Targatt - La cité profaneConnexion

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La belle et la bête [Amélia et l'Orc] (ABANDONNÉ)

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Anonymous
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Lun 29 Oct - 16:35
Il se faisait tard, peut-être quelques minutes avant minuits alors que la lapine raccompagnait un jeune noble vers sa demeure. Elle n'était pas en tenue de soirée mettant en valeur ses formes et jouant de ses attributs féminins et bestiaux pour un simple rendez-vous. Ceux qui connaissaient les hybrides homme-lapin savaient qu'ils n'étaient pas enclin à montrer leur intimité de cette façon quand il s'agissait d'amour. C'était bien plus, innocent? A l'inverse, si elle était sans cesse suspendue aux lèvres de son cavalier, dont l'odeur âcres de l'alcool trahissait l'état d'ébriété, c'était pour une de ses affaires bien loin d'être innocente. Ce jeune homme avait été la cible d'un bien juteux contrat visant à simplement le faire taire. Il avait eu vent d'une affaire peu sympathique entre deux commerçants cherchant à étendre leurs activités en ajoutant à leur commerce de bétail classique celui d'un bétail plus, pensant. Amélia avait bien failli se faire enrôler pour faire du rabattage pour les deux hommes qui l'avaient contacté. Elle avait biensur quelques noms en tête de femme de petite vertue et d'homme remplaçable pouvant faire grossir l'entreprise des deux bavards qui l'avaient engagée. Mais elle n'était pas marchande de viande. Elle avait ses spécialités et elle comptait bien ne pas changer ses pratiques.

La commande des deux hommes, après qu'ils aient finis de laisser traîner leurs yeux sur le peu de chair qu'elle laissait visible sous son manteau à capuche, était de le faire taire sans le tuer. Il avait tout de même une certaine importance et s'il disparaissait, tout le monde les soupçonnerait. S'il se faisait violenter dans les rues de Targatt comme n'importe quel autre noble nullement trop prudent, dans le quartier Tamarang en plus, personne ne viendrait les soupçonner. Voilà pourquoi elle était suspendue au bras de ce jeune homme et à cet instant présent, alors qu'ils s'étaient immobilisés au milieu d'une ruelle, elle était suspendue à ses lèvres, laissant la langue de son cavalier jouer avec la sienne dans la cavité de sa bouche. Il semblait pris d'une certaine fougue qu'Amélia ne chercha pas à refréner si bien que dans l'ombre de cette rue peu fréquentée et à l'écart des gardes des grandes maisons, elle plaquée contre un mur et coincée par le jeune noble, leur baisé devint de plus en plus endiablé. Leur langue multipliaient les échanges et l'insistance du jeune noble contre elle la forçait à garder sa robe en place tout en vérifiant les plis de celle-ci, que les mains baladeuses de son partenaire venaient défaire et fouiller sans vraiment chercher quelque chose.

Puis, alors qu'il semblait bien concentré à vouloir absolument profiter du touché ses longues oreilles, se qui ne la laissait pas sans effet, et l'embrasser langoureusement, Amélia le laissa enfin remonter ses mains le long de ses jambes tandis qu'une des siennes remontait le long de son bras. C'est là que les dents blanches de la lapine saisirent la langue joueuse de son partenaire et tandis que d'une main elle le poussait loin d'elle, l'autre qui avait trouvé dans les plis de sa robe la lame qu'elle y cachait sectionna la langue du jeune homme largement tendu à cause du mouvement. Heureusement, le mouvement de recul du jeune noble fit qu'elle n'était pas couverte de sang. Amélia cracha la langue de sa victime avant de se préparer à prendre la fuite.

Toutefois, le jeune homme était loin de n'avoir rien dans le ventre. Il se releva et saisie la jeune fille-lapin pour la jeter contre un mur contre lequel son visage frappa fortement. Amélia ne s'attendait pas à tant de vigueur du jeune homme alors que sa bouche était rougie de sang. Le jeune noble saisi Amélia au cou et après l'avoir jetée au sol sans qu'elle ne puisse rien y faire, sa force n'étant pas en mesure de rivaliser avec celle du jeune noble, se mis au dessus d'elle en tentant de parler. Il en était naturellement incapable et au lieu de lui faire peur, il la dégouttait plus qu'autre chose avec les flots de sangs mélangés à de la salive qui tombaient sur son torse et son visage. Il l'avait complètement immobilisé et à moins qu'elle ne parvienne à le renverser, ce qui était peu probable, elle allait se faire prendre bêtement....
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Anonymous
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Mar 27 Nov - 10:58
Je me promenais sous le couvert de la nuit, au fils du temps, Maitresse Zahel avait fini pas me faire comprendre les règle les plus fondamentale de la cité et j'avais même quelques foi aider les gens de la ville que ma maitresse voullait convertir. Elle avait bien tenter de m'expliquer le concepte de religion, mais rien ne restais bien enregistrer dans ma mémoire si cela ne couchait pas la nourriture ou la guerre, les deux concepte ou je me débrouillais très bien. Alors, a chaque service rendu, je disais pour la contenter: Remercier Ether a l'aide d'une prière. Attendez, avant de me critiquez, sachez que je sais pas ce qu'est une prière, je sais simplement que les autres comprennent quand je dis cela et que par extension, cela fait plaisir a Zahel qui me dit que c'est bien de propager la parole sacré, encore des termes pour les rats de bibliothèque...

J'avais laisser ma hache loin de moi, du a mon caractère impulsif, elle m'attirerais plus d'ennuis qu'elle me serait utile. Perdu dans mes pensées les plus obscure, je songeais a aux dernières communication télépathique du démon, j'avais rien dit a Zahel... quoi que je devrais, mais pour une raison qui m'appartenais, je voulais garder le problème pour moi. Je n'avais pas trop de moyen de lui répondre, mais un jours viendrais ou je devrais l'affronter a nouveau, car j'avais trahi sa confiance... selon ses dires. c'est une situation que je vis au loin en tournant le coin d'une maison qui me mis hors de moi, un homme qui avait le dessus sur une femme en apparance plus jeune et plus chétive. Selon ce qu'on m,avait apprit, la violence est interdite, alors, si j'intervenais pour aider une plus faible, j'étais politiquement correcte, non? Oui puisque Zahel m'avait attaquer pour les mêmes raison lors de mon arriver ici.. Je m'approcha du noble par derrière, sans trop de subtilité, très sur de moi et droit, je saisis le noble qui venais de s'installer sur la femme-bête et le plaqua sur le même mur et lui dit:

-Si toi attaquer femme, toi tu as pas honneur homme de sang.

Pourquoi homme de sang? j'avais pas compris qu'il était blessé et je croyais a une autre faculté bizarre des humains ou a une race encore méconnu de ma part. Je regardais la jeune fille, si elle tentais de prendre la fuite, c'est je la ratrapperais, kit a utiliser cet homme comme projectile. Je la regarda puis lui dit:

-vous pouvoir debout mais vous pas courir sinon moi lancer lui pour empêcher vous bouger. Pourquoi lui avoir attaquer vous?

Je me retourna vers l'humain avant de lui dire dans la langue des orcs d'une voix effrayante:

-Si jamais vous vous attaquez encore a quelqu'un et que je suis ici, je vous jures qu'a la force a la quel vous percuterez le sol, vous aurez assez de sang pour que celui-ci recouvre l'entièreté de la ville, vous me comprenez bien?

je n'avais toujours pas déposer l'humain au sol et j'attendais une réponse des deux partis.
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