers lui.
- Dis, que fais-tu ? Finit-elle avec un petit sourire amical qui démontrait sa curiosité.
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Yearius Clipeum

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Yearius Clipeum
Yearius Clipeum
Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Dim 21 Juil - 2:59
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
Puissance moyenne : 125
Akiza. Yearius n'avait que huit ans lorsqu'elle était entrée dans sa vie, que sa mère était revenue avec cette petite file accrocher au bras. À l'époque, il avait été plutôt heureux d'avoir une petite soeur, mais bien vite il avait compris qu'ils n'appartenaient pas au même monde. Qui plus est, l'énergie démoniaque qu'elle dégageait en permanence n'était pas pour enragé l'avis du paladin sur sa soeur adoptive. Seulement, Saeline lui avait interdit de lui faire du mal. Sa mère était une femme sage et avisée, donc elle avait probablement une idée derrière la tête et une solution pour éviter que Akiza ne devienne un danger pour les autres ou encore, pour elle même. Cependant, la réalité restait la même. Si jamais le démon qui l'habitait devait prendre une trop grande place, Yearius n'aurait d'autre choix que de l’abattre. Cette idée lui brisait le coeur, mais il valait mieux cela que de voir un nouveau démon errer en Targatt. La vie de milliers d’innocents passait avant sa famille, hélas.

Depuis qu'il avait pris la tête des paladins, il n'avait plus vraiment le temps de s'occuper de sa chère petite soeur comme il le faisait régulièrement par le passé. D'ailleurs, il profitait du moment ou elle était en classe pour travailler paisiblement sur la structuration de l'ordre ainsi que sur les règles à garder, changer ou modifier. Ainsi que sur les nouvelles règles de l'ordre. Pendant ce temps, Charle avait réussi à négocier l’acquisition d'un bâtiment dans le quartier Vodrel. Les modifications étaient en cours pour la transformer en caserne pour l'ordre. De plus, les mages de l'ordre des paladins qui savait manipuler la pierre et les éléments étaient dans la forêt, dans le but de trouver un endroit hors de Targatt pour construire la forteresse de l'ordre. Ceux qui n'avaient rien à faire étaient dans les rues pour recruter de nouveau paladin. On avait encore une certaine somme d'or pour relancer l'ordre, notamment grâce aux subventions donner par certaines familles nobles.

Alors que le demi-ange planchait sur ce sujet, sa petite soeur était entrée dans la pièce visiblement énervée. En lui faisant comprendre qu'elle n'avait pas l'intention de retourner en classe pour l'instant, elle avait retiré avec difficulté sa robe en restant dos à lui, pendant que celui-ci ne put s'empêcher de lever son regard vers elle, souriant de façon amusée devant son manque de pudeur. Finalement, elle enfila une robe simple et s'appuya contre le dos de Yea en regardant ce qu'il écrivait. Yea déposa sa plume en frictionnant ses cheveux roux.

Je sais bien que tu es très intelligente, mais tu dois aller en classe comme tout les élèves pour avoir ton diplôme, ma belle.

Finalement, elle lui demanda ce que son frère pouvait bien faire. C'est vrai que Yearius avait tendance à rester enfermé dans le bureau de l'appartement lorsqu'il n'était pas en classe ou hors de l'académie pour superviser l'ordre des paladins. Elle devait se demander pourquoi il ne passait presque plus de temps en sa compagnie. Après avoir rigolé et s'être retourné pour faire face à la jeune femme, Yearius pointa le parchemin couvert de son écriture.

Tu sais que j'ai repris la tête de l'ordre des paladins. Je m'assure que les paladins puissent revenir en Targatt et que les règles de l'ordre soient en phase avec notre époque. Je modifie ce qui doit l'être et je supprime les lois qui n'ont plus de raison d'être. Regarde.

Il s'écarta un peu pour qu'elle puisse prendre le temps de lire le parchemin. Yearius doutait qu'elle puisse intégrer l'ordre un jour, ni même qu'elle puisse s’intéresser à devenir une paladine. Mais au final, malgré son énergie elle était sa sœur... Sa petite sœur adorée avec laquelle il jouait lorsqu'il était plus jeune.
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Dim 21 Juil - 17:33
Sa chevelure rousse s'agençait à son pouvoir, son élément. Alors que ses flammes s'agençait bien avec le ciel couchant, sa chevelure s'agençait aussi avec le vin. Les histoires recontant l'histoire d'un homme qui avait le pouvoir d'infuser l'eau en vin. Où il pouvait marcher sur l'eau. Était-ce un malicieux miracle, alors que plusieurs insectes le pouvaient ? Rien à voir avec un puissance supérieur ou encore l'hérésie. Alors que certain pouvait matérialiser l'eau ; elle pouvait matérialiser les flammes. Il ne restait qu'à savoir si les griffes de la nuit s'étaient prisent d'elle, encore une fois. J'en suis témointe, je n'ai pas toujours été facile. Je demanderai pardon à mon père dans une prochaine vie je crois. Je suis la reine que personne ne veut voir. Je suis la démone que personne ne veut vraiment connaître. J'ai des ambitions et ces derniers sont plus cataclysmiques et génocidaires que n'importe quel maëlstrom. Désolée, je n'ai pas péché, je suis le péché mortal de l'Avarice pour le pouvoir. De l'envie d'aller toujours plus haut.

Akiza, Akiza, Akiza... Qui était-elle vraiment ? Tout ce qu'elle savait, et ce, par son artéfact qui racontait toute son histoire dans les moindres détails qu'elle était née mystérieusement dans une forêt. La forêt était gigantesque où vivait un chêne tout aussi gigantesque. Ce chêne était un esprit de la forêt, un primordial en quelque sorte. Autrement dit, il était aussi l'interprète de la forêt et parlait en son nom. Un peu comme l'entité de l'artéfact chantait au nom des ténèbres. Quel était son nom ? Personne ne le savait. Abigæl était le seul nom qu'elle avait lu dans le livre. Akiza savait que pour sceller ce démon, il fallait les cheveux et le sang d'une princesse elfe, vierge et albinos. Mais bref, de retour à l'histoire de l'arbre, ce dernier protégeait Akiza de tout les êtres du monde extérieur. En fait, tant et aussi longtemps qu'elle ne serait pas un danger pour eux, ces êtres n'allait pas être un danger pour elle. Les pages se tournaient indéfiniment à chacune de ses journées. Ce grimoire incarnait Akiza et Akiza incarnait ce grimoire, dites, diabolique. À première vue, ce grimoire ressemblait bien à un grimoire bien normal.

Son grand frère adoptif lui avoua ce qu'il faisait malgré le fait qu'Akiza avait décidé de sécher les cours. Ce qui était normal après ce qu'il s'était passé. De toute façon, reprendre son retard allait prendre environs 15 minutes. C'était l'ordre des paladins, ainsi que leurs règlements. Afin de démontrer sa curiosité, Akiza inclina la tête. Le fait qu'il s'éloignait, la jeune étudiante comprit qu'il lui laissait y jeter un coup d'oeil. Cela ne prit qu'une seconde pour que sa curiosité l'emporte. La jeune étudiante s'avança d'avantage pour atteindre le bureau. Celle-ci se pencha un peu plus en déposant quelques secondes ses mains sur le bureau en question. À l'aide de la lumière qui traversait son long chandail rose qui servait de pyjama. On pouvait nettement discerner ses petits seins qui pointaient vers ce qu'elle regardait durant cette instant. Akiza prit le parchemin mentionné par son frère aîné et elle se redressa. Ses iris qui bougeaient de droite à gauche dans le but d'assimiler toutes l'informations. Cela prit environs 45 secondes pour qu'elle puisse répondre à Yearius.
- Je sais qu'il y a des lois vraiment idiotes dans ce monde. Certains servent pour protéger le peuple et encadrer ceux qu'ils ont de l'autorité. Dit-elle en retourna le regard vers lui. Tu devrais ajouter un règlement qui met en lien la bravoure. Car c'est avec le courage qu'on parvient à échanger notre mon notre monde ; la persévérance  dans le but de changer le monde.

Cette petite m'épatera toujours. Être capable de faire un tel discour après ce qu'il s'est passé. Il était vrai qu'elle avait toujours le nez dans un livre, donc il n'était pas étonnant qu'elle ait une telle pensée. Je me demande si Yearius va l'écouter, hé hé...

- Je dis ça seulement comme ça, ajouta Akiza en déposant le parchemin sur la surface du bureau,  je ne connais pas grand chose sur les paladins, finit-elle alors qu'elle s'assoit sur le bureau. Tout ce que je sais, c'est qu'ils se donnent pour mission de protéger le peuple par la lumière et la foi.
Akiza fit un magnifique sourire à la fin de son petit monologue. Malgré l'énergie négative qu'elle émanait, son sourire dégageait un quelque chose de radieux, sûrement à cause de son pouvoir. La couleur de ses flammes, ainsi que leur chaleur incandescente démontrait à quel point son sourire pouvait être aussi radieux que le soleil. Comme si, elle-même, elle pouvait atteindre cette Flèche de lumière à travers ce ciel argenté. Les nuages allait un jour se disperser.
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Yearius Clipeum

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Yearius Clipeum
Yearius Clipeum
Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Mar 23 Juil - 1:19
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
Puissance moyenne : 125
Que dire de ce que ressentait Yearius en rapport à sa jeune soeur adoptive. Bien sûr, elle était sa petite soeur et ils avaient tous les deux été élevés par Saeline. Cependant, les deux élèves étaient très différents. Un peu trop différent à vrai dire. Yearius a toujours été un fils à maman très proche de sa mère. Pour dire, lorsqu'il avait une dizaine d'années il ne pouvait se séparer de sa mère plus de quelques heures. Sa grande sensibilité lui avait d'ailleurs valu beaucoup de moquerie, mais Saeline avait toujours aimé ce gamin aux cheveux blonds et aux grands yeux bleu, presque aussi sensible que certaines femmes. Avec le temps, le jeune homme avait appris à se servir d'une arme et à se battre, mais il n'avait jamais aimé cette discipline. Le simple fait de songer à prendre une vie lui donnait la nausée. Il savait que parfois c'était une nécessité, cependant il était un guérisseur bien plus qu'un combattant. Maintenant que Raguel avait chassé la corruption de son âme, il n'avait plus aucune envie de faire du mal à qui que ce soit. Même les Leckard.

Cependant, sa jeune soeur était dans une autre catégorie. Elle était quelque peu tête en l'air. Avait certaines tendances peu orthodoxes et surtout avait une énergie qui empestait la négativité. Depuis le temps, Yearius avait compris que cela venait du livre qu'elle portait tout le temps sur elle. Cependant, le demi-ange se contentait de la garder à l'oeil tout comme sa mère. Tant que sa jeune soeur gardait son esprit libre, ce n'était pas très grave. Après tout, on ne choisissait pas son énergie magique. Puis, dans un sens, sa mère s'était ben mariée avec un sorcier sous prétexte qu'il était quelqu'un de bon au final. Alors, peut-être que l'aura magique n'était pas tout.

Il leva finalement la tête et écouta ses suggestions, un léger sourire aux lèves. Son regard s'attarda quelques secondes sur sa poitrine pointant à travers sa chemise de nuit. Il soupira légèrement avant de se concentrer sur ses travaux. Celle-là... tellement tête en l'air. Enfin, ce n'était pas la première fois qu'elle se déplaçait dans les appartements dans une tenue que beaucoup pourraient qualifier d'indécente. Elle était certes plutôt jolie et ce n'était pas sa vraie soeur. Cependant son aura maléfique et le fait que le jeune paladin avait toujours eu de tendres sentiments envers Allayne l'avait tenue éloignée de ce genre de pensée.

Un paladin doit faire preuve de courage, c'est une évidence Aki. Nous sommes des soldats de la lumière. Notre devoir est de s'assurer que tous peuvent vivre dans la paix. Il est normal que nous soyons courageux. Cela fait partie de... La logique et pas des règles de l'ordre.

Yearius reprit son parchemin qu'il replaça devant lui en soupirant légèrement, fixant le parchemin des lois de l'ordre qu'il avait créé en fonction des besoins de l'ordre ainsi que de ses traditions et des besoins de la lumière en Targatt. La plupart des anciennes lois de l'ordre étaient encore en place, mais certaines avaient été supprimées par manque de besoin réel. De plus, de nombreuses règles avaient été ajoutées dans ce parchemin. Il leva finalement à nouveau son regard sur celui de sa chère soeur, faisant apparaître une chaise près de lui pour qu'elle puisse se reposer et continue sa conversation.

Je sais que tu n'aimes pas grand-chose, mais tu devrais peut-être te trouver une raison d'être. Certes, tu n'as pas besoin de suivre mon chemin ou celui de maman. Mais tu devrais sans doute te trouver une raison d'être et un but dans la vie. Tu ne crois pas?

Le jeune demi-ange avait dit cela d'un ton léger en souriant à sa petite soeur. Il passa une main dans ses cheveux roux et les ébouriffa amicalement comme il avait l'habitude de faire depuis le temps, ce qu'elle semblait apprécier. Oui, trouver un but. N'importe lequel. Il songea pendant quelques instants à la confier au nouveau mari de sa mère. Peut-être, qu'entre sorcier... Non. Akiza n'était pas une sorcière et elle méritait mieux que cela. Il en était convaincu.
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Mer 24 Juil - 5:05
Encore une fois, son grand frère adoptif avait raison. Akiza n'aimait pas grand chose, hormis le fait dw traîner à la bibliothèque pour dévorer un vivre avec ses yeux. Trouver une raison d'être n'était pas facile quand la dites personne n'avait pas confiance en elle. Sa grande intelligence n'aidait même pas pour contrôler l'immense puissance qui dormait en elle. Ce qui démontrait bel et bien que la puissance qui l'abritait pouvait ronger n'importe qui. De plus, ce n'était pas seulement une question de croyance en soi, mais aussi existentielle. Autrement dit, Akiza ne savait pas d'où elle venait. Ô oui, si seulement prier les mains jointes pouvait l'aider à concrétiser ce rêve afin d'élucider ce mystère enfouie.
Une fois la nuit tombée, ne regardez pas en arrière! Il était une fois, une jeune femme au pouvoir incandescent. Ce pouvoir me revenait de droit pour briser ciel d'argent.
Échelon par échelon, jour par jour, lorsque ma volonté sera faite, je dévorerai cet astre. Tentez tout ce que vous voulez. Je suis là, Ô ~ oui! je suis là. Vous goûterez à votre propre peur - Vos désirs peuvent entrer dans le cadre de vos frayeurs les plus tordus -. Juste à connaître voa peurs, et vos désirs, non-seulement cela, mais vos effrois et Ô vos envies.
Le livre qu'elle gardait précieusement avec en était un bel indice de d'où il venait. Le grimoire venait d'une forêt très reculer, mais le Grand Arbre n'a pas élever la jeune fille pour qu'elle puisse trouver sa raison d'être, mais pour protéger le monde d'elle autant qu'elle devait être protéger du monde extérieur. Cela était totalement normal, ce monde extérieur pouvait être si... étrange, violent, y avait-il vraiment un mot pour décrire le monde extérieur où la haine et la peur y régnait depuis des milliers d'années, et ce, dans un seul et même but ? Les duides s'inquiétait de l'état d'âme de la nature. Les dryad empoisonnait les infidèles. La foi avait des effets de laxatifs, rien venant d'eux n'était créatif. Comme un cadavre est leur esprit fermé. Pas étonnant qu'elle soit née exilée. La soif du pouvoir s'abreuvait tel une lycantropie. Est-ce de même pour la soif de savoir ? ( Probablement )

La Mort n'est pas un option. Elle fait partie du cycle de la création-destruction. Seulement, il y a des souffrances plus froides et plus douloureuses...

Il n'y avait rien à ajouter au fait qu'Akiza incarnait belle et bien la noirceure dans sa forme la plus fourbe. En fait, peut être pas si fourbe. L'aura malsaine qu'elle degageait ne venait pas vraiment d'elle ( Comme si l'on pouvait choisir notre Aura ). L'aura était comme les parents, nous les choisissons pas. C'est une adaptation intégrale. Si un parent était mauvais. L'enfant, dans toute sa naïveté et son innocence, allait-il devenir impérativement mauvais ? Les statistiques le démontraient avec une précision d'une flèche. Mais il y existait des exceptions. Bien sûr, les statistiques n'étaient pas un chiffre coulé dans le bronze. Saeline a su se montrer dévouée et présente auprès de Yearius et de sa jeune fille, Akiza. Que son Aura soit négative et sombre ne disait en rien ce qu'elle était au fond d'elle. Du moins, jusqu'à ce que le file de mon petit doigt en decide autrement, hé hé...

Une fois assise près de son frère. Celui-ci lui dit qu'elle devrait trouver un but. C'était normal, qui vivait sans avoir vraiment une destionation où aller ? Akiza avait un but et il s'arrêtait là. Ensuite, il n'y avait plus rien. Déjà, savoir d'où elle venait n'était pas chose aisée. Son grimoire cryptait sa vie dans les moindres détails. Malheureusement, seule Akiza pouvait le lire. C'était comme une sorte de protection contre les curieux. La langage employé par le grimoire n'était pas connu... comme un genre de mixte entre l'Elfique et le Demonic. Étrangement Akiza pouvait le lire! Si la jeune étudiante pouvait lire ce étrange langage, c'est que l'entité qui habite son cour influence aussi ses connaissances, donc aussi ses ambitions.

- Nous en avons déjà parler, Grand frère, dit-elle en détournant les yeux vers l'extérieur. Je n'ai pas d'ambitions. En fait, je dirais que je ne suis pas du tout comme vous. Par conséquent, je me dis que je ne mérite aucunement d'avoir le droit à ce privilège. Je sais que ce n'est pas un secret que...  s'interrompt-elle  elle-même.

Akiza s'était effectivement assise sur la chaise pour démontrer du respect à son grand frère, donc le fait de ne pas être plus grande que lui. Malheureusement, Akiza faisait 5'11, donc elle n'était toujours pas sûr si elle le dépassait encore ou non ( cela la préoccupait énormément ). Tellement préoccupée par ce détail, pourtant si insignifiant, car ils sont de la même famille, Akiza se pencha légèrement vers l'avant en inclinant la tête. Soucieuse et complètement déconnectée par ses pensées, ses petits seins  apparaissaient à travers son décolleté. Tête en l'air seulement pour garder ses bonnes manières. Ce n'était peut-être pas le bon moment de lui avouer que la jeune étudiante ne portait pas de culotte et qu'elle n'en portait pas non plus lorsqu'elle était en cour l'heure précédente. Déjà, qu'on pouvait le voir qu'elle en portait pas.

- Qu'une entité démoniaque m'habite, Finit-elle avec un voix honteuse.

...Vous, pouvez-vous l'entendre ? Les gémissements d'agonies de la tombée de la nuit.
~ Elle chante aux nom des ténèbres ~
Vous, pouvez-vous l'écouter ? Les paroles angoissante de son avènement.
~ Elle chuchote aux nom des ténèbres ~
Vous, pouvez-vous comprendre ? Le requiem nocturne en pleine ascension.
~ Elle susurre votre voyage aux nom des ténèbres ~
Le ciel se déchire, la noirceure tombe alors que ses larmes tombent sous l'apparence d'une douce froide camouflant sa douleur ignorée. Un fois la nuit tombée, ce soir, dans les flammes, le monde sera à mes pieds!..
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Yearius Clipeum

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Jeu 25 Juil - 20:26
Age du personnage : 21 ans
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Puissance moyenne : 125
Yearius l'aimait bien au final. À vrai dire, elle occupait une grande place dans sa vie. Comme n'importe qu'elle petite soeur, pour un grand frère au final. Elle était maladroite, empotée et légèrement tête en l'air. Cependant malgré tout elle était attachante et on avait envie de la protéger. Seulement, était-ce une bonne chose? Au vu de la créature qui l'habitait, il serait beaucoup plus sage de la tuer en détruisant ainsi la créature qui l'habitait depuis sa naissance. Cependant, ce n'était pas tout à fait exact. Il n'était pas certain que la tuer détruirait le démon. Et Akiza était innocente. Ce n'était pas sa faute si cette horreur l'avait possédé. Du moins, pour l'instant la question ne se posait pas. Elle n'avait rien fait de mal et il avait promis à sa mère il y avait plus d'une quinzaine d'années de prendre soin de cette petite fille qu'elle avait adoptée.

Ainsi, même si ses paroles semblaient affecter le demi-ange, il ne le laissa par paraître. Oui, elle était possédée, mais elle n'avait jamais fait de mal à qui que ce soit et Saeline continuait de la garder à l'oeil. Yearius aussi d'ailleurs la surveillait étroitement pour qu'elle ne soit pas l'idée de ce lancer dans ce drôle de projet qui pourrait laisser entendre que cette entité l'avait finalement entièrement consumé. Ça serait une très mauvaise nouvelle, car le paladin doutait de pouvoir faire face à un démon.

Allons Aki, tu sais bien que ça ne change rien...

Il écarta délicatement ce qui se trouvait sur son bureau et attira légèrement la jeune femme contre lui, la forçant à s’asseoir sur ses genoux alors qu'il l'enlaçait d'un bras, lui frictionnant le dos de l'autre. Elle avait toujours aimé se faire caresser le dos, ça semblait la calmer. Depuis qu'ils étaient petits, elle avait pris l'habitude de ce réfugié dans ses bras lorsqu'elle avait un problème. Avec le temps, ils avaient grandi, mais certaines habitudes restaient les mêmes. Il la serra avec délicatesse en lui souriant. Elle était bien la seule négative qui ne lui donnait pas envie de vomir lorsqu'elle était près de lui. Sans doute, car ils avaient grandi ensemble, bercé par l'amour de Saeline.

Peu importe ta condition, tu restes toi-même. Tu mérites d'être heureuse. Il faut simplement que tu trouves ce qui te rendrait heureuse dans la vie. Peut-être que l'école n'est pas faite pour toi, il faudrait simplement que tu trouves ta voie. Au besoin tu peux en parler à maman. Elle t'aidera avec plaisir. Avec tout, tu es sa petite fille adorée.

Sur ses paroles, Yearius l'embrassa sur le front dans un geste fraternel. Il espérait sincèrement, tout comme sa mère, qu'elle devienne quelqu'un plus tard. Ou au moins qu'elle se trouve une raison d'être....
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Dim 28 Juil - 16:51
Elle était une créature divine qu'on ne voyait qu'une fois... Son regard glaciale capable de geler votre âme, phaaw ~  Une prêtresse ésotérique aux lèvres morbides ignorants vos croyances infâmes. Son savoir  calculé avec symétrie. Où votre rêve n'est qu'utopie.
Véritablement un cauchemar *sigh*


Qu'est ce qui pouvait bien rendre quelqu'un de si tourmentée heureuse ? Le bonheur étant une chose si difficile à trouver. Le bonheur était comme une ressource que l'on devait cultiver avec la plus grande difficulté du monde. Comme s'il fallait plusieurs millier d'hectares afin de recolter une mince parcelle de ce sentiment. Ça donnait une idée de la complexité de cultiver cette ressource si rarissime. Comme si seulement quelques élus y avaient accès. Pour Akiza, le bonheur n'existait pas. En fait, elle ne le connaissait pas. Seulement en mot. Pourtant, il existait différent type de bonheur : Personnel, Professionnel, Académique, Social etc. Est-ce qu'Akiza avait le droit à l'un d'eux. En ce moment, malgré sa capacité intellectuelle au dessus de la mienne, la jeune étudiante n'était toujours pas heureuse académiquement. Cette Flèche de lumière qu'elle voulait atteindre montait toujours plus haut à travers ce ciel argenté ; clouée au sol, la jeune étudiante ne voyait aucune solution. Cette flèche trouvait la lumière à quelque part. Un endroit où elle ignorait son existence. Que représentait cette flèche de lumière, hormis la vision du tout-puissant. Une image valait mille mots, alors pourquoi la petite curieuse à la chevelure rousse ne voyait aucune source de bonheur ?

À la source de son être reposait une entité d'une puissance capable d'ensevelir le monde dans les flammes. Cette entité portait bien des noms, des alias, mais le plus connu pour la représenter était : La mangeuse d'étoile. Sa connaissait très bien cette être. Ceci fut garder secret depuis sa naissance, seuls les plus puissants de l'école le savaient. Saeline était entrée en comtacte avec la chose qui dormait clandestinement dans le corps de la jeune étudiante. Bien entendu, le démon qui y résidait fut surprise de la voir dans son antre. Oui, elle voyait Akiza seulement comme une maison d'occasion afin de recouvrer ses forces. Même le démon, ou démone, c'était là qu'elle sû que c'était un démon féminin qui l'habitait, était surpris. Personne, non personne n'avait été capable jadis, la malédiction se voyait être imparable! Pourtant, sa mère adoptive avait réussi. Akiza n'était pas liée seulement à son grimoire, mais aussi à un petit livre de règle écrit par sa mère adoptive. Ces règles servaient à ne pas être enfreintes, autant par Akiza que les autres. Un enchantement servait de " lien " afin qu'elle puisse reprendre faicilement le contrôle si Akiza parvenant à s'énerver. Le premier règlement fut mémorisé dès le début de leur rencontre : Ne vous laissez pas envoûter par sa voix séduisante.
Plus Akiza vieillissait, plus sa voix muait de manière presque identique. C'était complètement fou. Comme si l'on m'était deux résultats d'un scan ADN l'un par dessus l'autre et que ces derniers se voyaient être identique ( Scientifiquement, c'est impossible ). Scan de cerveau, de même. Malgré sa voix séduisante et succubiste, la démone n'était pas une succube ayant les pouvoirs de la luxure. Non, le pouvoir du péché qu'elle incarnait était beaucoup plus dangereux qu'une simple partie de jambes en l'air. Ce pouvoir incarnait justement le deuxième règlement : Le savoir peut être un don dangereux. Le pouvoir qu'elle incarnait était l'Avarice, donc cette dite démone voyait le pouvoir comme une richesse auquelle elle ne pouvait pas se passer.
Ma façon de penser est la sienne. Ce que je prône, elle le prône aussi. Ces piètres règlements ne servent à rien et servent seulement qu'à être efreintes. Je suis le livre des lois, ainsi que l'abomination qui entrainera le monde dans les flammes!

Le fait qu'elle se retrouva sur les genoux de son frère aîné. La jeune tourmentée se sentait un peu plus comprise et écoutée. Yearius, comme sa mère, a toujours sût être présent pour la jeune femme. Il était un digne grand frère protecteur. Il a toujours sût la réconforter aussi. Cela semblait seulement être une simple caresse au dos, mais cela signifiait beaucoup pour Akiza qui, elle, vivait toujours dans la peur. Par sa voix, plusieurs pouvait sembler être complètement envoûtés, mais pour ceux qui connaissait les règlements du livre, ils faisaient sûrement plus attention. Pourtant, sa voix, son allure, sa démarche démontraient son appartenance à son grirmoire. Son être semblait être lié par l'amour du diable lui-même où, celui-ci, ne rêvait que de teindre les murs du Vatican par le sang de ses fervants! où la flèche de lumière tant recherchée par Akiza semblait plus importante qu'elle le pensait. Comme si elle représentait non-seulement la rédemption, mais une église sans Cleeeeeef!

N'essaie pas, tout le monde est manipulé d'une meilleur où d'une autre. La liberté véritable n'existe pas où tout le monde ne vit que dans une illusion véritable décidée par les plus hauts. Une cage où l'influence entoure nos idées contre le lavage de cerveau. Ces fervants n'ont aucune idée de ce qu'ils attendent si tu me laisses m'approcher de toi. Tu me sers de réceptacle en tant que catalyseur ; je serai le maëlstrom qui va tout dévaster.

- Je ne sais pas ce qui me rend heureuse, justement. J'ai beau chercher comme une déchaînée. J'ai toujours l'impression que mes pensées ne sont pas vraiment les mienne. Cela équivaut aussi pour ce que j'aime et ce que je déteste. Finit-elle avec une voix où n'importe qui pouvait voir son manque de confiance.
De plus, plus je lis mon grimoire, plus je viens à me dire que peut-être mes gestes sont aussi décidés en avances.
Rien n'a pas changer, ces cauchemars le soir où j'allais dormir avec toi n'ont jamais cessés. La roue tourne et je m'enfonce dans une routine toute aussi terrifiante. Je ne sais pas quoi faire pour y remédier...
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Yearius Clipeum

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Yearius Clipeum
Yearius Clipeum
Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Lun 29 Juil - 15:50
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
Puissance moyenne : 125
Le chef des paladins continuait de frictionner le dos de la jeune femme en la gardant contre lui, alors qu'elle était toujours assise sur ses genoux. Elle s'était blottie contre lui, se laissant dorloter comme il en prit l'habitude de le faire depuis qu'ils étaient enfants. Il avait toujours ressenti ce besoin de la protéger et de la rassurer lorsqu'elle était perdue ou en pleure. Oui... Ses nuits étaient en vivant dans son esprit. Lorsqu'elle venait se glisser dans son lit en sanglotant après avoir fait un cauchemar. Il y avait encore quelques années, elle dormait encore dans son lit lorsque les cauchemars venaient la torturer pendant la nuit. Cependant, depuis quelque temps déjà ils n'avaient plus partagé le même lit. La raison était simple et pourtant, Yearius ne pouvait s'empêcher de penser qu'il aurait peut-être dû faire plus attention à sa petite soeur...

Leur corps et leur esprit avaient tous les deux grandi avec les mois et les années. Ils étaient devenus des adolescents, puis des adultes. Les pulsions qui avaient envahi leur corps les avaient aussi peu à peu éloignés. Le manque de pudeur de sa soeur lui avait plus d'une fois rappelé qu'il ne partageait au final pas le même sang et n'était pas vraiment des frères et soeurs. Cependant, il s'en voulait d'avoir laissé ses pulsions guider ses choix. De l'avoir laissé loin de lui. Cependant, maintenant que l'ordre était sur les rails et qu'il n'était plus un gamin en pleine crise de puberté, tout cela lui semblait bien lointain et stupide. Il sourit gentiment à sa soeur.

Tu sais Aki, si tu as peur... Je suis là pour toi. Nous ne dormons pas si loin, l'un de l'autre. Et si tu veux me parler de tes angoisses, tu pourras toujours compter sur moi.

Il lui sourit gentiment après avoir prononcé ses paroles. Il serait toujours là pour sa petite soeur, il en avait la certitude. Cependant, il fallait encore qu'elle veuille de son aide. Son regard se posa sur ce grimoire démoniaque qu'elle gardait toujours sur elle. Il connaissait la formule. Le bruler grâce aux flammes divines serait une partie de plaisir pour lui. Cependant, il ne savait pas les effets qu'une telle geste aurait sur sa soeur. Il soupira et dit très lentement pour éviter de la brusquer.

Tu devrais lâcher ce livre pour commencer. Je sais que tu ne veux pas le quitter, mais ça serait pour le mieux, je crois...
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Anonymous
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Lun 29 Juil - 18:50
Les sombres paroles que gardaient son grimoire donnaient dans le dos.  Comme si celui-ci tentait d'entrer en contacte avec la jeune étudiante. Sa mère adoptive le savait que trop bien et l'ordre des paladins ne pouvaient cacher le fait qu'ils surveillaient Akiza. Toujours aussi perspicace, elle l'avait deviné toute seule. D'ailleurs, il n'y avait pas seulement que sa mère et les paladins, le personnel aussi. De quoi rendre n'importe qui complètement fou. Aucun de ses gestes manquaient à leur surveillance. Le seul moment où elle était vraiment seule, c'était lors de son sommeil. Et encore. Cette entité essayait d'entrer en contacte avec son vaisseau durant les nuits. Ses cauchemars sordides ramenaient des images carrément infâme et blasphématoire. D'un ciel taché de sang à un paradis infernal, Akiza savait que sa vie n'était qu'une suite de malheur malicieuse. Cette clé dont elle cherchait indubitablement l'existence d'un secret enfouie au fond d'une cathédrale qu'était son subconscient, la jeune étudiante savait que cela allait être une quête des plus ardues.
Comme si j'allais te laisser faire. Tu n'es qu'un pantin parmis tant d'autre. Rien ne te différencie des autres! IcI jE sUiS mAiTrE dE tEs PeNsÉeS. Je suis l'autre côté de ton miroir!
Et si nous parlions de la Grande Mère...

Blottie contre son frère. Celui qui reconnaissait ses maux. Celui qui reconnaissait ses secrets. Celui qui guidait sa lumière, d'ailleurs, enfouie six pieds. S'il n'était pas la flèche de lumière qui traversait ce sonbre ciel argenté. Il en était proche. Alors que son dos se faisait caresser doucement. Une larme s'échappait afin de glisser le long de sa joue. Alors qu'il avait toujours été là pour elle, son frère représentait le peu de personne en qui elle avait confiance. Le compte n'était pas difficile. Tout le monde savait compté jusqu'à 3, Yearius, Saeline et son père adoptif complètement absent. Effectivement, Akiza n'avait aucune confiance en elle. Alors comment pouvait-elle faire confiance aux autres étrangement ? Les humains ont toujours été une espèce très, très intéressante. Malheureusement, malgré que cette atmosphère semblait dégager une plénitude à toute épreuves, c'était plutôt le contraire. Le grimoire qu'Akiza gardait toujours sur elle dans l'appartement dégageait une énergie lourde et extrêmement négative. Cette énergie dégageait une immense rancune, de la colère et un désir de vengeance incommensurable. Une énergie extrêmement violente et assoiffé de sang. Les raisons pour lesquelles elle ne voulait pas lâcher ce livre. C'était à cause qu'Akiza était persuadée que ce grimoire cachait des secrets. Ce grimoire était-il à l'origine de ce ciel argenté et sombre qui recouvrait son bonheur ?
L'atmosphère n'était pas ininterférée seulement à cause de son grimoire. Alors que la jeune tourmentée ne portait de culotte. Lorsque son frère l'avait prise pour prendre sa petite soeur adoptive dans ses bras. Cette dernière s'était laissée accidentellement frotter son intimité contre son genoux.

- Je ne peux pas le quitter. Il va revenir, il est comme ça. Peu importe ce que j'en fais. Il fait parti de moi. Je te l'ai dis des milliers de fois. Une force étrange m'attire et me dicte que je dois en savoir plus. C'est aussi pire que n'importe drogue.  Avoua Akiza avec angoisse.
L'écriture démoniaque avec cqute énergie occulte qu'elle dégage pique ma curiosité. Ajouta-t-elle en approchant ses lèvres de son oreille comme si elle allait lui chuchoter quelque chose. Avec une voix mieilleuse :
Alors que tout se couvre, il y a toujours un espoir. Jusqu'à ce que les ombres se font dévorer par des ténèbres plus profondes. Un nouveau monde naît une fois les dieux complètement aveuglés par leur orgueil. Dès lors, il n'y a que moi : Ténèbres Incarnée...

... Depuis des temps immémoriaux, une jeune femme avait découvert un livre ornée de plusieurs pierres écarlate. C'était des rubis qui dégageaient une chaleur incandescente. Ce livre démoniaque racontait l'histoire d'une certaine Mère nommé Grande Mère ou encore Mère Abomination. Celle-ci prônait la violence, la frénésie, la guerre, LE GÉNOCIDE! et aussi plus que tout son propre pouvoir. Son regard aussi froid qu'un serpent digne de médusa et des dents acérées avec un mâchoire capable de dévorer n'importe quel de ses fervants, cette Grande Mère avait réussi à manipuler un empire entier afin d'atteindre l'apothéose afin de s'auto proclamer déesse rouge. Elle n'était pas Mars, Venus ni Mercure, cette Mère était quelque chose de beaucoup plus effrayante. Pouvant maitriser son cartilage, cette Mère Abomination semblait immortelle, car les blessures se régénéraient automatiquement... Jusqu'à ce qu'un jour fatidique. Cette Mère à la tête d'une Religion se retrouva face à sa soeur qui dû la combattre les yeux fermer afin de ne pas geler son âme. La Mère Écarlate la tête de sa religieux fut tristement vaincu dans les bras de sa soeurs cadette avouant à celle-ci qu'elle avait que pour but de la protéger de la méchanceté du monde. La jeune femme qui découvrit le grimoire qui gardait cette histoire dans son recueil décida de mener à bien les idéaux de la Mère Écarlate. Où celle-ci s'auto proclama par la suite la Reine Rouge.
Le sang que j'ai fais couler ne représente qu'une petite partie de mon nom en tant que votre Grande Reine. Je suis votre plus beau et merveilleux cauchemars I love you
Votre foi en ce que vous croyez qui vous protège n'a aucune pouvoir contre moi!
Ce mensonge remonte tel un cadavre dans les marécages. Vos prières silencieuse ne sont qu'un signe démontrant votre faiblesse!

Akiza lui montra une petit note qu'elle avait justement laissé traîner. Parfois, elle se laissait justement traîner quelques affaires à cause de ses habitudes d'avoir la tête ailleurs.
- Je suis parvenu à décrypté ceci, il y a environs une semaine, dit-elle en lui montrant la note.

" Elle était une créature divine qu'on ne voyait qu'une fois... Son regard glaciale capable de geler votre âme.  Une prêtresse ésotérique aux lèvres morbides ignorants vos croyances infâmes. Son savoir  calculé avec symétrie. Où votre rêve n'est qu'utopie.
Véritablement un cauchemar "

Ce que je veux n'est pas ton être, Aki
Ton âme m'a été offerte depuis ta naissance.
Je sais que tu veux mon âme! sache que je ne l'ai vendu qu'à moi-même.
Ton nom n'est qu'un piètre anagramme.
Ton nom a beau signifier empreur. Le mien signifie l'espoir!
Ce que je veux n'est pas ton être, mais te dévorer complètement.
Ce que je veux n'est pas ton être,
mais te dévorer complètement...
Ô mes chers fervants, pardonnez moi, aller prier votre piètre " dieu " pour moi.
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Yearius Clipeum

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Yearius Clipeum
Yearius Clipeum
Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Ven 2 Aoû - 19:03
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
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Yearius fronça les sourcils devant les paroles de sa soeur. C'était inquiétant, mais tout ça, il le savait déjà malheureusement. Il connaissait bien cette relation qu'elle entretenait avec ce curieux grimoire, car sa mère avait plus d'une fois essayait de lui retirer. Cependant, le grimoire était une drogue pour elle et peu importe ce qu'elle faisait, le grimoire revenait toujours vers elle. Le regard du demi-ange tomba sur ce grimoire maudit et il songea pendant quelques secondes à invoquer ses flammes célestes pour bruler ce livre maudit et tenter de libérer sa petite soeur de son emprise maléfique, mais il se retint. Il connaissait les crises de colère qu'elle pouvait piquer lorsqu'on touchait à son grimoire. Il ne doutait pas de pouvoir la maîtriser, mais il voulait éviter de la blesser sans faire attention durant le combat. Ainsi, il se contenta de caresser tendrement ses cheveux et embrassa sa tempe.

Nous serons là avec maman pour t'aider et tout soutenir, ma très chère petite soeur...

Yearius vit le regard de sa petite soeur changer, passant de l'angoisse à une sorte d'amusement morbide alors qu'elle s'approcha de son oreille pour lui souffle quelques choses. Même sa voix avait changé. Elle avait quelques choses de mielleuses et de terrifiantes en même temps. Le regard De Yearius s'assombrit en comprenant que, encore une fois, l'esprit qui habitait sa soeur avait repris le dessus l'espace d'un instant. Le demi-ange se mit à rayonner de lumière et planta son regard dans celui de sa soeur, ou plutôt de l'entité qui la possédait.

Jamais la lumière ne faiblira. Tant et aussi longtemps que je serais là, la lumière continuera d'être et de caresser de son voile ceux qui le veulent.

Il fronça les sourcils, mais finit par se détendre en voyant sa soeur reprendre un regard plus normal. L'ombre avait quitté son petit corps. Yearius fronça les sourcils devant la note en patte de mouche qu'elle lui montra et dut froncer les sourcils pour en comprendre le sens. Cependant, tous ses charabias ne voulaient rien dire pour lui. Cependant, cette histoire de prêtresse rouge ésotérique le fit frissonner pour une raison qu'il ne connaissait pas. Pourquoi frissonner ainsi? Pourquoi se sentait-il mal? Pourquoi... Avait-il légèrement peur? Il s'approcha un peu plus du bureau et tourna son regard vers sa petite soeur.

Et tu sais ce que ça veut dire Aki? Cette histoire de prêtresse?
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Ven 9 Aoû - 16:59
Si le savoir incarnait le pouvoir. Le pouvoir pouvait bien incarner le savoir. Seulement une toute petite inversion qui pouvait en dire long sur une idée. Une simple virgule peut changer la tournure d'une phrase drastiquement. Alors qui incarnait ce cauchemars que tout le monde redoutait ? Si une prêtresse rouge possédait tant pouvoir. Il va s'en dire que la religion possédant beaucoup de savoir enfouie. Alors qui redouter, la jeune prêtresse rouge ou la déesse qu'elle invokait son nom ? Une seule chose était certaine, la clé se trouvait dans les histoires enfouies. Que ces fervants aient l'audace d'affronter leurs peurs les plus maudites. Que ces fervants aient le courage de combattre leurs hantises les plus fourbes. Personne ne peut vraiment combattre ses peurs. Une mince crainte qu'on appelle toujours " instinct " réside et cette prêtresse l'avait compris. Si elle était une créature divine au sang froid ; les créatures mortal au sang chaud devaient se soumettre à son autorité divine. Que ce grimoire maléfique puisse ouvrir la voie à un nouvel armageddon. Alors que
Les forêts puissent renaitre de leur cendre. Ceux qui détruisent le monde subiront un violent courroux. Le savoir à un prix par les ressources.
Si l'amour était tel un revolver, alors la foi était la balle de calibre 50. Ce n'était pas que du brainwash, mais aussi un mouvement qui faisait fondre le cerveau. Et cette balle me sied à la perfection lorsqu'il s'agit de détruire les pensées, khé hé hé!

Pas besoin de croire au Slenderman pour que cette idée parasite les esprits saints. Akiza savait se faire adorer seulement par sa personnalité un peu cruche. Est-ce que ce c'était cette entité chez elle qui lui donnait cette personnalité ? Personne ne pouvait vraiment le dire. Même Akiza ne pouvait pas vraiment répondre à cela. Avec les paroles dites plutôt, la cette chose qui lui servait de coloc spirituelle se décrivait étant les ténèbres incarnés. Entendre cela était effectivement quelque chose d'inquiétant. Est-ce que la démone gagnait en force avec les années ? La triste réponse : oui, malheureusement oui. En fait, la démone devenait non-seulement plus puissante, mais Akiza devenait aussi plus faible. En outre, sa maîtrise de ses propres pouvoirs devenaient de plus en plus compliqués. Son énergie, ainsi que son âme et son essence spirituel, se faisaient dévorer jour après jour, minute après minute. Seconde après seconde. À travers d'une petite pierre très rare où l'on pouvait voir deux orbes s'entre dévorer. L'une était rouge et plus imposante alors que l'autre était rose et beaucoup plus petite. Il s'agissait des âmes qui residaient dans le corps de la jeune étudiante. Pas étonnant que la maîtrise de ses pouvoirs était perturbée. Ce système binaire était la source de son énergie négative!
Mais il y a une chose que je n'avais pas pensé. Et cette à cause de ce détail qui m'a value son respect pour cette petite.

-" Elle était une créature divine ". Honnêtement, je crois que cela ne veut rien dire. Une Hierophant Rouge qui se fait tuer par sa propre soeur - non! en fait, elle n'est pas morte sur le coup. Je crois qu'elle a été complètement effacée de l'histoire. Sa peur était l'oublie. Sais-tu ce que cela veut dire ?  Ajouta Akiza en se retournant vers son frère. Qu'est ce que les dieux ont le plus peur ? L'oublie. Si personne ne les vénère, ils se voient devenir faibles.

Akiza tourna ensuite le regard sur la petite note. Hochant les épaules, cela ne voulait rien dire sur sa vie personnellement. Le fait d'avoir décrypté cette citation n'aidait en rien à découvrir ses origines. Foutaise, se disait-elle. À moins que cette citation allait vraiment l'aider prochainement ? " Son regard glaciale capable de geler votre âme " des énigmes, encore et encore. Cela ne finissait jamais. Être Akiza n'était pas une partie de plaisir. Au moins, son frère était là. Malgré le fait qu'il n aimait jamais pas ce livre décris comme " démoniaque ". Tout le monde voulait savoir d'où ils venaient, et ce, depuis la nuit des temps immémoriaux. Ça perdure encore. Cette prêtresse qui était devenue, au court de sa courte vie, une puissante Hiérophante cachait beaucoup de secret. Comment trouver ces secrets si celle-ci fut, jadis, oublié par la Damntio Memorea. Tout ce qui restait d'elle était ce livre, étrangement. Était-ce un momento ?

- " Son regard glaciale capable de geler votre âme ". Cela sonne comme le regard perçant d'un serpent...  

Ô mon enfant, moi qui a tant voulu te protéger au court de ton épopée.
Je te pris d'excuser mes péchés et de prier " dieu " pour moi. Les étoiles ne parlent pas. Elles luttent à tout le jour afin de survivre. Une fois la nuit tombée, prête moi ton être... et je commencerai ton ascension, hé hé...
Six pied sous étant ma raison d'être! Sans cette flèche de lumière, je m'y perds dans mes pensées. Où mon destin que je ne me vois aucunement maître! Sous ce ciel lugubre argenté - je ne vois que nous...
Tes yeux écarlate face à mes iris roses.
Où que ton ciel semble être un enfer paradisiaque ; mon ciel un paradis infernal.
Tu n'es pas qu'une ombre, tu fais partie de moi.
C'est ainsi que je peux finalement...
...Réfuter les paroles dieu...
... ce n'est pas une insulte...
...En soit...
...ce n'est pas un blasphème...
... c'est ma parole pour la Grande Prêtresse Rouge...
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Yearius Clipeum

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Mer 14 Aoû - 4:35
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Yearius soupira légèrement devant les paroles sans queue ni tête de sa petite soeur. Il l'aimait beaucoup, mais parfois elle s'exprimait d'une façon bien à elle, si bien qu'il était difficile de percer le mystère derrière ses paroles parfois obscures. Cependant, il faisait toujours un effort pour la comprendre et surtout pour essayer de rassurer ses craintes lorsqu'elle en éprouvait. Jamais il n'avait échoué pour l'instant. Et puis, comment pouvait-il espérer rassurer le peuple s'il échouait à rassurer sa petite soeur... C'était tout simplement inconcevable.

Il fronça le sourcil devant les paroles de sa jeune soeur sur les dieux et sur cette prêtresse rouge. Honnêtement, il ne comprenait pas la raison de sa jeune soeur de s'intéresser autant à ce livre, aussi il ne cherchait pas à en savoir plus. Il se contenta de hocher lentement la tête en fronçant les sourcils. Il n'aimait pas particulièrement entendre sa soeur parler ainsi des divinités. C'était de mauvais augure.

Tu ne devrais pas parler ainsi soeurette. Les dieux nous ont créés et il est normal que nous leur en soyons reconnaissants.

Yearius n'était pas quelqu'un de religieux. Bien sûr, il avait respecté Ether ainsi que les idées de la prêtresse Zahel dans leurs ensembles. Mais il n'avait jamais réussi à croire fermement en l’existence d'une créature supérieure. Ou plutôt, il ne voyait pas l’intérêt de les prier. Il fallait les respecter, bien évidemment. Cependant, il ne comprenait pas que certaines personnes dévouées leur vie en des créatures immatérielles vivant dans un autre plan d’existence. La seule force en laquelle il croyait était la force de la lumière. Celle d'une bonté profonde dans l'être humain.

Lentement, il déposa sa main sur celle de sa petite soeur et ferma le grimoire rouge avec délicatesse sans chercher à lui retirer des mains. Il savait que sa soeur se mettait dans une colère noire lorsqu'on essayait de lui retirer ce curieux livre et il n'avait aucune envie de la mettre en colère.

Si on parlait d'autre chose, soeurette. Dis-moi, pourquoi ne demanderais-tu pas à maman de proposer ton nom pour travailler dans cette école. Puisque tu aimes à ce point les livres et ce genre de truc, tu pourrais devenir archiviste ou même érudite. Avec ton grand cerveau, ça ne devrait pas être un problème.

Il rigola doucement et l'embrassa sur la joue.
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Mer 14 Aoû - 17:57
Il était vrai qu'avoir un petit travail tranquille allait aider à Akiza à avoir d'avantage confiance en elle, mais aussi se sentir utile. Car là, la jeune studieuse se sentait fort inutile. Chacun de ses efforts semblaient n'être que coup d'épée dans l'eau. Comme si trancher des molécules d'H2o allait être utile à long terme, autant tenter de brûler un rocher à feu doux. C'était là que l'on pouvait voir que son frère avait marqué un point. Soj grimoire n'aidait en rien à son développement, mais seulement à être consciente de sa propre vie comme si elle était une dame de bon-aventure. Le regard d'Akiza ne changea pas à cette remarque, elle ne fit que détourner les yeux un moment avant de se blottir d'avantage. Le manque de sécurité émotionnel qu'elle gardait à l'intérieur de son être était équivalent au trou qu'incarnait son subconscient. Rare était ceux quo pouvait se faire une idée psychologique de son état plutôt " unique ". Son frère, Yearius, l'avait d'ailleurs souvent remarqué que parfois il y avait " deux Akiza ". Le plus étrange était que son cerveau était tout à fait normal, aucun signe de psychopathie, aucune folie ni aucun signe de démence. En fait, l'entité savait où se cacher afin de ne pas être aperçu, même par les plus sages. Était-elle dans le livre. En partie.

Le trou noir qui lui servait de subconscient incarnait en quelque sorte " Akiza ". Un vide, une coquille vide fragile et insécure comme si rien chez elle lui appartenait réellement. Non, ce n'était pas tout à fait vide. Plus loin, il y avait des escaliers qui montait elle ne savait trop où. En fait, dans ses rêves, elle n'osait pas trop monter. Oui, Akiza avait peur d'elle-même et de ce qui se cachait à l'interieur de son corps, son âme et tout son être spirituel. Savoir que nous avons un colocataire dans notre propre être n'est pas une chose que nous souhaitons lors d'une invokation. Savoir de ne pas être seul dans notre tête est assez effrayant en soit. Chacune de nos pensées sont partagées, et ce, c'était le même récit pour Akiza. Plus haut, après c'est cinquantaine d'escaliers, il y avait un trône en son centre. Un trône ? Que faisait-il là ?..

Un petit baiser sur la joue pouvait-il vraiment la consoler totalement, presque.
Levant les yeux pour croiser le regard de son frère adoptif.
- Tu as probablement raison. J-je... je ne sais pas comment tu fais pour m'endurer ainsi... Mère est vraiment sévère avec moi alors que Père, lui, j'ai comme l'impression qui me voit comme une " chose "

... un silence où l'on pouvait même distinguer les battements d'un coeur fatigué, tourmenté par la terreur de sa propre nervosité...

Finit-elle avec un regard autant attristé qu'heureux. Ses yeux commençaient à devenir un peu humide. Akiza se trouvait être tout de même sensible sentimentalement, malgré son côté blasé et introverti. Petite caresse au dos, caresse à ses cheveux rose, la calmer semblait facile, sauf si quelqu'un avait l'audace d'essayer de lui prendre le grimoire. Là, l'étudiante se mettait dans une colère pratiquement frénétique, violente, où son regard changeait drastiquement, même la forme de ses yeux était redessinée. Son bassin s'éloigna du torse de son frère adoptif où la base de ses fesses commença à apparaître. Courbé vers Yearius, son intimité se frotta contre la jambe de celui-ci, laissant un petit liquide au passage de son bassin. La gratidude qu'elle éprouvait à son égard ne pouvait pas être gratifié. En fait, Akiza ne savait pas comment, la studieuse n'avait rien à offrir selon elle.

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... Dans la noirceur la plus totale, une paire d'yeux aussi incandescent qu'une éruption solaire, un rouge écarlate capable de transpercer une eclispe. Ce regard n'était pas froid au point de geler une âme, mais de la dévorer dans toute son entier. Une main apparut de nul part dans cette noirceur abyssale afin de saisir la chevelure de la jeune solitaire. Une violent coup ( Physiquement, Son nez se mit à saigner alors que l'un de ses iris devint rouge durant un clignement d'yeux ) et un autre et puis autre. Le front de la jeune étudiante commençait alors à laisser échapper un liquide de la même couleur que cette paire d'yeux. Des éclats de verre tombèrent dans le vide pendanr qu'une femme à la beauté resplendissante apparut de la pénombre. Une main ? MA main! une femme ? Moi!
Je la contemple d'un sourire sourbe, il va s'en dire qu'elle a grandit, hé hé. L'heure arrive donc bientôt. Cette petite est donc aussi grande que moi maintenant.
- Ce gars, " ton frère " devra être éliminé s'il continue de s'interposer entre nous! Dis-je à ma petite marionnette à levant son menton afin qu'elle puisse contempler mes yeux à travers les fissures.
Tu n'es pas seule. NOUS sommes seules. L'immense pouvoir qui sommeil en toi n'est qu'autre que MON pouvoir. Tu n'es qu'une marionnette, plaisante. Ajoutais-je ensuite en léchant sa nuque. Tu as si bon goût. Enfin, je veux dire, j'ai beau goût, Khé hé hé...


Elle n'était qu'un ver.
- Et il y en a d'autre aussi, continue-je mon monologue en lui montrant les plusieurs cibles à abattre où plusieurs étaient de son entourage. Personne ne peut nous trouver ici, dans mes limbes restantes autant que mon coeur noir! Car je, non, nous sommes leur Nemesis!

_________________________________
*Dans un futur paradoxe*
Lors d'un journée où il eut une panne magique majeur. Elle était là, au beau milieu de se massacre devant la personne qui voulait l'arrêter.
- Nous prêtons pas attention à ce genre de menace - s'interrompons-nous alors que nous baisson les yeux vers ce qu'elle tient. Oh, les cheveux de l'Archevêque. Intéressant, tu comptes donc me sceller...
Bien essayé, mais il manque seulement une chose..;
La Flèche de Lumière...
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Yearius Clipeum

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Yearius Clipeum
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Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Ven 6 Sep - 1:42
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
Puissance moyenne : 125
Yearius fut sincèrement soulagé de voir sa petite soeur se détendre et se coller un peu plus contre lui après ce petit baiser sur la joue. Cette jeune fille était importante pour son frère, malgré ses bêtises et son attitude parfois déplorable. Elle était surtout tête en l'air. Et elle avait tendance à ne pas écouter les conseilles de sa famille, pour n'en fait qu'à sa tête. C'était mignon en quelque sorte. Mais, elle allait bientôt devenir adulte et Saeline comme Yearius commençait à sérieusement s'inquiéter pour son avenir. Elle ne savait pas ce qu'elle voulait faire plus tard et continuait les cours un peu par dépit. Si elle était plus lumineuse, Yearius aurait sans doute pu en faire une paladine, mais dans sa situation ce n'était pas une bonne idée. De plus, elle ne semblait pas être intéressée pas une carrière martiale ou encore médicale. Elle semblait avoir l'âme d'une érudite, d'ailleurs sans surprise elle étudiait à Meridius.

Il caressa avec tendresse ses cheveux roux en la gardant contre lui, comme il avait l'habitude de le faire depuis qu'il était petit. Si Saeline pouvait être fière de ses enfants, c'était principalement pour leurs liens. Ils n'étaient pas du même sang, mais ils avaient été éduqués dans un esprit fraternel fort et s'aimait profondément l'un comme l'autre. Il ne put s'empêcher de sourire légèrement devant son commentaire. Bien sûr qu'il l'endurait. Quelle question. Sans arrêter de caresser sa chevelure de feu, il répondit.

je te tolère, parce que tu es ma petite soeur et que je t'aime, Aki. Maman aussi t'aime fort, mais elle s'inquiète pour toi. Tu comprends, elle se demande ce que tu vas bien pouvoir faire de ton avenir. Elle aimait que tu puisses avoir une idée plus détaillée de ce que tu veux faire. Mais elle t'aime fort.

Il lui sourit, cherchant en même temps, ce qu'elle pourrait bien faire à la sortie des classes. Elle pourrait sans doute devenir érudite, ou même bibliothécaire. Elle adorait lire et passait son temps libre à se cultiver. Aussi, elle serait sans doute à sa place dans ce genre de rôle. De plus, en restant à l'académie leur mère pourrait la garder à l'oeil. Elle avait raison sur un point, Saeline était une mère aimante, mais parfois étouffante. Yearius se doutait qu'elles les délaissaient un peu à cause de Chad et de l'enfant qu'elle portait, mais nul doute qu'elle reviendrait vers eux.

Finalement, il repoussa finalement sa petite soeur pour pouvoir se lever et il lui sourit gentiment avant de se mettre à fouiller dans sa bibliothèque. Après quelques secondes, il sortit un rouleau de parchemin qui tendit à sa petite soeur avant de reprendre sa place à son bureau. Le parchemin était la description des rôles d'érudit en ville, notamment dans l'académie. On y nommait les chercheurs ainsi que le bibliothécaire, entre autres.

Tu devrais jeter un coup d'oeil à ça, sœurette. Érudit est un métier où tu pourrais continuer d'étudier dans de vieux livres comme tu aimes le faire tout en gagnant très bien ta vie. Je sais que tu ne veux pas devenir paladin comme moi ou guérisseuse comme maman. Mais tu sais que maman sera fière de toi, peu importe ce que tu fais. Elle veut que tu sois heureuse.
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Ven 6 Sep - 20:42
Il n'y avait pas de pardon pour la folie. Combien de péché était-il possible de commette ? Y avait-il un maximum possible ? Alors que sa chevelure était violemment aggrippé. Cette chose force Akiza de la regarder droit dans les yeux à travers ce vide qui lui servait de miroir. Son sourire malfaisant dégageait quelqu'un chose d'inquiétant - une victoire - qu'elle s'appropriait d'ors et déjà. Ça faisait peur, un cauchemars éveillé qui lui rappelait son rôle en tant que marionnette. Ses crocs démontraient une soif tranchante pour la vengeance. Une vengeance pour quoi ? Ne jamais voir le jour! ne jamais le soleil! la lune qui s'éloigne de son monde, une beauté perdu par sa froideur. Dès lors qu'un par un, sa volonté sera faite! La Mère des Abominations maintenait à présent son emprise considérable. Ce chagrin d'avoir perdu quelque chose qu'elle n'avait pas pu protéger. Un chagrin qui, dès lors, c'était transformé en une haine capable de se transmettre d'une hôte à une autre. Alors que le soleil se couhait, il y avait un nouveau cauchemars qui naissait des tréphons de son subconscient. Un chagrin qui devenait un amour inconditionnel pour son être. Voix chaude et suave, aussi succubiste qu'elle était, lovesick pour - - - - - - devint Lovesick pour Akiza.

- Écoutes moi! Lui dis-je en maintenant son emprise sur elle.

Yearius, ainsi que sa mère adoptive, s'inquiétaient pour l'avenir d'Akiza. Ils n'avaient pas à s'inquiéter, du moins, c'était ce qu'elle se disait. Surtout sur le fait qu'ils voulaient à tout prix s'obstiner pour " l'exorciser ". Akiza savait que cela n'était possible. Cela était beaucoup plus compliquer qu'un simple " Hallowed by the name ". Au nom de n'importe qui, la jeune studieuse savait que l'être qui l'habitait n'allait pas se soumettre. L'être qui résidait en elle était puissante, très puissante. Saeline le savait plus que quiconque. Oui, elle essayait d'éteindre les flammes de la craintes des autres. Malheureusement, plus Akiza vieillissait, plus les choses devenaient compliqués. En fait, l'être qui vivait en elle n'était totalement en elle, mais dans son livre. Mais aussi, le livre était Akiza. Donc l'être était en Akiza, donc c'était un alter-ego, dites, dualité ? C'était si compliqué, surtout penser qu'elles ne faisaient qu'une la terrofiait. Si Akiza pouvait avoir ube vie normal, oui, elle pourrait alors devenir une vaillante Érudite. Une tacticienne, une stratège afin de d'aider le peuple qui vivait la même chose... c'était impossible. Personne ne vivait la même chose. Quelque chose de plus loin tirait les ficelles.

- où vas-tu ?

Voyant son frère se diriger vers la bibliothèque, Akiza décida de la suivre. Il y avait beaucoup de livre, la studieuse le savait déjà. Il ne fallait pas se demander si elle les avait tous lu. Une bonne partie était terminé et lu. Beaucoup racontait des morales tel la bravoure et l'honneur. La vaillance était important pour un Paladin, très important. La colère ainsi que le manque de foi jouait le rôle de souillure. On dirait un culte. C'était un ordre qui ressemblait beaucoup à un culte, car il pouvait mourir pour lconvleursictions. C'était normal pour eux ; pas pour Akiza. Mourir pour une idée, c'était mourir pour un idéal en question. C'était absurde comme idée ! Pas nécessairement, il fallait seulement être ouvert d'esprit. Ce qu'Akiza n'était pas vraiment ( à ce moment ) encore petite néophyte. Malgré qu'elle pouvait vendre son âme pour avoir un cupcake. Mais au lieux de se répandre dans sa tête, il se faisait digérer dans son estomac. Ce n'était pas un culte ça ? Un cupcake à la tête d'une religion. Ses yeux balayait les étagères où la l'aspirante érudite revoyait encore ces vieux bouquins. Son frère semblait plus intéressé par les livres qui reposaient en haut de la bibliothèque, qu'Akiza voyait sa curiosité attaqué par 2ème à partir de la base. Cette dernière se pencha pour regarder les livres. Comme mentionné, les ouvrages n'étaient pas tous lus. La base de sa chemise de nuit remonta jusqu'en haut de ses fesses. Son intimité apparut entre son antre, se qui signait qu'elle était partie ailleurs dans un monde où seule Akiza pouvait voyager.

Yearius ramena Akiza par ses dires.
- Pour être Érudit, il faut une vaste connaisse qui dépasse largement la moyen générale, dit-elle en se repositionnant. J'aimerais, certes, mais il y a beaucoup, beaucoup de chose que je veux découvrir... Ta vaillance, l'honneur, prôné par l'ordre. Ce n'est pas que des mots pour se donner un sentiment de devoir. Le culte Ether qui prône les mêmes clichés contre des " péchés " tout aussi clichés -
...
Je crois que mon livre est une bible que pour devenir une Érudite, je dois d'abord connaître mon histoire avant de celles des autres. Tu ne trouves pas ?
Avoua-t-elle en détournant les yeux avec une légère honte.
Une goutte de sang se mit à sortir de son nez.
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Yearius Clipeum

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Yearius Clipeum
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Chef de l'ordre paladin - Mage 2e ordre
Lun 9 Sep - 4:06
Age du personnage : 21 ans
Race : Demi-ange
Pouvoirs : Rédemption divine/Antichambre de la justice
Puissance moyenne : 125
Yearius pencha la tête devant les propos de sa petite soeur qui se repositionna légèrement sur la chaise qu'elle occupait maintenant. Heureusement, il n'avait pas eu besoin d'aller à la grande bibliothèque de l'académie pour trouver ce parchemin. L'ancienne chambre de sa mère était remplie de vieux parchemin qui n'attendait qu'à être lu. Cependant, il se disait que des parchemins et des grimoires plus explicatifs se trouvaient sans doute dans la bibliothèque de l'académie. Il savait que sa petite soeur passait des heures là-bas, au point d'en oublier de boire ou de manger. Aussi, il n'était pas surpris de savoir que ses connaissances dépassaient de loin ceux d'un élève moyen de l'académie. Malgré tout cela, elle s'entêtait à prétendre qu'il fallait qu'elle perce le mystère de son livre pour devenir érudite. Yearius rigola légèrement et lui sourit avec une certaine tendresse.

Un érudit continue d'apprendre toute sa vie Akiza. Même si tu n'as pas percé le secret de ton livre, tu peux très bien devenir une érudite. Tu comprends?

Il rigola très légèrement devant sa remarque sur son attitude. Cependant, il ne lui en voulait pas. Très peu de personnes comprenaient les motivations profondes du demi-ange. En fait, à moins d'appartenir à l'ordre paladin il était étrange de comprendre qu'un apprenti veuille risquer sa vie pour les autres, quitte à ne pas être payé pour le faire comme les soldats plus classique. Cependant, les paladins ne se battaient pas pour une solde, mais pour un idéal. Un idéal de paix et de justice à travers le monde. Cependant, l'ordre actuel était minuscule et devait se contenter de Targatt, ce qui était déjà un gros morceau pour eux.

Avant de répondre, il attrapa un bout de tissu et le pressa délicatement contre le nez de la jeune rousse qui s'était mise à saigner pour une raison inconnue. Yearius prononça quelques mots en elfique comme leur mère le faisait lorsqu'ils étaient beaucoup plus jeunes et le saignement s'arrêta en propageant une douce chaleur dans son nez et son visage.

Ne nous confonds pas avec une religion, Aki. Si certains d'entre nous vénèrent des dieux, tu sais que ce n'est pas mon cas. Nous nous battons pour un idéal, celui de la justice. Et nous prenons les armes pour tous ceux en ce monde qui souffrent et qui n'ont pas la force de résister. tu comprends?

Il lui sourit gentiment. Ça devait être dur à comprendre pour elle qui avait toujours été tourné vers elle même plutôt que vers les autres. Elle n'était pas méchante, loin de là. Seulement, elle devait apprendre à écouter son coeur et se tourner vers les autres. Enfin, ça ne serait sans doute pas pour tout de suite...
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Ven 13 Sep - 21:10
Étant pour le savoir, Akiza ne priait pas pour vaincre sa solitude. N'étant pas pour le pouvoir, Akiza prônait aucun dieu, peu importe ce que ce dernier offrait. Aucune prière be pouvait recoudre la douleur de son passer. Aucune plume ne pouvait réécrire ce qu'elle avait manqué. Toutce qu'elle pouvait faire c'était relire ce qu'elle savait déjà. Sa mémoire au sujet de sa propre vie transcendait les espérance. Son cerveau comme une ampoule qui s'eteingnait jamais ; Une étoile qui faiblissait jour après jour : Une flèche de lumière longtemps disparue à travers un ciel argenté. Sa clé qui pourrait la libérer de ses chaînes sombres contre la foi! qui lui acéraient la chaire où son sang coulait toujours plus! Certains pourraient croire qu'elle n'était qu'une égoïste qui ne pensait qu'à elle, comme la majorité des êtres humains en générale. Qui ne pensait pas à soit avant le bonheur d'autrui ? Les animaux avaient ce même raisonnement, et ce, pour leur propre survie. C'était un phénomène tout à fait normal. Le cas d'Akiza n'était pas à part de celui des autres. Tout le monde cherchait des réponses. Des questions existentielles, ils y en avaient plus que le nombre de grain de sable à travers toute les plages  du monde. Ceux qui disaient que tout le monde pouvait être sauvés ; le Christ, lui-même, ne pouvait même la sauver. Ses chaînes qui lui déchiraient la peau au point de verser son sang afin de souiller sinistre sol astal. D'où les réponses ne se trouvaient pas dans la religion. Une quête qui mène vers un idéal.

Sa main posée sur son grimoire, son regard scrutait chaque détail de celui-ci. Un livre décrit comme maléfique, alors que celui-ci ne faisait que répondre aux question de la jeune étudiante.
- Toujours aussi idéaliste par tes idées utopiques. Avoua-t-elle à son frère d'un ton confiant. Vouloir protéger ceux qui ne peuvent pas se protéger eux-mêmes est un acte noble en soit. Je te l'accorde, mais cela ne fera qu'affaiblir ceux que tu tentes de protéger. Parfois...
Il vaut mieux laisser les choses aller comme ils se doivent. Tu ne verras jamais quelqu'un entre une gazelle et un lion, mon frère.  


Protéger ou être protéger est un crédo décrit par les super héros. Prôné par ces derniers, mais aussi par la religion qui jure la " protection " de ses fervants. Comme si ces derniers ne pouvaient pas se protéger eux-mêmes. Si un super héro apparaissait dans le royaume afin de sauver le peuple. Ce même peuple se retrouvait ensuite dépendant de se héro, qui lui, se met en danger pour sauver ceux qui ne pouvent pas se protéger. Tout le monde devrait avoir cet instinct de survie pourtant. Cet hypocrisie de vouloir être protégé! Comment être séduit par de belles paroles!
Akiza se retourna en croisant les bras, ce qui releva un peu sa petite poitrine. Pas pour se montrer fermée au sujet, mais pas inquiétude pour son frère de se mettre ainsi en danger pour des gens qui devrait se protéger par leurs propres moyens. Son regard descendit vers le côté inférieur gauche, soucieuse, pour démontrer son inquiétude.
- Yearius, tu le sais mieux que quiconque. Tu sais que j'ai vécu quelques années dans la forêt avant que Mère me trouve , ajouta-t-elle alors que son iris réapparu pour croiser à nouveau ceux de son frère. Le royaume des instecte m'a appris que cela ne servait à rien s'interposer contre la nature. Peu importe à quel point j'adorais ce papillon bleu. Une araignée l'a scrutait jusqu'au jour où j'ai cesser de la voir. J'ai su ce jour là qu'elle était morte.
Ce monde auquel la forêt voulait me protéger de est aussi dangereux  que le royaume des insectes, voir plus..! Je ne veux pas que tu sois ce papillon bleu!


Une larme se mit à sortir de chacun de ses yeux pour ensuite longer ses joues. À la seule penser que son frère allait potentiellement mettre sa vie en danger pour des gens qui n'en valait pas la peine. Des gens qui allait dépendre de lui pour être protégé. Pourquoi ne pas seulement vivre dans la paix. Impossible. Tout le monde avait des idéaux différents, ce qui valait aussi pour Akiza et son frère qui, lui, voulait protéger le peuple, alors qu'Akiza voulait plus se protéger par elle-même sans dépendre de personne d'autre.
- Je veux être forte! Je veux être la plus forte. Comme ça personne ne m'embêteras. Je veux être la plus forte pour que je puisse finalement écraser tout ceux qui répendrent le mal. Comme ça, tu n'auras pas à protéger tout le monde... je dois seulement trouver cette flèche de lumière...

Son grimoire était comme une bible qui cachait les secrets de sa vie, mais aussi de la puissance d'antan de sa dualité. Avec ce grimoire, Akiza pouvait potentiellement avoir la puissance de plusieurs légions militaires. Sauf que l'abomination qui l'habitait n'était pas pour ce partage. En fait, elle s'appropriait le corps de la jeune tourmentée, comme si c'était le sien. Probablement. Mais cette entité avait ses caprices, malgré qu'ils étaient cauchemardesques.
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Yearius Clipeum

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Sam 14 Sep - 2:44
Age du personnage : 21 ans
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Le paladin ne put s'empêcher de ricaner devant le commentaire de sa petite soeur devant ses idées qu'elle qualifiait d'utopiste. Yearius ne s'en offusquait pas, il savait que sa petite soeur était une personne tournée vers elle même plutôt que vers les autres. Ce n'était pas un mal en soi. Bien sûr, le monde serait beaucoup plus beau et juste si tout pouvait se comporter comme les paladins. Cependant, Yearius n'était pas assez naïf pour croire que ce serait le cas. Les paladins étaient avant tout une élite chevaleresque qui représentait une lumière parmi le peuple. Tous ne pouvaient devenir un paladin et surtout tous ne pouvaient pas comprendre leur principe chevaleresque. Yearius secoua légèrement la tête devant ses paroles.

Je comprends que tu ne veuilles pas faire partie des nôtres si tu ne comprends pas notre idéal. Cependant, je t'assure que nous faisons beaucoup de Ben autour de nous. Malheureusement, tous ne peuvent pas se défendre seuls contre les plus forts. Nous devons être prêts à défendre ceux qui réclament notre aide. Même si je te l'accorde tous devraient au moins apprendre à se défendre un peu...

Yearius ne comprenait pas comment sa soeur pouvait penser d'une telle façon. Saeline était l’incarnation de la douceur et de la gentillesse. Elle était tournée vers les autres et c'était elle qui avait inspiré Yearius. Le demi-ange avait toujours été très proche de sa mère. Elle l'avait inspiré à devenir un homme courageux, loyal et défendant la justice. Il était devenu un paladin pour qu'elle soit fière de lui. Pour que cette femme elfique soit fière de ce jeune garçon qu'elle avait adopté. Pourtant... depuis qu'il était devenu paladin, il n'avait attiré que la souffrance. Sa mère se faisait un sang d'encre pour lui et il ne pouvait s'empêcher de penser que la mentalité de sa petite soeur avait du bon. Si tous ne pensaient qu'à eu même sans emmerder les gens autour, le monde s'en porterait sans doute mieux.

Hélas, c'était impossible. Il y aura toujours des malfrats en tout genre pour abuser et profiter des honnêtes gens qui ne demandent qu'à vivre en paix. De la même façon, il existera toujours des abominations et des créatures du mal sur cette terre. C'était au chevalier de l'ordre et de la lumière de purger ses hérésies. Enfin... Il sourit légèrement devant ses paroles et pencha la tête devant ses paroles proches d'un conte pour enfants. Devenir la plus forte pour ne pas qu'elle dépende de lui. Elle avait aussi peur qu'il meure ainsi... C'était touchant de voir son attachement à la famille malgré ses tendances à la solitude.

Je ne serais pas ce papillon bleu, car comparé au papillon des personnes veille sur moi. Et tu en fais partie, Aki.

Il lui sourit avec gentillesse et reprit sa place sur son bureau. Il avait encore beaucoup à faire et devait se concentrer à nouveau sur ses travaux. Cependant, la petite ne semblait pas vouloir lâcher prise, bien au contraire. Cela n'offusquait pas le demi-ange qui aimait bien la compagnie de sa petite soeur. Il lui adressa un regard empli de compassion et lui dit très doucement en prenant sa main.

Tu trouveras ta lumière, j'en suis sûr. Soit patient, le monde est vaste et regorge de lumière. Tu dois simplement la trouver lorsque le temps sera venu.
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Jeu 26 Sep - 22:41
Ces discours sur le pouvoir de l'amitié lui donnait des haut le coeur. Akiza faisait parti de quoi, vraiment ? Elle qui avait été sujette à la réalité de ce monde dès son plus jeune âge. Quelque chose chez elle lui disait que les forts dominaient et que les faibles disparaissaient. Rien de plus, rien de moins. Si Yearius venait être en danger, cette force chez elle parvenait à la vaincre avec cette idéologie : Il était trop faible, et ce, peut chacun d'eux qui n'était capable de se protéger eux-mêmes. Pourquoi risquer sa vie pour celle d'autruis ? Quelqu'un allait-il vraiment mettre sa vie en péril pour cette jeune étudiante. Une sinple étudiante, rien d'autre. Encore avec cet exemple de la gazelle et le lion, personne n'allait sauver la gazelle au risque de se faire sauvagement attaquer par le lion. Le papillon était mort par sa prédatrice, l'araignée, c'était la vie, ainsi que la loi du plus fort. Qui allait lui démontrer qu'elle avait horriblement tord avec cette penser si enfantine et égoïste ? Son idée était forgé...

- Je ne veille pas sur toi, ajouta Akiza en croisant les bras.  Si nous nous connaissons c'est que je suis ta sœur adoptive. Ce n'est qu'un statut où le lien du sang n'a rien à avoir dans notre situation actuel. Autrement dit, si mère ne m'aurait pas accueillie lorsque j'étais gamine, nous nous connaîtrions pas et ce, te voir en danger, je te laisserais crever. Aujourd'hui je le crois encore aussi.
Donc il y a deux choses que je dois retenir. Devenir plus forte pour t'empêcher de te mettre en danger ou te voir mourir lamentablement.


Cela pouvait paraître froid, surtout avec sa voix qui venait d'augmenter en assurance. Rien de plus normal dans un monde où Akiza devait seulement compter sur elle durant sa jeunesse. Où trouver cette lumière dont il parlait alors qu'Akiza était née dans les ténèbres. Étrangement, cette forêt semblait si enchanteresse. C'était le cas, mais la solitude que la jeune étudiante avait vécu et vivait encore l'avait grandemenr marquée. Un lumière à travers ces nuages qui allait, un jour à l'autre, se cristalliser. Un ciel fracasser par la colère. Des questions et des questions sans aucune réponse en retour. Si cela n'était pas fatiguant... alors il n'y avait pas de mot ppur décrire ce genre de sentiment. Son regard se détourna pas la suite avec un légère honte de son manque de force. Oui, c'était la force qu'il manquait à son arsenal. Ses bras se crispèrent sous sa petite poitrine. Comme si Akiza se punissait elle-même. Sa longue chemise de nuit se crispait aussi contre le corps de l'étudiante peinée. C'était d'ailleurs à ce moment où elle se souvint qu'elle était nue sous cet accoutrement.

... La jeune studieuse tourmentée s'approcha ensuite de son frère adoptif. Doucement, sa soeur se pencha vers celui-ci qui venait de reprendre sa place à son bureau. Ses mains posées sur les cuisses de son frère et un petit sourire esquissé sur son visage. Les traits de son visage marquaient son innocence. Ses petits seins se devoilèrent à travers non décolleté. Non-seulement ses pointes, mais aussi son ventre, son nombris jusqu'à son pubis. Ses lèvres s'approchèrent doucement vers les siennes. Sa chemise de nuit remonta pour ensuite faire apparaître ses fesses. Doucement, ses lèvres passèrent ceux de son frère pour retourne à côté de son oreille pour ajouter.

 - Si tu veux que je veille sur toi. Je dois avoir tord, Yearius. Dans le cas contraire, je ne mettrai même ma vie en jeu pour sauver notre propre mère..!

L'on pouvait croire que l'entité qui habitait son corps influençait son jugement. Pas totalement. Cette manière de penser était le moment jugement que celle d'un enfant qui voulait tout les bonbons à lui seul. Un manière de penser primitive ou sociopathe par l'entité. Akiza devait non-seulement grandir mais choisir la bonne voie pour devenir évoluer. Malheureusement, une larve allait toujours manger, manger et manger en voulant toutes les feuilles pour elle seule. C'était les lois de la nature. Les lois d'une potentielle future nymphe à ce rythme.
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Yearius Clipeum

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Sam 28 Sep - 9:18
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Yearius n'avait jamais vraiment compris pourquoi sa soeur était aussi refermée sur elle même. Elle n'en restait pas moins sa petite soeur, mais quand même. Saeline les avait tous les deux élevés de la même façon, dans les critères tels que l'amour, l'acceptation et la défense des opprimées. Certains prétendaient que l'elfe n'était pas une bonne mère, ce qui rendait Yearius complètement fou. Cette femme ne l'avait pas porté, pourtant elle l'avait élevé avec l'amour d'une mère et l'avait nourri et hébergé jusqu'à l'âge adulte. La femme qui l'avait porté quand à elle l'avait simplement abandonné en Targatt pour retourner à sa vie. Il n'avait jamais compris comment une personne pouvait abandonner la chaire de sa chaire ainsi sans aucune raison. Lui-même s'était promis de ne jamais faire subir une telle chose à sa descendance, lorsqu'il en aurait une. Enfin, pour l'instant il n'en avait pas et était probablement très loin de devenir lui-même père. Cependant, il se l'était tout de même promis.

Aussi, les paroles de la jeune femme lui glacèrent le sang. Elle semblait avoir dit cela avec tellement d'assurance... Comme si elle croyait sincèrement à ses paroles. Le regard du paladin se glaça et se braqua sur sa soeur qu'il repoussa plutôt sèchement, sans non plus chercher à lui faire mal ou à la projeter par terre. Il se contenta de lui faire comprendre par ce geste qu'il n'avait pas du tout apprécié sa façon de parler ainsi de la femme qui avait fait de nombreux sacrifices pour eux et sur lui-même. Comment pouvait-elle être sa soeur et être aussi insensible...

Bien. Dans ce cas, nous n'avons plus rien à nous dire Akiza, puisque je suis si insignifiant à tes yeux. Évite de répéter ses paroles à maman. Tu ne ferais que la blesser inutilement.

Il avait parlé d'un ton relativement dur, ayant très mal pris ce que sa petite soeur venait de lui dire. Il ne comprenait pas comme cette dernière pouvait être aussi insensible, mais il ne voulait pas qu'elle en parle à sa mère. Cette dernière avait déjà assez de préoccupation devant elle sans en plus apprendre que la fille qu'elle avait élevée avec patience et amour se fichait bien de son sort. Sur le même ton glacial il dit en reprenant place à son bureau.

Si tu veux m'excuser Akiza j'ai du travail devant moi. Des gens comptent sur moi et je n'ai pas l'intention de les laisser tomber.
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Ven 18 Oct - 17:37
Sous un larme brillante comne perle. Quelques petits scintillements s'échappaient de cette perle qui glissait le long de sa douce joue. Sa main couvrit son oeil qui, celui-ci, venait de prendre une forme reptilienne ( sa pupille ). Pourquoi Akiza aurait-il dit cela ? Oui, ses tempérament était parfois égoïste, mais c'était un égoïste assez enfantin à comparer de cette image narcissique qui venait de montrer : comme si aucune autre vie que la sienne avait de la valeur. Sa pupipple se retracta comme celle de n'importe quel reptile. Sa vue semblait étrangement plus perçante. Était-ce une simple illusion ou elle pouvait vraiment voir plus loin de le monde tel qu'il se présentait. Akiza pouvait voir la soif de soif que son alter-égo. Tenta de lutter de toute ses forces, la jeune tourmentée parvint difficilement à refermer son oeil. Une fois ouvert à nouveau, sa pupille revint à la normal.
Laissant tomber son bras sans aucune rétissace. La jeune soeur détourna les yeux honteusement tout en aggrippant son bras moue avec son autre main. Cette amertume l'hantait toujours. Cette noirceur se montrait de plus en plus présente. Rapidement, elle devait trouver la signification de cette flèche de lumière qui perçait gris argenté. Lors de ce moment de silence, Akiza se tenait debout dos à son frère. Elle ne boudait pas, sa honte la dévorait comme une mauvais sort. Plusieurs larme sous forme de perle tombèrent au sol. Au départ où l'on aurait cru qu'Aki n'avait pas de larme à cause de son nom de famille qui signifiait littéralement : Larme de cendre. Ses larmes n'étaient plus sèches comme elle le croyait. Voyant sa main ainsi sa main recouvert de ce liquide translucide, chaud. La chaleur de son corps ne faisait donc pas évaporer ses larmes. Encore une larve faible, mais au moins avec des sentiments. Qui l'eux cru.

Nue sous son seul accoutrement, ses yeux, humidifiés à cause de ses larmes, se tournèrent vers sa chambre. Dans ce profond silence presque macabre, Akiza restait figée sur place par peur de briser ce mur autant confortable qu'honteux. Son regard braqué contre le miroir accroché au mur au fond de aa chambre. Ressemblait-elle vraiment à cela ? C'était fille avec ce regard perçait comme ceux d'un serpent avec un sourire aussi malicieux qu'envoûtant ? Ce regard ainsi que ce sourire dégageaient autant de sensualité que sa froideur, comme si ce elle avait soif d'ambition. Ses convictions se voyaient belles et biens fondées. Dans son grimoire se cachait ce qui se tramait. Dans son grimoire se cachait ce qu'était vraiment Akiza. Était-elle condamnée ? Sans plus attendre, brisant le mur du silence, qui était surtout sous règne du malaise, Akiza se dirigeait dans sa chambre sans aucune volonté, malgré son beau discour de vouloir être la plus forte. Ce miroir, la jeune tourmentée  devait le confronter. Le sourirw de son alter-égo s'esquissa un peu plus. De quoi donner la chaire de poule une fois face à cet objet mystérieux avec des centaines de mythes dans son Arsenal. D'autres silhouettes apparurent derrière son reflet. Surprise par de telles apparitions, la jeune studieuse se retourna pour ainsi ne rien voir. Rien du tout. Alors que son regard terrifié se tournait vers son reflet qui, celui-ci, semblait rire sans créer de son. Akiza aggripa violemment sa tête, mêlant malheureusement tout ses cheveux.
Curieuse, oui j'étais curieuse de la voir de plus. Inclinant ma tête vers elle de l'autre côté de mon propre reflet. Un peu naïve, n'est-ce pas ? Je ne dirais pas que c'est une belle prise alors qu'elle est moi, en quelque sorte. J'esquissai un sourire un peu plus vicieux pendant que je l'admirai un peu plus près. Ses réaction donne vraiment à croire qu'elle se croyait folle. Hu hu, tant de potentiels. Je pointai vers ma droite, sachant que dans son monde je pointai à sa gauche montrant ainsi le grimoire lui était revenu. Je me repositionnai avec un sourire amusé. Le sujet du Monstre Parfait est un succès Hahaha
Hahahahaha...

Son reflet redevint normal... mais comment était-ce possible. Ses yeux se tournèrent là où son grimoire venait de réapparaître Comme pas enchantement. Yearius le gardait bien ayant pour but de le rendre à leur mère pourtant. D'étranges sons s'échappaient de ce vieux livre. Des sons, non, des murmures d'une langue inconnue. Encore plus étrange, Akiza se sentait maintenant appelée. Ses voix froides et profondes chuchotaient quelque chose. Toujours aussi curieuse, Akiza suivit ses voix... ces voix lui dictaient un quelque chose :  《Elle était une créature divine qu'on ne voyait qu'une fois... Son regard glaciale capable de geler votre âme.  Une prêtresse ésotérique aux lèvres morbides ignorants vos croyances infâmes. Son savoir  calculé avec symétrie. Où votre rêve n'est qu'utopie ;
Véritablement un cauchemar 》
Transe. Ses yeux magenta se mirent à s'illuminer.
《Son sourire tel une lame glaciale lacérant ses veines...
Ses larmes furent comme des perles cachées dans la mer. Ses pertes furent de nombreuses fervants. Génocide pour le pouvoir, génocide contre la guerre... 》

Qu'était-ce vraiment ce grimoire ?
Non-seulement il parmettait de raconter une autobiographie d'Akiza, quelle autre capacité avait-il vraiment ? L'on savait maintenant que si le grimoire lui était retirée, celui-ci allait lui revenir. Il était comme ça. Akiza devait décrypter chaque message caché comme celui de la flèche de lumière perçant ce ciel nuageux, Elle était une créature divine et maintenant Son sourire tel une lame glaciale. Comme si une colère vengeresse frénétique se dégageait du livre. De plus de confronter son alter-égo tentait insidieusement d'entrer en comtacte avec Akiza. Était-ce à cause de cet alter-égo ?
En tout cas, les larmes qui reposaient sur le plancher non-loin d'où se trouvait Yearius scintillaient faiblement démontrant sa culpabilité. C'était la toute première fois qu'Akiza avait pleuré. Il fallait croire que ses larmes n'étaient cendres.
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